Salon Empack 2018

La 17ème édition du salon Empack à Brussels Expo aura lieu les 3 et 4 octobre prochains

Bruxelles accueillera, les 3 et 4 octobre prochain, le salon professionnel de l’emballage, Empack. Empack est un salon dédié aux professionnels de l’emballage. Le salon est une occasion sans pareille de découvrir les dernières nouveautés et innovations en matière d’emballage, marquage et imprimerie, création et design, ainsi que recyclage et services.
Empack aura lieu dans le hall 11 de Brussels Expos. Il s’agit de sa 17ème édition. Le salon est une occasion rare pour les professionnels de se rencontrer, et d’échanger autour des dernières nouveautés, et ce, année après année.

Un salon dédié à l’emballage

Si vous vous demandez quelles sont les nouvelles tendances et les dernières innovations dans le domaine de l’emballage, alors le salon Empack vous tend les bras. Karen Rammeloo, responsable du marketing du salon, définit Empack comme un “événement complet concernant l’innovation”. Ainsi le salon consacré à l’emballage se penche sur des questions actuelles, telles que l’automatisation, les emballages écologiques et la durabilité. De même, Empack propose un aperçu global de la gamme de produits disponibles en emballage. Les visiteurs professionnels pourront ainsi découvrir en avant première les nouveautés.

Un lieu de rencontre pour les professionnels

Pendant deux jours, le salon accueille plus de 3 000 visiteurs, venus voir les quelques 165 exposants. Le salon Empack est donc une occasion d’exception pour les professionnels de se mettre en réseau, de découvrir les dernières tendances, et d’échanger autour de thématiques fortes. Le salon est également un lieu destiné à favoriser l'émergence d’idées et la construction de nouveaux projets. Il favorise également la mise en contact pour des opportunités professionnelles. Le salon est une source d’inspiration, et une véritable plateforme de lancement, le tout dans un cadre agréable et la bonne humeur.

Que propose Empack 2018 ?

Empack est un salon d’échange. Aussi, les visiteurs pourront se rendre à de nombreuses conférences, proposées sur les deux jours. Des conférences organisées par des professionnels qualifiés, partenaires de l’événement, tels que Fevia, Flanders’ Food, Pack4Food, FSC & CxO Europe.
Différentes thématiques seront abordées, telle que l'automatisation des lignes d’emballages. A cette occasion, une zone spécifique sera mise en place sur le salon, avec son propre espace d’échange, d’activités et de prises de paroles. Le thème du Recyclage sera également abordé, un thème important et d’actualité pour les entreprises de l’emballage.
Les professionnels pourront découvrir le Food Plaza. Une zone regroupant les exposants du secteur alimentaire. Un point de rencontre très attendu. A découvrir également, le Co-packers Corner. Un espace destiné aux entreprises de travail adapté actives dans le secteur de l'emballage.

Empack en lien avec le salon Logistics & Distribution

En parallèle d’Empack a lieu le salon Logistics & Distribution, dans le Hall 7 à Brussels Expo. Un événement consacré à l’entreposage, la logistique interne et la distribution.
Une synergie entre deux événements complémentaires, qui augmente considérablement la visibilité de l’un et l’autre. En effet, l’audience totale de ces événements couplés s’élèvent à plus de 6 000 professionnels.


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Salon Print-In-Progress 2018

À ne pas manquer : Le salon Print-In-Progress 2018

Pour sa deuxième édition, le salon Print-In-Progress se tiendra les 10 et 11 octobre prochains Porte de la Vilette à Paris. Dans un contexte publicitaire en constante mutation, ce rendez-vous de professionnels accompagne les acteurs du secteur.
Il s'agit de décrypter les innovations et de les adapter aux enjeux de la communication contemporaine. Marques, créatifs, industries, trouvent ainsi le moyen de se démarquer en innovant dans leurs secteurs métiers respectifs.

À la découverte des dernières innovations

Le salon Print-In-Progress représente l'occasion de découvrir les innovations les plus récentes en matière d'imprimés. Ces innovations se déclinent dans divers secteurs pour des besoins bien particuliers.

La communication

Dans ce salon, la communication fera partie des secteurs à l'honneur. Notamment dans le cas particulier de l'événementiel. La création graphique et le design à finalité marketing seront ainsi débattus, histoire de faire part des avancées en la matière.

