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Les imprimeurs à l’honneur à Strasbourg lors de la Fête des Imprimeurs
Strasbourg accueillera, les 23 et 24 juin prochains, les métiers de l’imprimerie. En effet, la 4ème édition de la Fête des Imprimeurs s’installe dans la ville Alsacienne cette année. Cet événement majeur dans l’univers de l’imprimerie est organisé par l’association Espace Européen Gutenberg.
Cette association organise la Fête des Imprimeurs, tous les deux ans, à Strasbourg. L’EEG oeuvre en outre pour l’ouverture d’un Conservatoire & Ateliers de l’imprimerie et des arts graphiques à Strasbourg. L’association est devenue un acteur clef de la promotion de l’imprimerie et des arts graphiques.
Un projet ambitieux et chargé de sens pour cette année, puisque l’édition célèbre les 550 ans de la mort de Gutenberg. Ainsi, les métiers de l’imprimerie et du livre seront mis à l’honneur, le temps d’un week end.
Une édition commémorative de Gutenberg
La 4ème édition de la Fête des Imprimeurs intervient dans l’Année Gutenberg. En effet, il s’agit des 550 ans de la mort de l’inventeur de l’imprimerie. Ainsi, cette édition 2018 mettra en valeur six lieux emblématiques, dans le quartier historique de la ville de Strasbourg. Les professionnels de l’imprimerie et du livre seront amenés à présenter leur métier et à interagir avec les visiteurs. Les métiers anciens et contemporains seront représentés. Les visiteurs, agés comme plus jeunes, pourront ainsi s’arrêter à différents ateliers ludiques et participatifs et découvrir ces métiers. Le parcours peut se faire de façon aléatoire ou chronologique.
Les six différents lieux seront l’espace Saint-Michel de la cathédrale Notre-Dame, la cour intérieure des ateliers de la fondation de l’Œuvre Notre-Dame, le musée de l’Œuvre Notre-Dame, la Popartiserie, la chapelle des évangélistes de l’église Saint-Thomas, et la place Gutenberg évidemment. Le travail de Gutenberg sera mis en valeur lors de cet événement auprès de tous.
Le thème de cette édition sera “Or et Plomb”
Les visiteurs pourront découvrir les différents métiers de l’imprimerie autour de la thématique “Or et Plomb”. L’association Espace Européen Gutenberg précise que ce thème permet de mettre en exergue la diversité des métiers de l’imprimerie : “de la conception des caractères typographiques et de leur fonte en plomb à l’anoblissement des livres avec de l’or sous la forme d’enluminure ou de dorure des reliures”.
La thématique sera illustrée par plusieurs ateliers destinés aux visiteurs. Ces ateliers présenteront l’enluminure, la gravure de poinçons, la typographie, l’impression typographique, la fonte de caractères en plomb, l’enluminure ou encore le design graphique.
L’impression d’un objet pour cette édition
Chaque année, l’association Espace Européen Gutenberg édite un objet imprimé. Pour cette édition 2018, l’objet a été conçu et réalisé par deux célèbres dessinateurs : Jean Alessandrini et Laurent Bourcellier. Ils ont réalisé un ABCdaire à quatre mains. Ce fameux ABCdaire est constitué de 26 feuillets, et imprimés sur presse typographique. Chaque feuillet représente une lettre. L’ABCdaire est voué à être personnalisé au gré des ateliers : augmenté, enluminé, gravé, surimprimé, relié ou doré… L’occasion de mettre en pratique ces différents ateliers.
En outre, les enfants, à partir de 5 ans, auront leurs ateliers dédiés.
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L’Excellence Marketing a son prix, le sixième sera dévoilé en juillet
Il est de notoriété publique que les métiers du marketing forment un écosystème très compétitif où seuls les meilleurs peuvent prétendre aux postes les plus gratifiants au sein des entreprises les plus en vue. Dans un tel contexte professionnel il est important de mettre en lumière les compétences et les projets remarquables qui font avancer le métier. C'est bien là le rôle des Prix de l’Excellence Marketing. Ils récompensent avant tout l'originalité et la performance des démarches marketing devant un parterre de professionnels reconnus toujours à l'affût de nouveaux talents et de leurs idées disruptives.
