Le cloud computing - Margy Consultants blog

Découvrez les secrets du cloud au service du marketing digital lors de la Cloud Week 2016

Le cloud computing a sa semaine. Elle se déroulera du 4 au 8 juillet 2016 à Paris. Après le succès de l’édition précédente, EuroCloud renouvelle son invitation à participer à la Cloud Week avec tous les experts et les organisations professionnelles majeures de la révolution du cloud computing. Apparu depuis quelques années seulement, il bouleverse tout le système informatique des entreprises, en particulier dans leur communication digitale. Avant de vous présenter les grandes lignes de cette semaine du cloud, revenons sur le cloud computing au cœur des TPE et PME.

Le cloud computing, l'outil digital qui dope le marketing des entreprises

Le cloud computing, que l'on traduit par « l'informatique dans les nuages », est un concept assez récent, véritable marqueur de la transformation digitale dans les TPE et PME. Il permet au cœur du marketing de l'entreprise de bénéficier d'une colossale puissance de calcul et de stockage de l'information. Ainsi les entreprises disposent en ligne de divers services : des applications métiers, du stockage ou du calcul.

Selon une enquête réalisée par IDC auprès de 150 PME françaises de 50 à 1000 salariés, 78% d'entre elles disent utiliser des outils de cloud computing en 2015. Elles devraient être 92% en 2016. Cela concerne principalement des solutions applicatives de gestion, du CRM (gestion de la relation client), de l'ERM (gestion des risques) et du HCM (logiciel de gestion de ressources humaines). Les entreprises ont ainsi largement intégré les mutations profondes induites par le cloud et la digitalisation de l'économie plus globalement, en particulier dans leur stratégie de communication.

La Cloud Week à Paris, l'incontournable rendez-vous marketing

La Cloud Week aura lieu du 4 au 8 juillet 2016 à Paris. Cette seconde édition prévoit une dizaine d'événements dans toute la capitale. Organisé par EuroCloud France, cette manifestation s'adresse à l'écosystème du cloud computing. Elle traitera des grands enjeux du cloud et en particulier des usages et de la valorisation des données lors de conférences, tables-rondes, ateliers thématiques et rencontres professionnelles. À l'instar de la première édition, les organisateurs espèrent rassembler plus de 4.000 responsables d'entreprises, TPE et PME, voire même atteindre les 5.000 visiteurs pour prendre pleinement une dimension européenne.

Parmi l'ensemble des événements de cette semaine, la conférence des visionnaires réunira lundi des personnalités d'univers variés qui exposeront leurs avis sur l'avenir du digital. La soirée des trophées suivra avec la remise de 5 récompenses permettant d'accéder au concours européen. La CCI de Paris animera mardi une conférence sur les raisons pour lesquelles le cloud est une réalité pour les entreprises. De nombreux experts du domaine évoqueront la blockchain et ses ambitions. Le CDRT (Club des Dirigeants Réseaux et Telecoms) organisera, par ailleurs, une matinée sur les communications unifiées dans le cloud. La journée de mercredi sera consacrée aux États Généraux d'EuroCloud France avec les interventions de plusieurs grands DSI. Jeudi sera notamment l'occasion de la conférence sur « le marketing appliqué au SaaS, vers un nouveau paradigme ».

La semaine du cloud début juillet est l’événement fédérateur de l'ensemble des acteurs du cloud en France et en Europe. En favorisant les échanges et les rencontres professionnelles, la Cloud Week participe à la sensibilisation des entreprises, petites et grandes, à ce nouveau facteur de compétitivité.


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Identité visuelle de l'entreprise - Margy Consultants blog

Soigner l’image de l’entreprise grâce à son identité visuelle

L’ identité visuelle d’une entreprise est l’ensemble des éléments graphiques représentant une société. Elle se traduit par l’assemblage de formes, de couleurs, d’éléments typographiques, de symboles… L’objectif est d’apporter à chaque entreprise une identité propre par laquelle elle sera directement reconnaissable. A-t-elle réellement un impact pour l’entreprise ? Faut-il la renouveler au fil des années ?

Quelle est l’importance de l’identité visuelle pour une entreprise ?