Le packaging

La tendance en terme de packaging est le connecté. Ou comment offrir une relation plus privilégiée entre une marque et ses consommateurs. Le salon Print-In-Progress sera l'occasion de nombreuses démonstrations et débats.

Le retail

Dans le domaine du retail rien n'est jamais laissé au hasard. L'agencement ou encore la PLV demandent une innovation de tous les instants.

La décoration

Les techniques de décoration évoluent. L'impression numérique pour support rigides offre à cet effet de nouvelles perspectives au métier de décorateur.

Des keynotes au programme

Avec 60 speakers et 80 exposants, le salon Print-In-Progress 2018 sera l'occasion de présenter les projets novateurs de l'année. Les principaux acteurs et concepteurs défileront à tour de rôle dans le but d'expliquer les concepts de leurs créations.

Le salon a pour but d'accompagner les différents professionnels présents via des conférences et des présentations. Avec un programme transversal, le Print-In-Progress 2018 aura pour exposants les principales marques et experts du secteur du print.

Des hubs thématiques

Découpés en quatre secteurs représentant chacun un univers, les hubs permettent de mesurer l'évolution de marchés stratégiques. Il s'agit des secteurs clés rassemblant le packaging, la décoration, le retail et la communication.

Ces hubs permettent aux différents visiteurs de prendre la mesure des enjeux à la clé dans chacun de ces secteurs. Avec des intervenants reconnus, c'est pour le visiteur l'assurance de bénéficier des avis d'observateurs avertis.

Des objectifs à la clé

Cette seconde édition du salon Print-In-Progress se présente avec des objectifs à réaliser. Il s'agit dans un premier temps de conforter la place de cet événement en ce qui concerne l'innovation des marques.

Dans un second temps, le salon a pour objectif d'instruire les imprimeurs présents et de les accompagner dans leur transformation. Ce second volet sera réalisé grâce aux retours d'expériences d'utilisateurs finaux des nouveaux procédés d'impression.

L'innovation par la personnalisation

Le digital, le sign et le print sont des enjeux essentiels qu'il convient de maîtriser dans le secteur du retail. Dans un contexte où physique et digital doivent cohabiter, il est important d'améliorer l'expérience client en magasin.

À cet effet, de nombreuses innovations voient le jour. Diverses solutions techniques sont adoptées par les marques afin de convertir l'expérience utilisateur sur internet en expérience client en boutique. Celles-ci se doivent l'une comme l'autre d'être agréables pour le client. C'est ainsi que la personnalisation offre via le packaging connecté par exemple, une perspective marketing nouvelle.

Comment participer au salon Print-In-Progress 2018 ?

Le print-In-Progress est un événement sur invitation. Pour participer, rien de plus simple. Rendez-vous sur cette page, suivez les instructions et imprimez votre badge d'accès.


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Imprimé publicitaire, l'incontournable outil de communication

Imprimé publicitaire, l'incontournable outil de communication

Dans le cadre d'une communication d'entreprise ou d'une campagne marketing, l'imprimé publicitaire joue un rôle essentiel. Il convient de noter que le rapport des français à la publicité varie selon le support d'édition.
En effet, 36 % des internautes de l'Hexagone ont téléchargé un bloqueur de publicité. Et pourtant dans le même temps, uniquement 17,3 % des résidents ont affiché un autocollant « Stop Pub » sur leur boite aux lettres. Ces chiffres Balmétrie 2017 montrent bien l'impact de l'imprimé sur le consommateur.

La publicité papier toujours plus portée vers le haut

La majorité des grands annonceurs privilégient ce moyen de communication. L'imprimé possède de nombreux atouts qui en font un outil de choix pour les communicants. À titre d'illustration, la communication de boite aux lettres représente un indispensable dans une stratégie multicanal efficace.

Les chiffres Balmétrie montrent que plus de 6 millions de consommateurs dans l'Hexagone s'intéressent aux prospectus. Ces adeptes de la communication papier sont aussi bien des utilisateurs confirmés d'internet que des lecteurs assidus de la presse. Voire des auditeurs de la radio ou téléspecteurs TV. Ainsi, nombre d'entre eux se connectent au site web de l'enseigne mentionnée suite à la réception d'un prospectus.

L'imprimé publicitaire sert ainsi de levier à une stratégie marketing multicanal. Aussi bien dans le secteur du bricolage, du cosmétique, de la grande surface que de la vente par correspondance ou à distance. Cet outil d'appel permet par la suite au consommateur de se rendre sur les autres supports de communication de l'entreprise annonceur.