L'originalité et la performance à l'honneur pour cette édition
La 6ème édition des Prix de l’Excellence Marketing aura lieu durant la "Nuit de l'Adetem", le 4 juillet 2018 à Paris. Cette soirée est placée sous le double signe de l'originalité et de la performance. On pourrait même préciser que les lauréats seront récompensés en fonction des risques professionnels qu'ils auront pris pour atteindre l'excellence. Une démarche marketing parfaitement disruptive ou une stratégie digitale intégrée et très poussée sont deux bons exemples de risques assumés par les meilleurs marketers, leurs startups ou leurs agences. Les différents jurys des différents prix seront particulièrement sensibles aux stratégies de lancement de produits et de services autant innovantes qu'efficaces. Chacun des 6 prix récompensera une spécificité de campagne en particulier afin que la pertinence de l'honneur reçu soit vraiment au rendez-vous.
Un grand prix, des prix, les places sont chères et convoitées
Beaucoup d'appelés mais peu d'élus pour cette 6ème édition des Prix de l’Excellence Marketing. La profession se demande déjà qui sont ceux qui succéderont aux prestigieux précédents lauréats comme Accor Hotels, Allo-média, Heineken, Ikea ou bien encore Michelin l'année dernière. Six categories seront représentées cette année: le Grand Prix Start-Up, le Prix Marketing B2B, le Prix Marketing Expérience Client, le Prix Marketing Responsable, le Prix de l’Innovation Marketing / Digitale et bien sûr le tant convoité Grand Prix de l’Excellence Marketing. Les jurys et le Grand Jury rassembleront 80 membres et tous les prix seront remis Salle Wagram. Deux cents candidats seront en compétition devant 600 participants et 2000 marketers.
Tous les candidats à cette 6ème édition des Prix de l’Excellence Marketing doivent s'inscrire en ligne et soumettre leurs dossiers avant le 14 mai 2018. Le statut d'Early bird sera pris en compte jusqu’au 1er mai et le palmarès définitif sera révélé au soir du 4 juillet 2018 lors de la 13e Nuit de l’Adetem. Seulement 6 slides pourront être utilisées par les candidats pour convaincre leurs jurys respectifs. Toutes les informations nécessaires aux candidatures ainsi qu'au déroulement de l'événement sont disponibles sur le site nuitadem.marketing. Une autre particularité des Prix de l’Excellence Marketing est la faible participation demandée aux candidats pour les frais d'inscription. Essentiellement constitués des frais de dossier ils sont de 75 € HT pour les membres déjà enregistrés, de 170 € HT pour les non-membres et de 40 € HT seulement pour les Start-up. Les Prix de l’Excellence Marketing sont ouverts à toutes et tous, souvent la fraîcheur des idées donne vie à des projets exceptionnels et réellement disruptifs.
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La publicité sur support print, où en est-elle ?
Le print existe toujours. Les entreprises ne doivent pas l’ignorer pour communiquer leur présence sur le marché, pour diffuser leur marque, produit et/ou service.
La place du print dans le monde de la communication
Bien que les réseaux sociaux soient devenus le support de communication préféré des marques, le print occupe toujours une place prépondérante dans le domaine de la publicité. Il a toujours su exister même si l’on pense à croire qu’il n’arrive pas à faire face au web et se décline peu à peu.
La lutte contre le web est assez complexe mais l’évolution de la technologie du graphisme l’a permis de bien se défendre. De plus, il n’est pas nécessaire de se battre contre le web. Ces deux modes publicitaires peuvent coopérer ensemble pour représenter une marque.
Plusieurs possibilités s’offrent aux entreprises : cartes de visites, flyers, brochures, prospectus, affiches…
Donc, toute entreprise qui souhaite accroître sa notoriété ne doit pas négliger ce support de communication. Le print est un moyen aussi efficace que le web pour toucher un grand nombre de clients potentiels.
Pourquoi utiliser le support print pour communiquer une marque ?
Le print présente de nombreux avantages :
- Ce support est très facile à stocker et à mémoriser.
- Grâce à son innovation et son évolution, l’utilisation de ce support démontre la créativité et le professionnalisme d’une marque.
- Que ce soit en B2B ou en B2C, le print fonctionne complètement pour réaliser une publicité efficace et influente. Inutile de préciser qu’il est indispensable de bien définir la cible pour réussir à la convaincre facilement.