Établir le premier contact entre l’entreprise et le prospect

L’identité entreprise doit donner le ton. Elle constitue le premier contact entre le prospect et l’entreprise et doit donc attirer un client potentiel et être facilement reconnaissable. Un logo trop compliqué à comprendre pourrait avoir des répercussions négatives sur les cibles. La police, les couleurs, le graphisme, tous les éléments doivent être étudiés au mieux afin de produire un travail en accord avec ce que l’entreprise souhaite véhiculer. Si le branding réussi à séduire le prospect, ce dernier pourra passer à l’étape suivante, à savoir passer commande ou faire une demande de devis.

Véhiculer les valeurs de l’entreprise

Le but d’une entreprise est de transmettre un message, des valeurs. Cela se produit à travers sa communication et forcément son identité visuelle. En effet, celle-ci doit, grâce à ses spécificités, être le reflet de l’entreprise et véhiculer les valeurs qu’elle défend. Grâce à cette identité, l’entreprise peut ainsi faire passer certains messages inconsciemment et se positionner dans un secteur précis, voire toucher une cible spécifique (les jeunes, les personnes aisées, les particuliers, les professionnels…).

Se différencier de ses concurrents

L’identité de l’entreprise permet également de se différencier de ses concurrents. Les entreprises évoluant dans un secteur concurrentiel doivent pouvoir se différencier grâce à une identité bien singulière. C’est le moment de faire jouer sa créativité et de marquer les esprits. Avec une identité visuelle décalée, l’entreprise a plus de chances de susciter la curiosité et d’avoir une longueur d’avance sur ses concurrents. Un logo attrayant, une typographie originale, des couleurs en accord avec les valeurs de l’entreprise sont tous autant d’atouts de séduire de futurs consommateurs.

L’identité de l’entreprise doit-elle évoluer avec le temps ?

La question de l’évolution ou du changement de l’identité visuelle d’une entreprise se pose souvent. Faut-il modifier un logo ? Les clients ne vont-ils pas se perdre si l’on procède un tel changement ? Telles sont les interrogations que chaque entreprise est en droit d’avoir. Il est pourtant indispensable pour une entreprise de faire évoluer son identité au fil des années et des nouveautés en matière de graphisme. Une identité percutante dans les années 90 ne sera pas autant efficace dans les années 2010 à l’ère du développement du graphisme et de la typographie. Cependant, changer d’identité ne signifie pas changer ses valeurs où le message que l’entreprise souhaite véhiculer. Il est possible de garder des éléments forts (couleurs, symboles…), mais de les utiliser à travers un graphisme plus actuel et plus étudié.


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Cadrat d'or récompense 3 imprimeries - Margy Consultants blog

La CCFI décerne un Cadrat d’Or à 3 imprimeries

À l’occasion de sa 60ème édition, le concours du Cadrat d’Or récompense 3 imprimeries pour les œuvres proposées. Deux arrivent première ex-aequo La Manufacture d'Histoires Deux-Ponts et Technic-Plus-Impression (TPI). Un troisième prix « coup de cœur » est exceptionnellement attribué cette année. Une édition 2016 riche en récompenses.

Qu’est-ce que le Cadrat d’Or

Le Cadrat d’Or représente un prix récompensant l’imprimerie française la plus innovante et créative. Pour y participer, il suffit, pour chaque imprimerie, de présenter 2 à 3 ouvrages industriels proposés à la vente accompagnés d’une fiche d’inscription. Un jury se charge d’attribuer la récompense au meilleur imprimeur de France . Ce jury compte principalement sa présidente Véronique Pivat et Pascal Lenoir, le président de la CCFI. Pour ce 60ème concours, ce ne sont pas moins de 24 dossiers qui ont été présentés au jury. C’est le 19 mai dernier que les résultats ont été annoncés au sein de l’Ecole Militaire de Paris. Compagnie des chefs de fabrication de l’imprimerie récompense ainsi pas moins de 3 imprimeries. Deux arrivent ex-aequo en première position . Une troisième se voit distinguer pour le « coup de cœur » qu’elle a procuré aux membres du jury.

Quels sont les lauréats des 3 Cadrat d’Or

Le Cadrat d’Or pour la créativité et l’innovation au service de l’édition

Le lauréat de ce prix est décerné à La Manufacture d'Histoires Deux-Ponts. Implantée à Bresson non loin de Grenoble, cette imprimerie s’est vue récompenser pour la qualité et la créativité des travaux présentés. Déjà lauréate en 2008, c’est la seconde fois que cette imprimerie reçoit un Cadrat d’Or pour ses travaux.

