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Les livres papiers n'ont pas fini d'être imprimés !
Nous vivons dans une époque où il serait facile de croire que le numérique s'impose partout. Les livres papiers ont pourtant encore de beaux jours devant eux et leurs mots n'ont pas fini d'être imprimés. Chiffres à l'appui, les différents secteurs de l'édition confortent la position leader de ce support qui n'a jamais démérité.
Le papier reste à l'affiche
Les salons du livre seraient sans doute bien moroses si l'édition était uniquement numérique et les dédicaces y auraient sans doute moins d'attrait. Les organisateurs du dernier salon du livre de Paris se félicitent donc que ce ne soit pas encore le cas. Les livres imprimés restent encore plus que majoritaires et ont même effectué un rebond intéressant, se glorifiant d'une augmentation des ventes de 2 % en 2015. Outre-Atlantique, là où le marché du numérique fait la plus grande impression, ils ne récoltent qu'un quart des ventes d'ouvrages, qu'il s'agisse de fiction ou de titres pratiques, et ce chiffre décline depuis déjà deux ans. Si cette quantité est importante à première vue, la France est loin d'avoir atteint ce palier. Car il s'agit bien d'un cap que les liseuses ont du mal à franchir, les achats des amateurs d'ebooks stagnant un peu plus chaque jour.
Une impression qui s'adapte à nos goûts
Si le livre sous sa forme la plus concrète reste bien présent aujourd'hui, c'est aussi parce qu'il a su s'adapter à notre époque. On est bien loin de l'ère des moines copistes et des textes calligraphiés pendant de nombreux mois. Maintenant, il est possible de choisir le titre d'une maison d'édition, épuisé ou non, et de le faire imprimer en quelques minutes seulement. C'est en tout cas que ce propose l’"Expresso Book Machine" dans la boutique parisienne Presses Universitaires de France. Plusieurs millions de livres sont déjà disponibles, dont certains tombés dans le domaine public, sont ainsi proposés à la vente, imprimés et reliés en quelques instants. Il est tout à fait envisageable que d'autres éditeurs imitent cette approche et que nous puissions bientôt nous rendre chez notre libraire préféré pour y passer la commande d'un ouvrage... et la recevoir immédiatement. Cette offre rejoint bien sûr l'impression à la demande qui était déjà proposée pour quelques catalogues, notamment ceux de Bragelonne qui publient de cette manière les fictions de sa collection Snark ou qui rééditent des titres plus anciens. La qualité, dans tous les cas, reste au rendez-vous, tout comme le plaisir.
Le physique mieux que le numérique
Sous l'impulsion des éditeurs, le livre papier offre donc maintenant des perspectives inattendues. Il ne faut pas oublier qu'une de ses plus grandes forces est également d'être utilisable sans nécessiter d'adaptateur. Les liseuses ont eu du mal à s'imposer dans nos contrées car elles ont été connues en même temps que les tablettes et que les smartphones et que tout le monde n'a pas nécessairement envie ou besoin d'acheter de multiples appareils électroniques. Or, la majeure partie d'entre nous possèdent des yeux et le papier reste le meilleur support de communication pour cet outil qui, de plus, peut être prêté à l'envi sans nécessiter de manipulations compliquées.
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Le prix de la presse territoriale : un trophée de plus en plus convoité
Pour la quinzième année consécutive, le prix de la presse territoriale sera remis en juin 2016. Chaque année, il est décerné par un jury de professionnels à la revue la plus aboutie en termes de contenu, présentation et images. Ouvert à tous les producteurs de publications territoriales, l’inscription est gratuite et ouverte dès maintenant.
Créé en 1998 par Didier Rigaud, le prix récompense une sélection de magazines et revues territoriales internes et externes lors de la tenue des Rencontres annuelles de la presse territoriale. Un des intérêts de ce trophée est de permettre à toutes les communes, quelle que soit leur taille, de s’inscrire. En 2015, Andelot-Morval recevait le trophée pour son journal Tam-Tam. La commune de 90 habitants publie un magazine original par sa maquette et digne d’intérêt pour ses écrits. L’an passé, elle partageait le podium avec Claix et Grenoble.