Quels avantages tirer de la communication print ?

La communication print est un outil d'une efficacité reconnue. L'imprimé publicitaire (direct ou indirect) possède des atouts qui en feront votre principal allié.

Rapport efficacité / prix intéressant avec le prospectus

Les faibles coûts de l'imprimé offrent un retour sur investissement des plus intéressants. En effet :

- 26 % des destinataires d'imprimés gardent en mémoire la campagne de communication.
- 34 % des personnes ayant pris connaissance du prospectus envisagent à la suite, d'agir.

Un outil ciblé et impactant pour le courrier personnalisé

Le courrier personnalisé mentionne le nom et l'adresse du prospect. Il offre une relation plus directe et intime entre la marque et le consommateur. C'est ce lien renforcé qui impacte le lecteur.

- 63 % des destinataires de courriers personnalisés le gardent en mémoire.
- 45 % d'entre eux comptent agir suite à la réception de ce courrier personnalisé.

Pourquoi votre entreprise doit intégrer l'imprimé dans sa communication ?

Qui dit imprimé dit identité visuelle. Il s'agit des signes visibles distinctifs permettant d'identifier votre marque. Afin de rester dans la mémoire de vos prospects, il convient de vous doter de la charte graphique adéquate. Celle-ci révèle l'identité de votre entreprise à travers son logo, les couleurs, son slogan, sa typographie et bien d'autres.

La recrudescence d'Adblockers et le rejet quasi systématique des mails promotionnels dans les spams doit amener à repenser sa communication. À ce titre, le support papier devient incontournable dans le cadre d'une campagne. Faire connaître vos activités passera par ce canal de communication.

Il convient donc pour cela, de vous doter d'un support de qualité. En sollicitant un imprimeur qui saura vous accompagner sur l'ensemble du processus.


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l'impression numérique

De nouvelles perspectives de marché grâce à l'impression numérique pour supports rigides

Les progrès effectués dans le domaine de l'impression numérique offre de nouvelles perspectives au print. C'est le cas de l'impression pour supports rigides qui constitue l'une des innovations les plus marquantes du moment.
Les domaines d'application sont nombreux tant dans le secteur de la décoration que dans celui de l'affichage urbain.

Le principe de l'impression sur support rigide

Le marketing et la communication se nourrissent perpétuellement de solutions innovantes. L'impression destinée aux supports rigides en fait partie. Il s'agira d'ailleurs de l'un des thèmes phares consacrés au salon Print in Progress 2018 qui se tiendra les 10 et 11 octobre prochains à Paris.

C'est d'ailleurs à cet effet que la firme HP présentera son imprimante dédiée au concept, la HP Latex R2000. Cette nouvelle gamme d'imprimantes HP se veut être la réponse à un besoin, celui de « préserver la brillance et l'aspect des supports de destination ». Le but est donc de proposer des outils d'impression capables de sublimer un espace ou un objet, tout en ayant recours à des encres inodores et respectueuses de l'environnement.

Une technique d'impression aux nombreuses applications

Destinée à repousser les limites toujours plus lointaines du print, l'impression sur support rigide s'ouvre à de nombreux domaines d'application.

La décoration d'intérieur

Parmi ces nouvelles applications, la décoration d'intérieure est sans doute celle qui est amenée à subir le plus grand bouleversement. Le lino imprimable permet par exemple de multiplier les solutions de décoration. Puisque cette technique d'impression s'applique aussi bien au plancher, au mur, à la tapisserie, qu'à l'imprimé textile.

La décoration de showroom

Sur le même principe que la décoration d'intérieur, la décoration de showroom pourra bénéficier d'une personnalisation accrue. Il en est de même pour les décors de magasins dont les nuances pourront être adaptées au gré des événements.

L'habillage extérieur

Autre domaine d'application de l'impression sur support rigide, l'habillage d'extérieur des enseignes. Cette solution offre une grande flexibilité, ce qui n'est pas le cas de la sérigraphie.

Dans un autre registre, l'affichage publicitaire fait partie des domaines d'application du print sur support rigide. Ce qui permet par exemple de recouvrir du vitrage avec du film adhésif. Cela offre à tout imprimeur de nouvelles perspectives.

Partir à la conquête du marché grand public

Le revêtement intérieur est donc l'une des cibles de l'impression sur support rigide. Cela représente pour l'instant une niche de marché qui est amenée à s'agrandir. Il est question de rendre la décoration d'intérieur accessible à tous grâce au print.