- Il peut être utilisé pour valoriser l’identité visuelle d’une entreprise. C’est un moyen efficace et idéal pour mettre en avant un produit ou un service.
- Il est possible et totalement conseillé d’associer les deux modes de communications qui semblent être en guerre : le print et le web. Hybrider ces deux moyens veut dire attirer plus de clients. L’insertion des sites web et des comptes sur les réseaux sociaux peut susciter l’envie des clients potentiels d’en savoir un peu plus sur la marque.
Comment utiliser efficacement ce support de communication traditionnel ?
Le print est un moyen de communication passionnant qui arrive à impressionner une cible, peu importe sa tranche d’âge. Il faut tout simplement avoir une bonne imagination et un budget adéquat pour s’en servir convenablement.
Pour aider les entreprises à utiliser efficacement ce type de publicité, des idées innovatrices et captivantes leur sont proposées. Des professionnels offrent leurs services pour apporter une touche personnelle au support. Vous pouvez ainsi communiquer facilement votre marque quelque soit le format, la forme, le design ou la couleur du type de print choisi.
Cependant, sachez qu’il faut bien choisir le support publicitaire adéquat pour atteindre efficacement la cible. Quoique la carte de visite soit un moyen incontournable pour promouvoir votre identité visuelle, il n’est pas conseillé de le distribuer au grand public (dans la rue par exemple). Ce sont les flyers et les prospectus qui sont les mieux adapté à cette situation.
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L'émergence du marketing personnalisé
La présence sur le marché d'un nombre toujours plus croissant d'acteurs du marketing pousse les publicitaires à se tourner vers de nouveaux outils. Parmi ces outils visant la conquête de nouvelles cibles, le marketing personnalisé, ou marketing one-to-one. Cette stratégie est basée sur une approche individualisée de la communication publicitaire.
Elle ne se limite pas à une simple personnalisation basée sur le nom de la cible, mais sur d'autres critères comme la géolocalisation ou encore le comportement de l'internaute. Cette tendance repose sur divers leviers, permettant de concrétiser les idées des annonceurs.
Les enjeux du marketing personnalisé
Au bout de ces nouvelles stratégies de communication marketing, de nombreux enjeux permettant aux marques et aux entreprises d'atteindre leurs cibles, voire de fidéliser leurs clients. Et ainsi augmenter leurs revenus.
Améliorer la relation client
En proposant un contenu et une expérience personnalisés au client, le prestataire de service ou la marque lui fait savoir qu'elle le connaît, et qu'elle est à même de le comprendre. Il est en effet plus facile de convertir un prospect que de garder un client. Lorsque l'expérience de ce dernier est mise à mal, il n'a aucun mal à se diriger vers la concurrence. À ce niveau, personnaliser l'expérience de l'utilisateur, permet de construire une relation solide et confiante.
Disposer d'un outil décisionnel performant
La personnalisation du marketing permet grâce aux données dont l'on dispose sur les utilisateurs, d'anticiper leurs besoins. Cela permet de cerner les tendances et ainsi se positionner au moment opportun, pour proposer le service adéquat. Anticiper une tendance offre des perspectives prometteuses quant aux campagnes marketing à mener. Se servir de données comme l'âge, le nom, la localisation et les habitudes du consommateur, permet de proposer une communication personnalisée qui à coup sûr, aura plus d'impact sur la cible qu'une communication de masse.
Les leviers de la personnalisation dans le marketing
Pour se montrer efficace, cet exercice nécessite des leviers qui apporteront leur contribution à l'amélioration de cet outil. L'émergence du big data a par exemple été l'un de ces leviers.
La personnalisation nominative
Grâce aux informations recueillies par un site web dans le cadre d'une inscription client, il est possible de générer des newsletters nominatives. Il en est de même pour les mailings commerciaux, comme ceux que nous recevons des différents sites e-commerce.
Dans un registre similaire, la date d'anniversaire est souvent l'occasion pour les marques de proposer des codes de réduction en guise de cadeau. Il est certainement plus tentant d'effectuer un achat lorsque l'on dispose d'un coupon de réduction.
La personnalisation grâce à la géolocalisation
Des sites de vente en ligne comme Zalando proposent des prix différents dépendant des pays. Ainsi, d'une localisation à l'autre, le prix mentionné d'un article sur un encart publicitaire d'un site partenaire sera différent.