Le bulletin municipal premier outil de communication des communes
Depuis 15 ans, le nombre de participants à ce prix organisé par Cap’ com ne cesse de croître et compte plus de 150 participants. Le prix est décerné par un jury constitué de professionnels de la communication qui, après avoir retenu une cinquantaine de revues, les apprécient avant de rendre son verdict.
La participation à ce prix, les progrès réalisés en termes d’images et de qualité prouvent que ce type de revue a su évoluer pour conquérir un lectorat devenu difficile à séduire en suscitant sa curiosité. L’enjeu est de taille pour les communes et les collectivités territoriales. Leur publication demeure l’outil principal de communication avec les administrés, et mérite, pour cela, qu’elles lui attribuent des moyens professionnels. Au fait des dernières évolutions sur le print comme sur le web, les équipes œuvrent constamment à son amélioration tant sur la forme que sur le fond.
Alors que les réseaux sociaux sont plébiscités pour informer dans l’immédiateté, ils remportent peu de suffrages auprès du lectorat de la presse territoriale, qui préfèrent traditionnellement consulter son journal papier habituel. Un succès attesté par les chiffres.
La presse territoriale : le premier groupe de presse français
En 2014, la presse territoriale diffuse chaque mois environ 15 millions d’exemplaires reçus par 80¨% de la population ce qui en fait le premier groupe de presse nationale. Alors que la PQR et la PQN peinent à maintenir leur tirage, la presse territoriale grignote chaque année des parts de lectorat. En 10 ans elle a augmenté son tirage de 15 % et ne cesse de dynamiser ses publications.
Paradoxalement, la presse institutionnelle mesure mal ses retombées en termes de contenu. Point commun avec les journaux d’entreprise pour capitaliser la confiance de ses lecteurs, elle se doit de publier des informations objectives sur les thématiques abordées. Elle privilégiera des reportages réalistes face à un lectorat plus averti, mais inquiet par la conjoncture économique et sociale.
Avec une professionnalisation des équipes de rédaction, elle adopte un ton magazine. Elle ne se contente plus de se faire l’écho des chantiers et innovations des communes, elle privilégie désormais les reportages et raconte aux habitants leur territoire et ses transformations.
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Digital Week, le moment pour doper votre communication et rendre votre marketing plus efficient !
La Digital Week se propose de faire le point sur les performances digitales pour votre entreprise et de lever le voile sur les innovations, qui vont encore booster votre développement. Quand le digital révolutionne votre marketing et votre communication, c’est à la Digital Week qu’il faut se rendre pour le comprendre.
Digital Week, une semaine pour accélérer votre développement
Du 21 au 25 mars 2016, la Digital Week va mettre en lumière les dernières innovations mais aussi les résultats obtenus jusque là par les innombrables progrès de ces dernières années. Avec 21 formations opérationnelles et une journée de conférences plénières (le 23 mars sous le thème « Innovation et performance digitales. Boostez votre efficacité et accélérez votre business. »), la Digital Week s’impose comme le moment de faire le point et de s’interroger sur les opportunités pour votre société et/ou vos projets.
La digitalisation de l’économie conciliée à l’émergence et la consécration du Smart puis du Big Data impliquent désormais d’intégrer la dimension digitale dans tous les services de l’entreprise. La question consistant à savoir si votre entreprise doit passer à l’ère digitale ne se pose plus, la seule interrogation restante réside dans la définition de votre politique en la matière et dans celle de son calendrier de déploiement.
Le marketing digital, une révolution de la communication d’entreprise
Cette Digital Week représentera l’occasion de revenir sur l’importance, que tient la Data dans le développement de vos entreprises. Du recueil de ces données à leur sécurisation, en passant par leur classement et leur gestion, ces données s’imposent aujourd’hui comme une très forte valeur ajoutée de votre capital client.
Enrichies et mises à jour en temps réel, ces data constituent bien la base de votre prospection, et donc de votre développement. Votre service communication et publicité peut alors, grâce au Data Mining (l’analyse et la compréhension des données), personnaliser ses messages tant dans le contenu que dans la définition du meilleur moment pour les envoyer. L’équipe commerciale (ou les développeurs pour votre site Internet) disposeront alors des argumentaires adaptés à chaque prospect et/ou client. Même votre service production pourra ajuster et être plus réactive, en s’appuyant sur cette Data Visualisation, qui assure le suivi instantané de toutes vos actions marketing et permet ainsi une plus grande réactivité.