Certains ont vite fait de mettre en pratique le concept. C'est le cas de l'entreprise Art Home qui propose des revêtements muraux sur sa boutique en ligne. Le site web offre la possibilité de commander sur différents supports de diverses tailles, un habillage mural orné de l'image de son choix. Cette offre diversifiée est rendue possible grâce aux solutions HP.

La technologie de l'impression sur support rigide ouvre la voie à de nouvelles applications. La décoration, le retail, l'affichage public, l'habillage de véhicules, le lettrage de vitrines, sont tant d'applications qui s'effectueront de façon plus performante.


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Marché de la publicité

Le marché de la publicité digitale en pleine croissance sur le premier semestre 2018

Le marché français de la publicité digitale a le vent en poupe. En effet, le Syndicat des Régies Internet (SRI) a présenté les résultats de la 20ème édition de l’Observatoire de l’e-pub. Cette étude de référence apporte des lumières sur le marché publicitaire digital et son environnement, en analysant l’évolution de son chiffre d’affaire par formats, mode d’achats d’espaces, devices, etc… Cette étude est réalisée par le SRI, en partenariat avec l’UDECAM et PWC.

Afin de réaliser cette étude, pas moins de 26 acteurs du marché de la publicité digitale ont été sondés, tels que TF1 Publicité, Publicis Média, Dentsu Aegis Network ou encore So Local Group.

Une progression de + 15,5% vs 2017

L’étude organisée par le SRI, l’UDECAM et PWC a mis en lumière une hausse de 15,5% du chiffre d’affaires du marché français de la publicité digitale par rapport au premier semestre 2017. Sur le premier semestre 2018, le marché français de la publicité digitale atteint 2,264M€ de chiffre d’affaire.
La publicité digitale est donc en constante progression depuis 2015. En effet, au premier semestre 2015, il représentait 1,557M€. Au premier semestre 2017, 1,91M€, et enfin 2,264M€ au premier semestre 2018.

Une progression qui s’explique par la hausse des investissements publicitaires des entreprises dans le digital, au détriment de la communication presse. Les investissements dans le digital ont pris 4,7 points entre le premier semestre 2017 et le premier semestre 2018, évoluant ainsi de 34,5% à 39,2%.

Le display social et le search (moteur de recherches) sont également un facteur de progression du marché global digital. Le display social représente près de 20% du marché publicitaire digital et a enregistré une hausse de 61,8% entre le premier semestre 2017 et le premier semestre 2018 (passant ainsi de 288 à 467 milliards d’euros). Le search quant à lui représente 47% du marché, et est passé de 994 millions à 1, 078 milliards d’euros entre 2017 et 2018, soit une augmentation de 8,5%. La croissance du mobile contribue à la progression du marché du search mobile. Le search mobile pèse aujourd’hui 540 millions d’euros.

Le display enregistre également une bonne progression, surfant sur les réseaux sociaux. Il enregistre une hausse de 29,9% en France entre le premier semestre 2017 et le premier semestre 2018. Le display classique concerne 50% des affichages display.

Le digital, acteur majeur du marché publicitaire

Le digital occupe une place prépondérante sur le marché publicitaire français, concentrant près de 40% de part de marché publicitaire, devant la télévision (27,4%). La vidéo occupe une place de choix, avec une croissance de 45,2% sur le display. Elle contribue à porter le marché digital.
Aujourd’hui, le numérique représente 39,2% des investissements publicitaires dans les médias. Il représentait 34,5% au premier semestre 2017. Les visites de sites s’opèrent essentiellement via mobile selon Médiamétrie ( à 76%).

Un marché publicitaire digital en pleine croissance, qui n’a de cesse d’évoluer, en surfant sur les nouvelles tendances et innovations.


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Une stratégie de communication

Une stratégie de communication efficace pour une notoriété pérenne

Afin de se démarquer dans un paysage concurrentiel dense, il est essentiel pour les entreprises de capitaliser sur leur communication. A l’heure où le digital à la cote, il est pourtant essentiel de l’inscrire dans une stratégie de communication plus globale. Différentes stratégies de communication peuvent s’appliquer. Du créateur d’entreprise au dirigeant d’une entreprise pérenne, chacun doit adapter sa stratégie, de manière à ce qu’elle soit la plus percutante possible.