Le Cadrat d’Or pour la créativité et l’innovation au service de la communication

Pour sa première participation au concours, c’est l’imprimerie Technic-Plus-Impression (TPI) située à Betton près de Rennes qui arrive premier ex-aequo. Elle remporte ainsi le Cadrat d’Or pour la création et l’innovation au service de la communication. Un prix gage de qualité et d’excellence pour cette imprimerie.

Le Cadrat d’Or « coup de cœur numérique du jury »

Déjà lauréate d’un Cadrat d’Or en 2010, l’imprimerie numérique E-Center de Malakoff (Ile-de-France) a reçu un prix « coup de cœur numérique » pour ses réalisations. Un prix encourageant pour cette imprimerie novatrice, qui lui permettra de continuer son cheminement vers les nouvelles technologies.

Un prestigieux événement en présence de personnalité

La célébration de cette 60ème édition s’est déroulée en présence de près de 230 personnalités. Des personnalités du monde du graphisme et des arts, des compagnons de la CCFI sans oublier les représentants du ministère de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique. Ces derniers, principalement Benjamin Leperchey, sous-directeur des industries de santé et des biens de consommation, a tenu à mettre en avant le savoir-faire français et la qualité des ouvrages présentés. Il félicite les participants pour leur adaptation au sein d'une branche en constante évolution.


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La relation client - Margy Consultants blog

Une relation client efficace repose avant tout sur la confiance

Aujourd'hui, pour fidéliser le client, il devient de plus en plus important d'établir une réelle relation de confiance avec lui. C'est un processus qui s'établit sur le long terme, qui est fragile également car la confiance peut très vite se perdre, mais qui permet de transformer de simples consommateurs en personnes réellement impliquées pour défendre vos produits, dans le meilleur des cas. Quelques astuces permettent de construire une relation client durable.

Connaître ses clients est essentiel pour les fidéliser

Il est de plus en plus facile de collecter des données sur vos clients. N'importe quelle entreprise digne de ce nom devrait aujourd'hui disposer d'une base clientèle documentée.

Plus elle contient de niveaux, plus elle sera efficace car vous pourrez alors réellement personnaliser les messages que vous adresserez aux consommateurs de vos produits. Un simple message d'anniversaire ou une promotion sur des achats récurrents, sans être d'une grande originalité, sont des procédés simples qui prouvent que vous suivez vos habitués. Montrez que vous êtes proche de vos clients et qu'ils ne sont pas que des numéros sur une liste trop grande. Attention cependant à la gestion des données : Selon une étude Verint, réalisée en partenariat avec Ovum et Opinium, 30 % des Français ne font pas confiance aux entreprises en ce qui concerne la sécurisation des données. N'hésitez pas à être précis sur les raisons qui vous poussent à collecter certaines informations, afin de rassurer les prospects et n'allez pas au-delà de ce pour quoi vous vous êtes engagé. Un client rassuré est un client confiant.

Les clients sont partout, sur internet et ailleurs

Vos clients ne sont pas uniquement ceux qui fréquentent votre site internet.

Ils sont aussi présents sur les réseaux sociaux. Il est donc important d'aller à leur rencontre également sur ces canaux, parce qu'une bonne relation client ne se résume pas à un échange réussi lors de l'acte de consommation.

Pour établir un sentiment de proximité, il faut non seulement être présent, mais dialoguer avec les consommateurs. Répondre aux messages, qu'ils soient critiques, positifs ou simplement interrogatifs, prouve aux lecteurs que vous vous intéressez à eux.

Cette pratique vous permet également de mieux comprendre les attentes des clients ou des prospects et d'adapter, le cas échéant, votre offre à ce besoin. Dans le cadre d'une relation de proximité, il est aussi d'usage de s'intéresser aux pratiques et aux événements locaux, et cela aussi bien pour les petites entreprises que pour les multinationales (certaines enseignes de fast-food proposent quelques produits régionaux selon le pays où est implanté le magasin).

Pourquoi la confiance de vos clients est-elle si importante pour vous ?

Un client confiant s'implique et se sent concerné par la marque. C'est aussi un consommateur qui se fidélise. Quand une relation fiable est établie entre une entreprise et un individu, ce dernier aura une nette tendance à retourner vers celle-ci pour ses achats ultérieurs.