Marketing Digital ou entreprise digitale, quelle place pour quel avenir ?
Les performances digitales affectent donc bien tous les services de votre entreprise, en dévoilant de nouveaux outils pour répondre aux nouvelles attentes du consommateur. De Multi canal, la distribution est devenue omni canal, et toutes stratégies de développement doivent intégrer cette dimension cross canal pour être réellement efficace.
Avec le recours au Big Data, ce marketing cross canal s’adapte en temps réel à tous ces canaux de diffusion, et devient même comportemental, puisqu’il offre une vision à 360° de la relation client. C’est toute l’entreprise qui bénéficiera des innovations en termes de scoring, ces prévisions nées du recours au Big Data. Le marketing prédictif ouvre ainsi de nouvelles voies, en modélisant le comportement de vos prospects et de vos clients. En détectant à l’avance une action ou un sentiment, ce marketing prédictif va permettre à votre entreprise d’anticiper, que ce soit pour soigner son image, lutter contre l’infidélité de certains de ses clients ou pour lever les doutes et convaincre les prospects hésitants.
En agissant a priori et non plus a posteriori, vos équipes gagnent alors en efficacité. C’est sur toutes ces innovations et ces performances, que la Digital Week va apporter un nouvel éclairage. Ce sera enfin l’occasion de mettre en lumière le développement exponentiel des objets connectés et les prévisions de croissance en ce domaine. Outre la création de nouveaux marchés et donc de nouvelles opportunités pour votre entreprise, cette généralisation des objets connectés va engendrer une nouvelle masse considérable de données, que tous les experts se plaisent à qualifier de « plus facilement exploitables ». De nouvelles données, qui impliqueront de nouveaux développements et de nouveaux outils, dont nous reparlerons peut-être à la Digital Week de 2017.
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- Quand le salon Big Data souligne la consécration du …marketing prédictif
Les imprimeurs et les fournisseurs affichent de l’optimisme en perspective de 2016
Les enquêtes professionnelles d’opinion confirment qu’au niveau mondial, les métiers de l’imprimerie et de leurs fournisseurs associés, affichent un bel optimisme du point de vue de leur développement économique pour cette année 2016.
DRUPA, le premier salon mondial de l'impression graphique et industrielle
Un récent sondage organisé par le DRUPA, le premier salon mondial consacré à l'impression graphique et industrielle, indique que 37 % du panel d’experts questionnés parmi les imprimeurs et 41 % des fournisseurs estimaient leurs situations économiques comme bonnes en 2015, contre respectivement 12 % et 14 % qui les jugeaient plutôt comme médiocres.
C’est à l’occasion de ce salon mondial, que la troisième édition du rapport sur les tendances mondiales de l’état et des perspectives de l’industrie de l’impression a été présenté et commenté aux professionnels de l’impression.
Le rapport est l’occasion de dresser le bilan de ces métiers dans un contexte économique dont on perçoit encore une certaine morosité ; il faut alors retenir que le domaine de l’impression commerciale augmente encore sa diversification, que le domaine de l’édition peine toujours à se trouver une parade face au développement du numérique, que le secteur de l’emballage tire son épingle du jeu grâce aux articles à valeur ajoutée et que seul le marché de l’imprimerie fonctionnelle se maintient grâce en partie aux textile et à la décoration d’intérieur.
Dans ce contexte en demie teinte, on apprend que les effets de la crise de 2008 n’ont hélas pas encore partout disparu et que la reprise ne se ressent pas de manière uniforme pour ce secteur. Pourtant, les imprimeurs affichent de l’optimisme pour 2016 et ce, malgré des profits encore restreints et des prix toujours en baisse.
A l’échelle mondiale, les prévisions pour 2016 affichent un solde net positif / négatif de plus de 40 %, alors que ce même indicateur tournait autour des 25 % en 2015. Ce sont les marchés nord américains et asiatiques qui présentent le meilleur taux d’optimisme pour 2016 (respectivement 70 % et 60%). L’Europe se situe dans la moyenne avec un peu plus de 40 % d’optimistes parmi les imprimeurs.
De nombreux professionnels de l’impression envisagent une augmentation pour leur croissance
Pour l’année 2016 , de nombreux professionnels de l’impression, compte tenu de la manière dont ils perçoivent l’évolution des marchés de leur domaine, envisagent une augmentation pour leur croissance.