Une stratégie de communication définie en amont

Une stratégie de communication bien préparée est ainsi un moteur d’efficacité. Elle doit être établie en fonction de l’entreprise et de ses impératifs. La mise en place de cette stratégie incombe au chef d’entreprise, épaulé de ses chargés de communication et / ou marketing. Les axes de communication sont définis en amont, auprès de ses partenaires, clients et collaborateurs. Les messages et les actions s'inscrivent donc dans ce plan global, procurant à l’entreprise une véritable identité, et ainsi les premiers pas vers la notoriété.

Quels objectifs pour une stratégie de communication ?

Quel que soit l’axe défini par l’entreprise, une stratégie de communication a pour but de faire connaître l’entreprise, et de véhiculer ses valeurs auprès de sa cible. Une fois l’enseigne connue, l’image peut ensuite être précisée et évoluer. L’idée étant de générer de nouveaux clients et de déclencher l’acte d’achat.
Le chiffre d’affaire est donc directement impacté.
En outre, il est important de bien intégrer l’ensemble des salariés de l’entreprise à la stratégie mise en place. En effet, des salariés bien considérés et intégrés sont des salariés plus efficaces car plus motivés.

Le digital, atout incontournable d’une stratégie de communication réussie

Il est compliqué aujourd’hui de passer outre le digital. Le numérique occupe une place de choix dans notre quotidien. L’entreprise se doit donc de suivre la tendance, et d’intégrer le digital à sa stratégie. L’e-réputation est également un élément incontournable pour les entreprises d’aujourd’hui. La crédibilité d’une entreprise passe par sa notoriété numérique. Les consommateurs ont des habitudes de commerces et de services en ligne.
Un bon site internet et le suivi de l’e-réputation sont donc des éléments essentiels d’une bonne stratégie.

Le packaging, vecteur de notoriété

Le packaging est la première image renvoyée au consommateur. L’emballage est pensé pour provoquer l’acte d’achat. Son design doit ainsi être particulièrement soigné.

La complémentarité des supports

Afin d’optimiser sa stratégie de communication, il est important de miser sur la complémentarité. C’est à dire d’associer la méthode conventionnelle à la méthode digitale. La publicité peut ainsi se décliner tant sur le papier que sur le digital.

Conclusion sur une stratégie réussie

Il n’existe pas de bonne ou mauvaise stratégie. Chaque stratégie va dépendre de l’entreprise, de son histoire et des valeurs qu’elle veut véhiculer. Il convient de se poser les bonnes questions, relatives à la cible, ses objectifs, le contenu, la fréquence de communication, et évidemment définir un budget.
Des professionnels sont bien sûr référents en la matière, et il peut être judicieux de faire appel à eux.


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les Lions Cannes 2018

Les Cannes Lions 2018 : l'autre festival du film

Chaque année se déroule à Cannes le festival international de la créativité encore appelé Cannes Lions. Ce sont près de 20 000 œuvres publicitaires qui arrivent de tous les coins du globe pour subir l'évaluation du jury international. Quelques 9 000 acteurs de la publicité répartis à travers le monde profitent de cette occasion qui leur est offerte pour échanger.
À l'occasion des Cannes Lions 2018, de nombreux films publicitaires, affiches de communication, titres de campagnes, outils de marketing d'entreprise, et bien d'autres étaient en lice. Histoire de s'attirer les faveurs du jury.

Au programme de ce festival de la communication

Les Cannes Lions sont un festival de remise de prix mais pas que. Au menu de ce meeting de communications créatives, de nombreux thèmes ont pu être soulevés. En voici quelques uns.

Comment les marques améliorent leur marketing et leur créativité pour grandir ?

Pour répondre à cette question qui fait davantage office de constat, exemple a été pris sur 4 grandes compagnies d'annonceurs. P & G, L'Oréal, Store N° 8 et Samsung.

Il ressort des diverses réponses qu'il est surtout question de transformation. Comment transformer une relation client, comment transformer les outils marketing à disposition, transformer la créativité en mettant la barre toujours plus haut ? Sans oublier la transformation technologique pour toujours améliorer le quotidien des consommateurs.

Les assistants vocaux au cœur de la publicité

L'arrivée des assistants vocaux sur le marché et notamment d'Alexa d'Amazon, a rebattu les cartes de la publicité. Il est aujourd'hui question d'envisager le marketing sous le prisme vocal. Les prédictions augurent d'une nette augmentation des recherches vocales à l'horizon 2020. Les marques doivent dès à présent rentrer ce paramètre dans leurs stratégies marketing.