La confiance s'établit bien sûr par une politique de prix bien affichée comme par le respect des délais, et pas uniquement par une présence continue sur internet. Ce n'est d'ailleurs pas un sentiment à sens unique : une société peut également montrer à ses clients qu'elle a confiance en eux, par exemple en acceptant les retours sans justification. La relation devient alors gagnant-gagnant et chacun y trouve son compte.


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5 axes stratégiques de diversification de l'imprimerie - Margy consultants blog

5 axes stratégiques de diversification de l'imprimerie

Face à un contexte économique déprimé, le secteur de l'imprimerie de labeur cherche de plus en plus à se réinventer en diversifiant ses activités. En effet, les temps ne sont pas cléments pour les imprimeurs qui doivent affronter depuis plusieurs années la baisse de la demande tant au niveau des professionnels que des particuliers et son corollaire l'exacerbation de la concurrence. En conséquence, les imprimeries se doivent de muter hors du tout print pour étendre leurs marchés en imaginant de nouvelles orientations stratégiques faisant évoluer leur modèle.

L'impression grand format

Les marchés en forte expansion de la communication visuelle représente un axe de diversification du print. Grâce à l'impression numérique, le grand format est accessible aux imprimeurs moyennant l'acquisition d'équipements peu onéreux. Pour conquérir ces nouveaux marchés, les imprimeries peuvent devoir aussi développer des services de livraison (comme dans l'événementiel), de poses (pour la distribution notamment), voire d'écrans connectés.

L'interface client web-to-print

À travers le web-to-print, l'imprimerie met en place un site Internet permettant aux particuliers de commander directement en ligne des documents imprimés (B2C) ou aux professionnels de gérer de façon collaborative leurs impressions (B2B). Renouvelant la relation client, les solutions web-to-print permettent de capter une nouvelle clientèle intéressée par le print sur une zone de chalandise étendue, de fluidifier la communication entre l'imprimeur et ses clients et de simplifier l'acte d'achat ainsi que d'optimiser l'utilisation de l'outil de production.

La réalisation de sites internet

Au cœur d'une stratégie de fidélisation de sa clientèle, le développement d'une offre de conception de sites web représente un service complémentaire pour une imprimerie. Favorisant la satisfaction de ses clients, l'imprimeur propose ainsi une solution globale de communication : de la création graphique au print et au web, en passant par le conseil. En proposant une large gamme de services, ce positionnement offre l'opportunité de renforcer la relation client et d'augmenter les commandes.

L'adhésif

Avec le développement de l'impression rotative numérique, le secteur de l'adhésif s'est ouvert aux imprimeries traditionnelles souhaitant diversifier leurs activités. Le marché des étiquettes adhésives étant en forte croissance, les investissements nécessaires s'avèrent vite rentables pour les imprimeurs proposant une offre complémentaire au print. Laissant augurer un avenir toujours porteur, l'intérêt de l'adhésif réside également dans l'innovation technologique apportée aux rotatives numériques leur permettant de gagner en productivité.

L'électronique imprimée

Imprimer sur des supports industriels, tels des tags NFC ou RFID, des éclairages OLED, des capteurs biomédicaux, des batteries, des circuits imprimés, ... représente une diversification impliquante dans la mesure où elle suppose la gestion d'un atelier chez le client. Néanmoins offrir en plus du print un segment sur le papier intelligent (ou communicant) offre de réelles opportunités de développement de marchés à forte valeur ajoutée liées aux mutations technologiques de l'électronique imprimée.

L'avènement de l'usage du numérique a, d'un côté, fragilisé le secteur de l'imprimerie en le concurrençant et, paradoxalement, d'un autre côté, lui a offert d'améliorer la qualité de ses produits, de doper sa productivité et sa compétitivité ainsi que de diversifier son offre. Ainsi les imprimeurs face à la crise que connaît leur métier disposent de réelles opportunités stratégiques pour rebondir, conquérir de nouveaux marchés et revaloriser le print.


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iMédia Brand Summit 2106 - Margy Consultants blog

iMédia Brand Summit 2016 : zoom sur le marketing digital

Avec la multiplication des commerces en ligne et du tout numérique, la question du marketing digital prend une place de plus en plus importante. Les commerces attestant d’une présence en ligne, il devient nécessaire pour eux d’adapter leur communication en pratiquant le e-marketing . À ce titre, la rencontre annuelle du marketing digital iMédia Brand Summit (anciennement Digital Marketing One to One) prévoit l’intervention d’experts en communication numérique. Gros plan sur ce rendez-vous tant attendu des entreprises et autres passionnés de marketing.