D’une part, ils sont plus nombreux à se positionner de cette manière par rapport à 2015 et d’autre part, ils sont 50% à estimer que leur situation économique va s’améliorer cette année contre seulement 6 % qui indiquent que la situation va se dégrader.
En terme de répartition à l’échelle du globe, le Moyen Orient, ainsi que les continents asiatiques, africains et australiens affichent les taux de confiance les plus élevés ; du point de vue des secteurs professionnels, les domaines des marchés fonctionnels et commerciaux sont ceux qui sont dégagent le plus d’optimisme en termes de développement économique.
A l’échelle mondiale, les fournisseurs ne sont pas en reste car leur confiance affiche un solde positif de 50 % pour cette nouvelle année, alors que 2015 s’est terminée avec un solde à 25 %.
Ce regain d’optimisme est particulièrement dû aux continents africain et sud américain et en partie au Moyen Orient.
En conclusion, les imprimeurs comme les fournisseurs ont parfaitement compris que leurs entreprises ne peuvent se maintenir qu’au prix d’une stratégie positive de développement et face à un monde en profonde mutation numérique, ces métiers doivent trouver les moyens de rester pertinents et concurrentiels.
Autre article : DRUPA 2016 : une nouvelle édition tournée vers les technologies dans le domaine de l’impression graphique
Le salon du livre 2016 s'appelle désormais Livre Paris 2016
Le 17 mars s’ouvrira, pour la 36ème fois, le Salon du Livre de Paris au parc des Expositions de la Porte de Versailles. Evénement majeur du monde de l’édition, cette manifestation a fait peau neuve. Ce renouveau se traduit notamment par le changement de nom : Livre Paris.
Comme chaque année, les premières heures de ce salon seront réservées aux professionnels de l’édition, avant que le parc des Expos de la Porte de Versailles ne s’ouvre au grand public. Paris Livre 2016 accueillera alors les visiteurs jusqu’au dimanche 20 mars, avec la possibilité de profiter d’une nocturne (jusque 22 heures) le jeudi 17 mars 2016.
Pour marquer à la fois la continuité mais aussi souligner les changements opérés, Livre Paris se dévoilera même « hors les murs ». Le week-end précédent le salon (12 et 13 mars), une allée littéraire de 600 mètres de long, entre Pont de la Concorde et passerelle Léopold-Sédar-Songhor, suscitera l’envie d’en savoir plus ou de prolonger cette expérience éducative et ludique. Gratuite et accessible à tous, Livre en Seine se prolongera donc à partir du 17 mars à la Porte de Versailles !
Le temps fort du monde de l’édition change de nom pour devenir Livre Paris 2016
Le changement de nom de feu Salon du Livre de Paris n’est pas anodin, mais reflète bien une véritable transformation. Certes, les milliers d’ouvrages présentés, les centaines d’auteurs, les innombrables éditeurs, …, continueront d’animer, 4 jours durant, les allées du parc des Expos de la Porte de Versailles, mais Livre Paris 2016 s’est ré imaginé comme un lieu d’évasion et d’émerveillement.
Le nouvel aménagement de ce salon parisien s’organise autour de 4 squares thématiques. Un agencement, qui n’empêche pas cependant les interactions et les ponts jetés entre ces univers.
- Square culinaire
- Square Savoir et connaissances
- Square Jeunesse
- Square Religions, culture et Société
Livre Paris 2016, un salon plus vivant avec deux scènes dynamiques et éclectiques
Deux scènes complèteront désormais ce temps fort du monde de l’édition. La scène littéraire promet de bien belles rencontres, avec la présentation d’ouvrages en tout genre mais aussi des réflexions sur l’avenir du livre. La seconde, la scène BD, représente une innovation et garantit de répondre aux nombreuses attentes des lecteurs et/ou des passionnés de mangas et autres œuvres de ce 9ème art en pleine mutation.
Sur ces deux scènes, l’actualité de l’univers du livre sera contée par de nombreux auteurs et/ou éditeurs, et Livre Paris 2016 promet même une programmation inattendue tout au long de ces 4 jours de célébration et notamment au cours de la nocturne du jeudi 17 mars. Rendre le livre plus vivant et en phase avec la société d’aujourd’hui, les scènes de ce Livre Paris 2016 promettent d’atteindre cet objectif ambitieux.