Il en est de même pour les produits à la vente. Certains sites proposent des articles dans certains pays qu'ils ne font pas dans d'autres. La géolocalisation devient en ce sens un levier pour une personnalisation marketing efficace. Cela permet d'atteindre une cible plus précise.
Le comportement de l'internaute
Grâce aux outils d'analyse statistique comme Google Analytics et d'autres, il est possible de mesurer l'activité d'un internaute sur un site web. De savoir combien de temps l'utilisateur passe sur un article. C'est le cas par exemple lorsque l'on est intéressé par un article et qu'au bout d'un certain temps, un conseiller en ligne propose son aide.
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L'intérêt d'une identité éditoriale pour promouvoir votre identité de marque
Généralement qui dit identité de marque pense charte graphique. S'il est vrai que l'identité visuelle est nécessaire pour construire l'identité de marque d'une entreprise, elle n'est cependant pas suffisante. En fonction du positionnement de la marque et de nombreux autres critères, il sera utile de construire une histoire autour de l'entreprise.
C'est en cela que l'identité éditoriale revêt une importance capitale. Les deux types d'identité doivent bien sûr être compatibles, et véhiculer un message qui s'adresse à la même cible.
Qu'est-ce que l'identité éditoriale d'une marque ?
Aussi bien pour une marque que pour un organe de presse, l'identité éditoriale s'oriente autour d'un ensemble de choix et critères permettant d'atteindre un objectif défini. Ces décisions d'orientations sont prises par le rédacteur en chef, ou parfois par un ensemble de personnes fixant la ligne éditoriale. On parle alors de comité de rédaction. Ces décisions sont généralement axées autour des critères suivants :
Atteindre sa cible
Cela passe par la définition du portrait-robot de la cible à atteindre. Il est ici question de déterminer dans un premier temps à qui l'on s'adresse, et ensuite trouver les moyens de toucher ce public.
Définir les sujets à aborder
Cela se déroule dans le cadre d'un marketing de contenu. Il faut trouver les sujets les plus à même de parler à la cible et de l'intéresser. Cette part relève notamment des blogs et réseaux sociaux.
La tonalité
Il est évident que le ton à employer dans les communications n'est pas le même que lorsque l'on s'adresse à un public d'adolescent ou à un autre d'une tranche 40 - 50 ans.
Le contenu des informations
De la même façon que les sujets à aborder, il convient de trouver des contenus pertinents à l'égard de notre cible. Si le sujet cible est le sport, le contenu du message n'est pas le même si l'on s'adresse à un sportif confirmé, qu'à une personne qui n'en pratique jamais.
Le support
Où diffuser le message ? Les réseaux sociaux, un blog, la presse écrite, la radio, la télévision, les flyers, les brochures ?
Fréquence de publication
Il est acquis que de façon générale, plus une entreprise a du prestige, moins elle communique. Notamment lorsqu'elle s'adresse à une tranche restreinte désignant son cœur de cible.
Quel lien avec l'identité de marque ?
L'identité de marque relate l'attitude que souhaite avoir cette marque vis-à-vis de sa cible. Pour cela, les codes visuels jouent un rôle important, puisqu'ils sont créés pour s'adresser directement à autrui. Prenons un exemple simple concernant la charte graphique. La typographie est un élément clé de l'identité visuelle d'une marque. Une police Comic Sans MS ne saurait pas se prêter à la campagne de communication d'un créateur de luxe. De même que les couleurs, le logo, et plein d'autres critères influent directement sur la cible atteignable.
Il en est de même pour l'identité éditoriale. Le contenu des critères autour desquels elle est axée diverge fortement en fonction de la cible. L'on ne saurait par exemple pas se défaire du vouvoiement dans le cadre d'une vente de produits de luxe, alors que cela est tout indiqué lorsque l'on vend des jouets à des enfants.
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Les professionnels de l'impression reprennent confiance
Après quelques années moroses, voire de crise pour certains, les imprimeurs sont plutôt optimistes. Les craintes qu'ils pouvaient émettre il y a peu ne sont pas totalement fondées. C'est le cas notamment de celles conséquentes à l'avènement de l'e-book. Certaines régions vont continuer à souffrir de la domination des médias numériques mais les fournisseurs tirent quand même leur épingle du jeu.