Les enjeux du marketing digital pour les entreprises

La conférence annuelle sur le marketing digital se tiendra les 1er et 2 juin 2016, à Biarritz. Ce rendez-vous d’affaires réunira pas moins de 500 spécialistes de l’e-marketing . Au programme plusieurs tables rondes organisées et pas moins de 800 rencontres d’affaire entre prestataires et décisionnaires. L’objectif étant de dresser un bilan sur la situation et l’importance du marketing digital aux niveaux national et mondial. Cette rencontre aura également pour but de trouver des solutions sur le long terme, en matière de communication numérique et de gestion de consommateurs.

5 conférences plénières pour cette rencontre marketing

Keynote "Prendre la vague de l'entreprise digitale de 2030" :

Pour l’ouverture de cette rencontre, Joël De Rosnay conférencier et personnalité de l'Économie Numérique, nous présentera les organisations qui pourront être présentes en 2030. Avec une évolution vers le tout numérique, il abordera l’avenir de l’entreprise dans cet univers digital et la notion de « consommateurs augmentés ».

Zoom sur le Data Management Platform :

Le 1er juin, de 18h15 à 19h15, les experts en communication prendront la parole afin d’exposer la situation des Datas Management Platform et de leur avenir dans le domaine du marketing digital. Différents intervenants se succéderont pour mettre en lumière ces plateformes de gestion d’audience et leur popularité chez les marchands en ligne.

Conférence sur la Customer Experience :

Le 2 juin, de 9h à 10h, se tiendra une conférence sur les adeptes de la Customer Experience. Différents spécialistes et chefs de département marketing pour de grands groupes. Cette intervention doit mettre en lumière l’expérience client, ses adeptes et ses défenseurs. Qui sont-ils ? Quelles sont leur stratégie ?

Intervention de David Shing :

Le 2 juin, de 12h15 à 13h15, David Shing, Digital Prophet – AOL évoquera la place de la créativité dans la publicité. La tech disruptive et la programmatique ont-elles définitivement volés la vedette à la créativité dans le monde de la pub ?

Table ronde sur le crowd-marketing :

Pour finir, le 2 juin, de 18h à 19h se tiendra une table ronde sur le crowd-marketing . Quelle place tiennent les avis consommateurs dans la communication d’une marque. Est-il nécessaire de limiter le crowd-marketing dans les années à venir ? Au contraire, les marques doivent-elles s’associer aux consommateurs pour promouvoir davantage leurs entreprises ? De nombreuses problématiques seront ainsi abordées.


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Conférence marketing - Margy Consultants blog

En 2016, Le marketing digital cherche sa place dans les entreprises

Plutôt que de regarder dans le marc de café, les professionnels ont préféré échanger leur expérience lors de la conférence sur les frontières du marketing digital organisée par Viuz. Des échanges qui ont permis d’envisager les courants dans ce domaine pour les années à venir.

La tendance de fond tout d’abord : la publicité digitale domine le secteur et supplante la publicité télévisée. Les marketeurs tablent sur une progression de 8,1 % de publicité online contre +0,3 % pour le marché global tous médias confondus.

La réalité virtuelle n’est plus une vue de l’esprit

Ceci posé, Thomas Husson, analyste chez Forrester a attiré l’attention sur quelques pistes. L’usage de la réalité virtuelle va augmenter significativement. En 2016, on estime à 1 million le nombre de casques utilisés aux États-Unis. En 2020, ce chiffre atteindrait 50 millions, dont 20 millions en entreprise. Les secteurs les plus concernés par son usage seront les secteurs du tourisme de luxe et de l’automobile.

Le mobile : omniprésent et indétrônable en 2016

Autre tendance majeure : le mobile supplante le PC et s’immisce de plus en plus dans notre vie privée. Le « mobile first » est en train d’être dépassé par le « mobile only » et se place au centre de la galaxie des objets connectés (IOT). Quelques chiffres donnent la mesure de cette omniprésence. En 2015, Facebook a réalisé 78 % de ses revenus publicitaires sur mobile, 51 % du temps passé sur Internet l’est via notre téléphone et 50 % des 100 milliards de requêtes sur Google se font avec lui. Notre smartphone est partout, empiétant sur notre temps libre et nos loisirs, petit monstre chronophage et omniscient.