Résister pour s’ouvrir aux autres et explorer de nouveaux horizons
Si Livre Paris 2016 assure, comme toutes les éditions précédentes, un éclectisme incomparable et une diversité tant dans les livres présentés que dans les animations proposées, la manifestation reste attachée à un fil d’Ariane. En 2016, le fil d’actualité retenu est Résistance(s).
Résister pour la culture et l’avenir du livre, résister pour transmettre et partager ses valeurs, résister pour ne pas se refermer sur soi, …l’objectif est ambitieux et s’inscrit dans cette démarche, visant à rendre à l’écrit ses lettres de noblesse.
Cette résistance n’est pas qu’un vain mot ou qu’un qualificatif pour un salon Livre Paris, mais un véritable état d’esprit. N’est-ce pas pour résister et donc s’ouvrir aux autres, que ce salon poursuit son tour du monde littéraire ? En 2016, la Corée du Sud sera à l’honneur, et pas moins de 30 auteurs sud-coréens représenteront cette richesse éditoriale, une des plus importantes du continent asiatique.
Puisque résister c’est accepter les différences, Livre Paris 2016 accueillera également 22 auteurs Congolais, venus célébrer les villes de Brazzaville et de Pointe-Noire de la République du Congo. Constantine, la ville invitée de cette édition, aura à cœur de mettre en avant la richesse de l’Algérie, et la vingtaine d’auteurs algériens sera bien décidée à fêter Constantine, capitale de la culture Arabe jusqu’en avril 2016.
En choisissant un nouveau nom, Livre Paris 2016 entend donc bien s’adapter aux nouvelles attentes de ses visiteurs. Face à ces changements et ces innovations, la manifestation reste cependant le moment tant attendu par tous les professionnels du monde de l’édition et les passionnés de livres. En cela, le salon du livre de Paris ne change pas et fait preuve d’une parfaite …Résistance.
L’impression numérique se développe avec la personnalisation des produits
La technique de personnalisation est bien connue en Marketing. La plus grande campagne a été lancée il y a une quinzaine d’années aux Etats-Unis grâce aux célèbres bonbons en chocolat de l’entreprise Mars, les M&M’s. Cette campagne était le premier exemple d’impression sophistiquée et a remporté un immense succès parmi les consommateurs. Ensuite, il y a eu les impressions sur textile, sur les voitures, etc… Depuis quelques années, la tendance s’accentue.
L’évolution technologique sourit désormais aux grandes marques qui ont l’opportunité de différencier leurs produits et de conquérir de plus en plus de consommateurs
Evian, Coca-Cola, Oreo, Nutella, … Les entreprises proposent de plus en plus à leurs clients de customiser leurs produits. Grâce à cette technique marketing, le consommateur se sent choyé car il a un produit unique.
La célèbre marque de soda permet à ses consommateurs de choisir un emballage original que ce soit par la couleur ou l’inscription de son prénom. En Italie, l’entreprise Ferrero a elle aussi permit à ses clients d’illustrer le fameux pot de pâte à tartiner avec un emballage personnalisé. En plus d’apprécier le chocolat, l’acheteur peut également retirer du plaisir à offrir un pot de Nutella à un ami qui aura la surprise de voir son prénom sur le papier blanc. L’ami se sentira valorisé par la possession de cet objet familier qui porte son nom. Pour la célèbre marque de gâteau, le consommateur a la possibilité de colorier son emballage ou encore de choisir entre plusieurs dessins. A l’heure où le coloriage redevient à la mode chez les adultes, ce privilège à 10 dollars fait un tabac outre-Atlantique.
La génération Y, celle née à la fin des années 1970, est directement touchée par cette personnalisation de l'impression numérique car elle est plus sensible à l’émotion qu’au prix. Aux Etats-Unis, ils sont un sur cinq à souhaiter un produit personnalisé et un sur quatre en Asie.
Dans une époque où les médias sociaux explosent, la personnalisation répond à une nouvelle attente des consommateurs
Ils s’expriment, donnent leurs avis sur les produits et sont demandeurs d’un rapport privilégié avec l’entreprise. De l’autre côté, l’entreprise recueille précieusement toutes ces informations pour les réutiliser lors d’une prochaine campagne.