La créativité au service de la relation client

Ce thème du festival Cannes Lion 2018 a été illustré par les méthodes employées par Apple pour améliorer l'expérience client dans ses stores. En étant toujours plus près de celui-ci.

Avec l'enseigne d'ameublement IKEA, il était question de comprendre comment un géant du meuble en kit a réussi à devenir une redoutable plateforme délivrant du contenu marketing personnalisé.

Dans tous ces cas, la créativité est au cœur de la stratégie marketing. L'innovation permet d'avoir une amélioration perpétuelle de l'expérience du consommateur, et donc de la relation client.

Des agences françaises primées

Parmi les créatifs, de nombreuses agences françaises ont été primées lors de ce festival de la publicité. L'agence de publicité française qui engrange le plus de points est Marcel, filiale de Publicis, créée en 2010. L'agence créative s'en sort avec 14 récompenses dont 4 en or, 7 en argent et 3 en bronze pour un total de 118 points.

Au deuxième rang des créatifs publicitaires français, l'agence BETC fondée à Paris en 1995. Elle remporte 15 Lions pour un total de 85 points.

Plus loin l'on retrouve DDB Paris avec 8 Lions pour 32 points. Suit TBWA\Paris avec 27 points et 5 Lions remportés, et Herezie qui remporte 2 Lions.

Le Top des campagnes publicitaires françaises

Au premier rang des campagnes de publicité hexagonales, on retrouve Black Supermarket de l'enseigne Carrefour, réalisée par l'agence Marcel.

Ensuite, la campagne pour l'environnement Save Our Species menée par Lacoste, via l'agence BETC Paris.

La campagne #Sharethelove anti VIH de l'association AIDES occupe la troisième position des campagnes publicitaires françaises. Cette campagne s'est faite en collaboration avec l'agence TBWA\Paris.

DDB Paris signait The Gallery of Emerging Species pour la marque d'éveil et jeux pour enfants Play-Doh.

Et en 5ème position, la campagne Body can’t wait pour Handicap International, signée Herezie.

Voir les Grands prix de Cannes Lions 2018


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L'impression numérique

Ces tendances print au service d'une campagne marketing efficace

La transformation digitale s'est saisie de tous les secteurs d'activité et le marketing ne fait pas exception. S'il est vrai que les campagnes de communication se font de plus en plus via la toile, le print peut néanmoins se targuer d'être l'objet de multiples innovations. Il s'agit effectivement d'un support offrant une marge de créativité sans limite.
Voici quelques tendances print qui donneront un coup de booster à vos campagnes marketing.

Le print olfactif

Le marketing olfactif consiste à intégrer une odeur à un produit ou un support à des fins commerciales. Le but ici est d'offrir une expérience utilisateur enrichie, et d'éveiller les sens du client. La publicité se limite bien souvent aux sens de la vue et de l'ouïe.

Pour se démarquer, la marque Harry's célèbre pour ses tartines a lancé une campagne olfactive dans les gares parisiennes. En plus de l'affiche représentant une petite fille endormie sur sa tranche de tartine, une odeur de pain chaud était diffusée dans l'enceinte des gares. De quoi éveiller et susciter l'appétit chez les personnes qui la respirent. L'idée de cette campagne était d'utiliser l'odeur pour jouer sur l'émotion.

Les cabinets Saatchi & Saatchi de Los Angeles et Structural Graphics ont eux aussi eu recours à l'odeur pour réaliser un affichage publicitaire. Le print invitait à sentir le cuir du tableau de bord de la nouvelle Toyota Camry, à l'occasion de sa sortie.

Le print intéractif

Qu'est-ce que c'est ? Le print intéractif c'est tout simplement une affiche classique, munie d'un petit plus qui permet une interaction avec l'utilisateur. C'est par exemple une affiche au sein de laquelle est intégrée une surface tactile permettant de jouer des notes.

C'est le cas du Drum Poster qui est une affiche permettant de jouer de la batterie en touchant la surface du papier. Pour fonctionner, des capteurs tactiles sont imprimés sur le revers du papier, en utilisant une encre conductrice d'électricité. Tandis que sur la face, ce sont les graphismes des instruments qui sont imprimés. À noter qu'en plus, il n'est guère nécessaire de connecter le Drum Poster à un système audio ... c'est le papier qui fait office d'enceinte.