2016 : 75 % du trafic web sera de la vidéo

Depuis 2011, l’usage de la vidéo ne cesse de croître. Chaque jour, elles sont 8 milliards vues sur Facebook ou Snapchat et un internaute regarde en moyenne 40mns de vidéo par session. Pour faire face à cette suprématie, Google a lancé YouTube Kids et YouTube Gaming. Objectif de ce ciblage, permettre aux annonceurs de détecter les intérêts du public visé pour mettre en adéquation la publicité digitale. Aux professionnels de déterminer le bon format de vidéo à développer, même si une préférence se dessine pour les « short time ».

Personnalisation de la publicité digitale

Dernier constat majeur, la nécessité de réaliser un marketing digital toujours plus personnalisé. Chez l’Oréal, Laurent Laforest rappelle que la communication passe, dans leur domaine, par le biais des influenceurs. Comprendre sous ce terme barbare, les blogueurs et les réseaux sociaux.

Les blogs toujours plus spécialisés deviennent un intermédiaire incontournable dans le secteur du luxe et du maquillage. Toutefois, ce pouvoir d’influence nécessite une véritable objectivité de leur part et la promotion de produits doit être encadrée clairement par des articles sponsorisés.

Les réseaux sociaux sont davantage sollicités par la tranche d’âge 16-34 ans qui se réfère à eux dès qu’ils recherchent une information. Passé 50 ans, le moteur de recherche reprend ses droits.

Aux marketeurs d’imaginer, comme chez Sosh ou Parisien, des campagnes en fonction des habitudes et intérêts des internautes. Contenu ciblé, propositions d’abonnements en fonction des données recueillies permettent un meilleur taux de conversion.

La dure réalité du marketing : faites ce que je dis…

Une fois toutes ces tendances analysées, testées et appliquées, il faut, toutefois, revenir à la réalité des chiffres. Dans les entreprises le fossé entre les habitudes du consommateur et les pratiques marketing est loin d’être comblé.

En 2015, seules 7 % des entreprises répondant au Baromètre Idaos sur la transformation digitale ont investi dans les nouvelles technologies et modifié leurs méthodes de communication. Ailleurs, tout reste en devenir. La tendance du marketing digital en 2016 commence peut-être par une prise de conscience qu’Internet est devenue une réalité.


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Additive Manufacturing Europe, premier salon européen de l'impression 3D- Margy consultants blog

Additive Manufacturing Europe, premier salon européen de l'impression 3D

Successeur du 3D Printshow

Le salon Additive Manufacturing Europe devient le successeur du fameux salon 3D Printshow, dont la troisième et dernière édition s'est tenue à Paris les 16 et 17 Octobre derniers. Son organisateur, le groupe Tarsus, a choisi de lui donner une nouvelle orientation, et de regrouper les salons de Londres, Madrid et Berlin sur un seul site à Amsterdam aux Pays Bas. Additive Manufacturing Europe devient donc un salon orienté B2B, principalement pour les secteurs de la santé, l'automobile, l'aérospatial et le prototypage industrie. Le salon étant européen, il sera décliné en plusieurs langues afin de faciliter l'accessibilité à tous.

Un salon entièrement consacré à la fabrication additive

Du 28 au 30 Juin tous les professionnels de la fabrication additive seront présents au RAI d'Amsterdam. En effet, cette technologie connaît une très forte expansion encore en 2016. De nombreux projets voient le jour et les professionnels investissent beaucoup en recherche et développement à tous les niveaux: logiciels, technologies d'impression 3D, outillage.
Pour de nombreux procédés de fabrication, l'impression additive est en train de créer une véritable révolution. Ainsi, dans le secteur automobile, l'impression 3D permet de réaliser et tester rapidement des prototypes.
Dans le secteur de la santé, on a vu apparaître de nouvelles prothèses, qui ont déjà sauvé plusieurs patients. Enfin, plus récemment, la technologie d'impression 3D a permis aux astronautes de l'ISS d'imprimer à distance une clé à molette qui leur manquait.
Afin de mettre en avant les dernières innovations, Additive Manufacturing Europe 2016 proposera un espace dédié aux activités en plein essor.Attention toutefois, le salon est destiné uniquement aux professionnels.