L'impression traditionnelle continue à tenir tête au tout digital, elle confirme même sa domination du marché du print.
Les menaces digitales sont moins importantes que prévues
Le moins que l'on puisse dire c'est que les professionnels du print, imprimeurs comme fournisseurs, ont eu le moral en berne tout au long de l'année 2017. Et pourtant, à la lecture du cinquième rapport de la Drupa sur les tendances globales du marché la profession a de quoi reprendre confiance.
Les produits liés à la révolution digitale que l'on croyait être les fossoyeurs notamment des livres n'ont pas provoqué la totalité des effets négatifs escomptés. Des études récentes prouvent en effet que les lecteurs retiennent bien mieux les informations lues dans un livre que sur e-book.
De plus les imprimeurs ont fait les efforts nécessaires pour que la qualité de leurs production deviennent plus attrayante. On a pu observer un regain d'affection pour l'imprimé. D'ailleurs les boutiques en ligne et les livres, épuisés ou non, imprimés sur commande font désormais partie des modes de consommation bien intégrés par le consommateur.
Certaines régions souffrent mais les fournisseurs font face
Malgré de bonnes perspectives pour les prochaines années certaines régions du monde sont plus soumises que d'autres à la crise du marché de l'impression. Si l'Amérique reste un marché fort et que l'on constate une progression constante de celui de l'Europe, l'Afrique et le Moyen-orient sont en perte de confiance.
Pour les fournisseurs, de façon générale, c'est la quatrième année de croissance ininterrompue. L'équipement, les matériels et les logiciels ont vu leur ventes augmenter de 29% en moyenne. Ce sont les meilleurs résultats observés depuis longtemps. Les imprimeurs rapportent cependant que la pression reste constante sur leurs prix comme sur leurs marges. Celle-ci est cependant très disparate selon les régions. Si les prix augmentent en Amérique du Nord ils ont plutôt tendance à chuter en Australie et dans toute l'Océanie.
Les prix de l'impression des emballages se maintiennent mais ceux liés à l'impression commerciale continuent de baisser.
L'impression traditionnelle domine le marché du print
La transition de la profession vers l'impression digitale continue mais de façon plutôt lente. La plupart des imprimeurs qui produisent de gros volumes sur tous types de supports sont largement dépendants des technologies numériques. Ils sont 60% à avoir sauté le pas et 50% des 40% restants confirment leur volonté d'effectuer leur transformation digitale. Ca n'est pas le cas pour ceux qui sont spécialisés dans l'impression d'emballages. Seulement 12% d'entre eux se sont laissés convaincre mais 25% ont la volonté de passer au numérique. On notera tout de même que 27% des imprimeurs, tous métiers confondus, disposent d'une vitrine web, ils n'étaient que 2% en 2014. Les imprimeurs sont plus de 42% à vouloir investir en 2018 alors que le déclin était de 9% l'année dernière.
Les spécialistes de l'emballage vont investir à 45%, les fonctionnels à 42%, les commerciaux à 30% et ceux qui sont spécialisés dans la publication à 20%. Ils le feront plus volontiers dans des technologies qui ont le vent en poupe comme Flexo et le Sheetfed Offset, pour les emballages.
Les technologies Digital Toner Cutsheet Color, Sheetfed Offset et Digital Inkjet Wide-Format seront adoptées par les imprimeurs commerciaux. Pour les imprimeurs fonctionnels c'est la Digital Toner Cutsheet Color et le Digital Inkjet Wide-Format qui seront prévalents.
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La créativité : la stratégie de développement d’une entreprise
La créativité est au coeur même de la stratégie de développement d’une entreprise. Les nouveaux médias émergents et le digital bouleversent les codes de cette créativité, et il est important de savoir composer avec ces nouveaux éléments. Quels sont donc les grands défis auxquels se confrontent les créatifs d’aujourd’hui ? Benjamin Marchal, membre du bureau du Club des DA nous livre son analyse et son interprétation.