Dans la même lignée, Ikea a récemment lancé une campagne print basée sur une affiche publicitaire interactive. Comme l'exprime le slogan de l'affiche « Pee on this ad may change your life » ... vous l'aurez compris, ce print est aussi un test de grossesse. Il s'agit d'une façon ludique de proposer un produit à son segment phare, ici, les femmes. L'affiche publicitaire représente en effet un lit pour enfant. Le secteur de l'affichage publicitaire n'a décidément pas dit son dernier mot.

Le papier connecté

Avec le papier connecté, il est question d'interaction entre l'entreprise ou la marque, et le consommateur. Cette technologie présente de nombreux atouts et offre de nouvelles perspectives au secteur de l'imprimerie. Le papier connecté intègre généralement une puce NFC qui au contact du téléphone, pourra générer du contenu directement sur l'écran de l'utilisateur. Ce contenu peut représenter une vidéo, un code cadeau, voire du contenu riche. Les applications sont multiples.

Le constructeur automobile allemand Audi s'en était d'ailleurs servi dans le cadre d'une campagne publicitaire. Grâce à la réalité augmentée, l'affiche invitait les utilisateurs à prendre les commandes de son nouveau modèle.

À cela, il ne faut bien sûr pas oublier la créativité. Lorsque le print invite à l'intéraction, à l'imagination, à l'humour, il représente toujours une arme efficace dans le cadre d'une campagne marketing ou de communication.


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  • L’émergence du marketing personnalisé
  • Stratégie de marque : Du désir à l’achat en créant la différence

L'impression numérique

Trois éditions des assises des métiers de l’imprimerie s’achèvent sur une note positive

La dernière édition des assises des métiers de l’imprimerie s’est achevée le 28 novembre dernier. L’édition clôture deux années de travail, centrées sur l’évolution des professions dans le secteur des industries graphiques. Un résultat très attendu par les professionnels du secteur, qui se sont investis de façon significative pendant ces éditions des assises des métiers de l’imprimerie.

C’est donc les 27 et 28 novembre derniers que la dernière session des assises se déroulait, à Montreuil-sous-bois, en région parisienne.
Cette dernière édition était organisée par La Fédération des travailleurs des industries du livre, du papier et de la communication (La FILPAC-CGT). Une fédération professionnelle, rassemblant les syndicats de l'impression et de l’édition, de la presse, du papier et de la communication. L’événement eut lieu dans le cadre du projet cofinancé par le fonds social européen.

Les industries graphiques, des secteurs d’avenirs

Les assises des métiers de l’imprimerie constitue un rapport édifiant sur la profession. La première édition a eu lieu le 7 décembre 2016. Avant de se clôturer les 27 et 28 novembre 2017, une édition a eu lieu le 18 mai 2017. Au travers de ces trois éditions, la Fédération des travailleurs des industries du livre, du papier et de la communication a pour vocation "d’anticiper les mutations structurelles et technologiques majeures en cours pour mieux sécuriser l’emploi de toutes et tous en travaillant en amont à une véritable GPEC sectorielle (Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences)".

Ces assises des métiers de l’imprimerie se sont déroulées autour de trois thématiques majeures. Tout d’abord l’état des lieux des industries graphiques en France, basé sur des chiffres 2014-2017. Ensuite un rapport sur la filière du livre en France (toujours basé sur les chiffres 2014-2017). Et enfin des réflexions et préconisations pour l’avenir des métiers de l’imprimerie.

Retour sur trois éditions d’assises des métiers de l’imprimerie

  • Première édition - Etat des lieux des industries graphiques en France
    Cette première édition s’est déroulée le 7 décembre 2016, à Montreuil. L’événement s’est articulé autour de quatre tables rondes. Tout d’abord “Connaître le présent pour préparer l’avenir”. Une thématique essentielle pour saisir les tendances actuelles, les stratégies d’entreprise et bien préparer l’avenir. La deuxième partie était consacrée aux Technologies numériques, et leurs impacts sur l’édition. La troisième table ronde était dédiée à la formation et la reconnaissance des qualifications comme tremplin pour l’emploi. Enfin, la 4ème partie était consacrée aux façons de peser sur les stratégies d’entreprises pour donner de réelles perspectives à l’imprimé.
    Cette première édition réunissait en outre des salariés des grosses imprimeries françaises.
  • Deuxième édition - Assises des métiers du livre
    Cette édition consacrée aux métiers du livre s’est déroulée le 18 mai 2017. Elle s’est déroulée autour de différentes thématiques. Tout d’abord, la place du livre dans la société. Ensuite, un aperçu de la filière du livre dans son contexte économique et social. Puis, une présentation de la multiplication des supports de lecture. Enfin, un essai sur les nouvelles régulations à imposer sur le livre et la lecture dans la société et dans le monde.
  • Troisième édition - Réflexions et préconisations pour l’avenir des métiers de l’imprimerie
    Cette dernière édition s’est déroulée les 27 et 28 novembre derniers.
    Là encore, l’événement, sur deux jours, s’est articulé sur 4 tables rondes. Tout d’abord les conditions de travail, puis les ordonnances prévues dans le milieu. Et enfin, les conditions de travail, et la formation syndicale.