Les exposants

Comme le salon Additive Manufacturing se veut européen, on retrouvera les grands noms du secteurs tels que BigRep, envisionTEC, Formlabs, Höganäs, SLM, Smit Röntgen (Philips), Ultimaker, Trumpf, UL. Lieu de rencontre et d'échange, le salon est l'occasion pour de nombreux professionnels de venir démontrer leur savoir-faire. On y trouvera des fournisseurs de matériau d'impression, des fabricants d'imprimantes 3D, des fournisseurs de solutions et logiciels, avec des exemples de réalisations. Une bonne raison pour qu'ingénieurs, designers et fabricants viennent y trouver de l'inspiration!

Des conférences et des formations

Tout au long du salon, une conférence sera destinée aux dernières tendances et technologies. Avec des experts, elle tentera de mieux cerner les enjeux futurs, et de répondre à quelques cas pratiques.

L'entreprise UL proposera également une succession de trois cours d'une journée tout au long du salon. Le premier sera consacré aux principes de base de la fabrication additive, le second aux stratégies du design et enfin le dernier sera autour de la gestion de la qualité et de la sécurité. Une bonne occasion pour perfectionner ses connaissances sur la fabrication additive !

Enfin, un Product Stage sera présent sur le salon, ouvert à tous, où les entreprises viendront présenter leurs produits et leurs technologies ainsi que des études de cas. Cet endroit sera un lieu d'échange et de réflexion, où les visiteurs pourront échanger et poser toutes leurs questions.

Pour en savoir plus

Vous souhaitez vous y rendre ? Vous trouverez toutes les informations pratiques sur le site du salon.


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marketing conversationnel - Margy Consulstants blog

Les 4 enjeux fondamentaux du marketing conversationnel

Le marketing conversationnel repose sur deux faits majeurs : d'un côté, le client partage son expérience d’achat avec sa communauté, de l'autre, le consommateur a besoin d’être convaincu et rassuré par ses semblables. La prodigieuse expansion des réseaux sociaux au cours de la dernière décennie et l’avènement du smartphone ont permis de développer les interactions entre les consommateurs et d'augmenter les contenus digitaux élaborés par les marques. Afin de toujours mieux comprendre les besoins de leurs clients, les entreprises investissent davantage encore le marketing conversationnel. Les profondes mutations qu'il a vécues tant en termes d'usages et que d'outils ont néanmoins engendré de nouveaux enjeux que les entreprises doivent intégrer.

Le contenu clients au centre de toutes les attentions

Au cœur du marketing conversationnel, les avis des consommateurs font l'objet d'un appétit tout particulier de la part des entreprises qui en veulent toujours davantage. Elles créent même des événementiels pour collecter les commentaires de leurs clients qu'elles transforment ensuite en contenus digitaux. L'objectif des marques est de s'inscrire dans une démarche de « earned media » pour profiter gratuitement d'expositions sur les outils digitaux. Il s'agit alors pour les entreprises de gérer, compiler et modérer ces contenus.

L'avènement du consommateur multi-connecté

Alors qu'il y a quelques années le showrooming (acheter sur internet après avoir été en magasin) a fait craindre pour les magasins physiques, il s'est avéré finalement que le digital favorisait davantage l'acte d'achat. En effet, sauf si l'écart de prix est important, le client ne quittera pas le magasin pour acheter sur un autre canal. Les contenus produits par le marketing conversationnel sont des éléments d'informations devenus indispensables au consommateur. Donner le meilleur accès à tous les outils numériques capables de lui fournir du contenu devient alors un enjeu pour les entreprises tant du point de vue de la conversion du client que de sa fidélisation.

L'omniprésence des avis des consommateurs

Alors qu'auparavant les avis des consommateurs étaient cantonnés à la toute fin des fiches produits, aujourd'hui ils s'affichent en page d'accueil, sur les newsletters, … et même en magasin. Avec l'essor du marketing conversationnel, ils deviennent de réels arguments de vente, telles des recommandations, mis en avant par les entreprises. Les commentaires des clients sont essentiels parce qu'ils rassurent et crédibilisent le discours de la marque.