Les défis créatifs d’aujourd’hui
Les créatifs d’aujourd’hui doivent faire face à différentes problématiques. Tout d’abord, l’essentiel est d’obtenir et de conserver une création plus liquide, sans pour autant perdre la pureté de l’idée. Dans les faits, il est souvent difficile de conserver le côté créatif sur tous les points de contact. L’idée initiale peut se perdre, et perdre en puissance et en efficacité.
Par ailleurs, après analyse du palmarès 2018 du Club des DA, on constate de nombreuses marques en concurrence directe, dans le même espace créatif. Par exemple, MacDonald et Burger King, Intermarché et Monoprix ou encore Leroy Merlin et Castorama. Des marques concurrentes, qui vont exercer leur créativité dans la même sphère et au même moment. Une analyse plutôt positive pour la création, puisque ces mêmes annonceurs étaient quelques années en arrière peu concernés par la création, et viennent aujourd’hui sur le devant de la scène.
Enfin, on note une tendance émergente sur les prochaines années dans l’univers de la création. En effet, le média affichage est pressenti pour revenir en force. En cause ? Le sur-développement d’internet, qui envahit notre quotidien de nouveaux formats et de nouvelles publicités. Cette invasion provoque l’émergence des adblockers, ce qui va impacter la publicité digitale.
L’affichage demeure un média simple, proposant une accroche simple et visuelle. Le média est inévitable, et est forcément vu, sans pour autant provoquer l’exaspération ou un sentiment invasif.
Des conseils pour des jeunes créatifs
Afin d’être le plus performant et le plus créatif possible, Benjamin Marchal propose trois conseils aux jeunes créatifs. Tout d’abord, la pige est fondamentale. Il est essentiel de voir et de comprendre ce qui a été fait avant. Ensuite, se confronter à la page blanche est une étape fondamentale. Se couper d’internet et de tout autre environnement qui pourrait parasiter la pensée : il est important de faire fonctionner sa tête et son inspiration dans le processus créatif.
Enfin, la culture est primordiale. Se cultiver et bouger les codes demeure le moyen le plus sûr d’obtenir une création originale et unique.
Un panneau publicitaire défiant tous les records
Afin de promouvoir un nouveau véhicule SUV, Ford a établi le brief d’une campagne impressionnante. L’objectif était de présenter un nouveau véhicule SUV Ecosport, capable de sillonner la ville, et également d’en sortir. Le constructeur a mis en place sa campagne sur une photo géante de 5 265m², installée sur le fameux Espana Building, au coeur de Madrid en Espagne.
La toile a demandé de nombreuses heures de travail, dont pas moins de 65h, consacrées aux retouches. Une hauteur de 135 mètres pour une largeur de 54 mètres, le constructeur a battu son propre record, de 241,93m² en 2014.
La preuve que l’affichage est bien visible par tous !
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En route pour l’édition 2018 du Fedrigoni Top Award
Le papetier italien Fedrigoni a officiellement lancé son concours de créations imprimées. Ce concours, à la dimension internationale, est destiné à récompenser la créativité, l’innovation, la qualité finale, les techniques d'impression et l'utilisation du papier et de ses différentes possibilités de communication. Le concours se destine aux professionnels du papier : graphistes, imprimeurs, éditeurs et utilisateurs finaux. Le but du concours pour ces professionnels est de mettre en lumière leurs meilleures réalisations imprimées sur papiers spéciaux de la marque Fedrigoni ou Fabriano, ou sur étiquettes adhésives Manter.
Le déroulé du concours de créations imprimées
Le concours concerne des créations précises. En effet, quatre catégories de réalisations d’imprimés sont représentées. L'Édition (livres, éditions d’art, magazines), Étiquette (étiquettes destinées pour le vin, spiritueux, gastronomie, etc…), Identité visuelle (brochures, catalogues, invitations, calendriers, agendas, etc…) et enfin Packaging (cartons d’emballages, sacs à provisions, présentoirs, conteneurs doublés, etc…). Chaque projet doit donc entrer dans l’une de ces quatre catégories. En outre, ces imprimés doivent avoir été créés entre juillet 2016 et juin 2018.
Une fois ces projets présentés, trois prix sont décernés par catégorie. Un prix est également décerné dans chaque catégorie pour le meilleur projet développé via la technologie d’impression HP Indigo. Les internautes pourront élire un gagnant.