Des assises qui ont permis de réaliser que l’essentiel des projets passe par le secteur de l’imprimerie, en faisant un élément clé et incontournable.

Téléchargez le rapport global des assises des métiers de l'imprimerie


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Les imprimeurs face à une baisse de la production

Les imprimeurs face à une baisse de la production

L'Institut de Développement et d'Expertise du Plurimédia (IDEP) nous propose comme c'est le cas trimestriellement une cartographie chiffrée de l'état de santé de l'imprimerie. L'occasion de présenter l'évolution du secteur et les défis auxquels doivent faire face les imprimeurs.
On remarque pour l'année 2017 une diminution de la production d'imprimés tous secteurs confondus. Les détails de cette cartographie confirment une tendance amorcée depuis quelques années déjà.

Quelques indicateurs globaux

On note une baisse globale de 2,4 % pour la production d'imprimés concernant l'année 2017 par rapport à 2016. Si cette tendance n'est pas généralisée sur toute l'année, il convient toutefois de noter que les élections présidentielles de mai 2017 et législatives qui s'en sont suivies ont permis de stabiliser une baisse qui aurait pu être plus lourde.

À titre d'illustration, lorsqu'en février 2017, le secteur de l'imprimerie subissait une chute vertigineuse de la production de 7 %, elle enregistrait une hausse de l'ordre de 3 % en mai. Pour au final dégringoler à nouveau de 5 % au mois septembre.

Le secteur qui subit de plein fouet cette baisse est celui des imprimés publicitaires (adressés et non adressés). On enregistre là des baisses respectives de 5 % et 4,1 % pour l'année 2017.

Si la production baisse, cela se fait aussi ressentir sur les chiffres de la facturation puisque ceux-ci enregistrent une baisse de 2 % sur l'année.

Des craintes à la clé pour les imprimeurs

Cette baisse continue est un vecteur de préoccupations croissantes de la part des imprimeurs. Le baromètre mis en forme par l'IDEP fait état en premier lieu de craintes concernant le carnet de commandes. Ils sont jusqu'à 53 % des imprimeurs interrogés à émettre des craintes quant à cette donnée.

S'ensuivent les craintes liées aux difficultés de trésorerie, notamment lorsque l'on sait qu'elles sont en grande partie la raison qui pousse des commerces à mettre la clé sous la porte.

L'évolution des prix de ventes, la crainte d'une augmentation des prix d'achat des matières premières, des difficultés à recruter de nouveaux collaborateurs, et des doutes sur la pérennité de l'entreprise à court terme viennent compléter la liste. Il est vrai que la numérisation à marche forcée de la société justifie les doutes quant à la dernière préoccupation.

Qu'en est-il du marché des imprimés publicitaires avec l'extérieur ?

En ce qui concerne le commerce extérieur, force est de constater que l'Hexagone importe massivement les imprimés publicitaires. La France importe plus de 7 fois plus qu'elle n'exporte ce type d'imprimés.

Si tous marchés confondus, la France a connu une baisse des importations de 3 %, elle a tout de même importé 137 661 tonnes d'imprimés publicitaires pour l'année 2017. Soit une augmentation de 6 % par rapport à l'année précédente. Les principaux pays exportateurs à destination du marché français sont l'Allemagne et l'Espagne, en ce qui concerne les imprimés publicitaires.

Pour ce qui est des exportations, la donne est tout autre. L'exportation d'imprimés publicitaires connaît une baisse de 17 % par rapport à l'année 2016. Tous marchés confondus, les exportations connaissent pourtant une tendance opposée, puisqu'elles enregistrent une hausse de 3 %.


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