La discussion entre les marques et les clients

De nos jours, les mutations du marketing conversationnel ont introduit des échanges et plus seulement des avis unilatéraux. Les marques répondent aux clients sur les différents canaux digitaux. Elles les sollicitent et les interpellent dans le cadre d'un dialogue continu leur permettant d’écouter et de répondre en temps réel aux préoccupations de leurs clients. Certaines entreprises leur proposent même de gagner des points contre des commentaires. Face à cette émergence de communautés de clients, les marques qui créeraient de toute pièce de faux avis de consommateurs se retrouveraient immédiatement décrédibilisés.

Même si le risque de bad buzz existe bien, les entreprises se doivent d'investir le marketing conversationnel afin de renforcer leur relation clients. Néanmoins, en perpétuelle mutation, les opérations de communication des marques, l'intégration des avis et des contenus digitaux des consommateurs doivent s'adapter aux nouveaux enjeux.


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Graphisme en France - Margy Consultants blog

Graphisme en France, 22ème édition sur la recherche graphique

Pour l’édition de la 22ème revue de Graphisme en France, le Centre National des Arts Plastiques  (CNAP) dresse un bilan sur la recherche en matière de design graphique et de typographie. Le centre permet ainsi à différents professeurs, conférenciers et chercheurs dans le domaine du graphisme d’exposer et d’expliquer la position passée et actuelle de la recherche graphique.

Quel est l’objectif de cette revue de graphisme ?

Avec la parution de cette nouvelle édition, le CNAP souhaite renseigner les graphistes experts et amateurs des recherches actuelles dans le domaine du graphisme, de la typographie et de l’identité visuelle plus généralement. Il donne ainsi la possibilité à 6 chercheurs, historiens, enseignants ou auteurs de présenter leurs recherches et leurs travaux sur le graphisme et son évolution au fil des années. Un accès direct, ouvert à un public large puisque la revue est accessible gratuitement depuis internet. Une revue de près de 200 pages mise en exergue par Alice Jauneau et David Vallance, deux typographes. Ces derniers choisissent le Walther pour la mise en page de ce document. Une typographie encore inédite développée par Sarah Kremer.

Des intervenants spécialistes de l’identité visuelle

Les 6 intervenants de cette revue sont évidemment spécialisés dans le domaine de l’identité visuelle et de la recherche dans le domaine du graphisme. Chacun des intervenants expose son opinion et ses travaux afin d’apporter une dimension plurielle à ce document.

  • Éloïse Pérez, designer graphique et typographe dresse un bilan de la recherche du graphisme en France. Elle évoque notamment différents ouvrages traitant de la recherche graphique, ainsi que les différents chercheurs et leurs travaux en matière de graphisme ou de typographie.
  • Alice Twemlaw, auteure, conférencière et enseignante, définit, dans un premier temps, le mot « recherche » en évoquant les différentes définitions qui peuvent lui être accordées. Dans un second temps, l’auteur explique la nature de la recherche en design graphique.
  • Catherine Guiral, graphiste et chercheuse en design, s’appuie sur les travaux du graphiste Pierre Faucheux pour expliquer son travail de recherche en matière de graphisme et de typographie.
  • Annick Lantenois, Gilles Rouffineau, enseignants de l’option « design graphique » à l’École supérieure d’art et design de Grenoble-Valence, présentent et exposent la nature des recherches qu’ils dirigent au sein de leur établissement.
  • Sébastien Morlighem, chercheur et historien en typographie, présente ses recherches en matière de typographie.
  • Catherine de Smet, conférencière et docteur en histoire de typographie, explique ses travaux de recherche sur le collectif Grapus. Elle s’appuie ainsi sur différentes images du collectif afin d’illustrer ses recherches.

Une revue riche en illustrations

Cette revue de Graphisme en France, présente de nombreuses illustrations issues de publicités, de tracts politiques, manuscrits et autres identités visuelles mettant en avant toute la dimension graphique et typographique des documents. Chacune des illustrations présentes dans la revue possède une légende permettant de préciser l’auteur et la provenance aux lecteurs. Les légendes apportent également des précisions sur le graphisme, les caractères ou la sténographie de chaque image. Celles-ci permettent d’exposer clairement la force de communication émanant des affiches publicitaires. Elles traduisent l’importance de la typographie et du graphisme pour accorder une identité visuelle à une marque, une enseigne, un groupe, un film, un parti politique…


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