Les meilleurs projets du concours se verront remettre un trophée symbolique, et auront la chance d’être présentés lors d’une exposition, qui aura lieu à Berlin au printemps 2019. Par ailleurs, un catalogue sera édité, présentant les projets récompensés. Ce catalogue sera diffusé à l’échelle internationale.
Les projets pour cette nouvelle édition peuvent être présentés jusqu’au 10 juin 2018, via le site web du concours. Les résultats ne seront pas dévoilés avant fin janvier 2019.
Retour sur l’édition 2017 du Fedrigoni Top Award
La cérémonie finale de l’édition 2017 du Fedrigoni Top Award s’est tenue en Espagne, au sein du Museu del Disseny, à Barcelone. Les gagnants du concours 2017 ont donc été dévoilés.
Cette dixième édition fut un vrai succès, puisqu’elle a enregistré plus de mille inscriptions : 1 116 projets ont en effet été présentés, contre 800 l’année précédente.
Chaque catégorie était donc représentée, et a récompensé ses gagnants :
- En catégorie Edition c’est le projet designé par Tomadesign, (République tchèque) qui l’emporte. Jde o to aby o neco slo, typograf Oldrich Hlavsa de Barbora Toman Tylova, a en effet remporté les suffrages. Cet ouvrage est le premier livre complet sur le travail du typographe du designer Oldrich Hlavsa.
- La catégorie Etiquettes a récompensé Piquentum Sv. Vital, imprimé par Etikgraf doo (Croatie). Cette étiquette pédagogique présente, grâce à des cercles réalisés en gaufrage, les précipitations mensuelles de l’année de production du vin.
- Le Royaume Uni s’est imposé dans la catégorie HP Indigo, avec Off Black imprimé par FE Burman. Ce magazine de mode a été édité en grand format, et compte quatre couvertures différentes.
- La catégorie Publication d’Entreprise a salué le projet français Ysl. Mon Paris imprimé par Opero (Italie) et dessiné par l'agence parisienne Akatre. Le dossier de presse de la marque de haute couture est un ouvrage particulièrement travaillé, cousu de fils noirs, et proposé dans un étui avec deux blocs-notes.
- Enfin, la catégorie Emballage a récompensé le packaging premium et fonctionnel Adega Velha 6 et 12 Xo par Manufacturas Aeme, LDA (Portugal).
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Internet à la rescousse du marché de la publicité face à l'effondrement de la presse
Dans le secteur du marché publicitaire, si la télévision se porte plutôt bien, ce n'est malheureusement pas le cas de tous les médias. La presse écrite fait en effet face à un vent contraire et voit ses revenus publicitaires chuter. Elle a en effet connu une baisse de 7,4 % en 2017 dans l'Hexagone. Et ce après une baisse de 6,7 % l'année d'avant.
À côté, Internet tire son épingle du jeu en s'affichant comme le grand gagnant de cette économie. Sur l'année 2017, les revenus publicitaires générés par la toile en France ne représentaient pas moins de 4,09 milliards d'euros.
Des recettes publicitaires qui s'effondrent pour la presse
Si l'encart publicitaire vendu dans un magazine papier est plus onéreux que sur la toile comme nous le signalions dans cet article, le constat à faire est que cela n'attire qu'un nombre limité d'annonceurs. Les chiffres sont parlants. La presse quotidienne régionale à elle seule a connu un effondrement de ses recettes publicitaires de 4,6 % . Cette baisse continue de revenus liés à la publicité touche de plein fouet la presse magazine. Elle a cependant permis à elle seule de générer près de 730 millions d'euros. Malgré ce statut de locomotive de l'économie publicitaire dans l'édition papier, le secteur a enregistré une chute de 11,4 % sur une année.
Seules les revues spécialisées enregistrent encore des chiffres à la hausse. C'est le cas par exemple du secteur des magazines de jardinage qui a vu son volume d'insertions publicitaires augmenter de 51 % en un an. Tandis que le nombre d'annonceurs des magazines Famille - Santé augmentait de 4 % sur la même période. La presse hebdomadaire régionale elle se contente de revenus publicitaires estimés à 108 millions d'euros, connaissant une baisse globale de 2,9 % .
Internet rafle la mise
Le grand gagnant du marché de la publicité est bien Internet. Sur une année, c'est le secteur qui enregistre la plus forte hausse de ses revenus publicitaires. Cette hausse est de 12 % par rapport à 2016.
Dans le secteur du digital et internet, on peut séparer les revenus publicitaires en deux grands types. Le Display (affichage de bannières) et le Search (moteurs de recherche). Le Display affiche une hausse de 20 % de ses recettes publicitaires, pour atteindre 1,450 milliard d'euros en 2017. En 2016 déjà le secteur enregistrait une hausse de 14,5 % . Quant à la publicité Search, elle voit ses recettes passer à 2,050 milliards d'euros. Enregistrant ainsi une hausse de 8 % en un an.
Comme l'on peut le voir, le secteur de la publicité en ligne se porte plutôt bien. Avec des secteurs comme le print (flyer), la TV et le cinéma, elle a réussi à porter les recettes provenant des annonceurs à la hausse. C'est simple, sa croissance soutenue lui permet dorénavant de générer plus de revenus publicitaires que la télévision. Avec un climat morose pour la presse écrite, il est évident que les éditeurs doivent se réinventer, ou miser dorénavant sur le digital.
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Les nouveaux standards de l'impression par sublimation
L'impression par sublimation est une technique numérique qui a pris le pas sur des méthodes plus anciennes. Particulièrement économique, elle s'avère aussi pratique. Ce procédé offre une grande latitude et permet de personnaliser les différents tirages effectués. Tout en bénéficiant d'une flexibilité des machines.
Les industries du textile, du verre, porcelaine et autres n'échappent pas à la règle. La sérigraphie a depuis peu laissé sa place à cette solution numérique, notamment en terme de personnalisation des produits. Quels en sont les nouveaux standards ?
Qu'est-ce que l'impression par sublimation ?
Avant d'entrer dans le vif du sujet, tâchons de définir ce qu'est l'impression par sublimation. Il s'agit d'une impression par transfert à encre spécial. Ces encres sont sensibles à la chaleur et se transforment en gaz sous l'effet de celle-ci. L'encre est alors combiné à un support en polyester et devient partie du matériau cible. Cela permet aux images ainsi imprimées de ne pas se décoller, encore moins de craquer au fil du temps.
La majeure partie des imprimeurs possèdent ces machines dédiées au transfert d'image. Il est même quasiment devenu indispensable pour une imprimerie d'en disposer tant la demande est croissante. Cela va de la communication d'entreprise aux besoins personnels de clients. Voire dans le cadre de la commercialisation d'un nouveau produit.
Des standards sans cesse revus à la hausse
Dans le domaine du graphisme, le but constamment recherché est un meilleur rendu. L'impression par sublimation ne déroge pas à cette règle. Et notamment en ce qui concerne les encres. C'est le cas des encres de sublimation Sublisplash® qui propose des innovations affectant le rendu des impressions. Au menu de ces améliorations on note une meilleure stabilité de l'encre, une intensité plus forte, mais aussi un rapport qualité/prix revu à la hausse. Celle qui nous intéresse ici est l'intensité des couleurs, avec notamment la teinte noire. L'encre Sublisplash offre un contraste élevé qui permet d'offrir une image plus dynamique. Cela est possible grâce à une nouvelle teinte noire beaucoup plus profonde. Cette intensité produit des résultats visuels impressionnants. Une aubaine pour des impressions sur textile, mugs ou verre dans le cadre d'une communication d'entreprise.
Le verre personnalisé : nouvelle application de l'impression par sublimation
En parlant d'impression sur verre, elle aussi bénéficie des nouvelles techniques d'impression par sublimation. Le verre personnalisable est en plein essor et plusieurs entreprises ont décidé de sauter sur ce créneau. Tant les fabricants ont cerné les enjeux.
Les applications sont nombreuses. Cela va de la porte en verre d'intérieur au mur de douche. L'Impala de SwissQprint offre à cet effet une vitesse d'impression et une qualité irréprochables. En plus du verre, l'Impala offre une large variété de supports. Elle permet en effet de reproduire une image aussi bien sur une porte d'entrée que sur une crédence de cuisine.
En conclusion
Il est clair que réussir son impression nécessitera une imprimante de haute qualité et des encres dédiées. La personnalisation d'objets étant de plus en plus populaire, nul doute que l'impression par sublimation délivrera de nouveaux standards, toujours plus innovants.