Les progrès technologiques permettent à l’impression numérique de se développer grâce au bouleversement qu’apporte la personnalisation de l’emballage et ce n’est que le début. Des progrès sont encore attendus en ce qui concerne les coûts et la vitesse de production. Le digital se met au service du produit, l’innovation sert au Marketing.
Un nouvel axe de développement pour l’impression numérique sera, parmi d’autres, l’impression en 3D
Certaines marques comme Barilla organisent des jeux concours où le gagnant pourra créer un modèle de pâte particulière, grâce à une fabrication par impression 3D. La marque BMW a également lancé une campagne de publicité pour les enfants qui ont utilisé cette nouvelle technologie d’impression pour dessiner leurs propres voitures et transformer ainsi leurs rêves en réalité. L'impression numérique a encore de longues heures devant elle !
Autre article : L’objet publicitaire : un budget marketing allégé pour un retour sur investissement durable
Presse spécialisée : le succès des journaux d’entreprise
Le journal papier a de beaux jours devant lui. En 2016, les parutions d’entreprises prospèrent et sont lues assidument par les employés qui les préfèrent à tout autre moyen de communication.
Voici quelques années on les donnait pour mortes, détrônées par intranet et les réseaux sociaux. Contre toute attente, il n’en est rien. Selon une étude Havas, 95 % des sociétés diffusent un journal d’entreprise en 2016 .
Augmentation des parutions de 10% chaque année.
France Télécom tire sa revue à 130 000 exemplaires, Engie à 170 000 sa publication trimestrielle. Pas une entreprise qui n’ait son magazine. Premier vecteur de la communication interne, il véhicule à la fois les informations en rapport direct avec la société, mais sert de plus en plus de moyen d’expression aux salariés. Chez France Telecom, le personnel, peu importe sa qualification, n’hésite plus à proposer des sujets à leur magazine Connect.
À l’heure de Facebook et de la communication intranet, ils sont lus et suivis fidèlement. 90 % de leur lectorat apprécient leur lisibilité et 82 % trouvent leur contenu intéressant, alors que la diffusion des informations sur intranet plus désincarnée ne fonctionne pas et que 58 % des entreprises relaient celles-ci par l’intermédiaire de réseaux sociaux.
Chez Havas, le marché des magazines d’entreprise croit de 10% par an, malgré les coûts d’impression. Une publication de 8 pages tirée à 3 000 exemplaires revient à 11 000 euros. À l’agonie voici quelques années, le magazine d’entreprise, nouvelle mouture, compte toujours plus d’adeptes.
Une mise en page et un contenu dépoussiérés signent le renouveau
Ils doivent leur résurrection autant à leur contenu qu’à leur contenant ! Les journaux d’entreprises ont énormément évolué. Fini les six feuilles austères, à la mise en page conventionnelle pour un contenu barbant. Les professionnels de l’édition constatent que leurs responsables ont beaucoup dépoussiéré le genre et appliquent désormais les recettes du succès de la presse générale à ces publications.
Celles-ci proposent de moins en moins de longs articles au profit de sujets plus personnalisés. Elles jouent la carte de la proximité et recourent davantage à des entretiens ou des portraits pour présenter des articles. Le discours moins institutionnel s’efface au profit de l’emploi du nous ou du je. On peut y voir l’influence directe des émissions de téléréalité ou des reportages. Une nouvelle approche du rédactionnel qui a poussé Orange Mag à publier 11 éditions régionales.
Des publications toujours plus proches du lectorat
La langue de bois est pourchassée dans toutes les rédactions. Les salariés, comme tout lecteur de presse, cherchent une information fiable et vérifiée, se défiant d’un parti pris facile souvent reproché aux journaux d’entreprise.
Les chiffres de l’étude l’attestent, s’il aime son journal d’entreprise, le lectorat considère les informations données au fil des pages comme peu fiables. Un réel travail de confiance doit s’opérer qui passe par un traitement objectif de l’information. A contrario, s’il apprécie les interviews pour illustrer un sujet, 47 % seulement plébiscitent la place accordée aux salariés. Le nombrilisme a ses limites aux portes de la société. Tout beau et en quadri, le journal d'entreprise doit, désormais, traiter, en priorité, de l’information dans son secteur d’activité et être une ouverture sur celui-ci.
Autre article à consulter dans le domaine de la publication : Le cadrat d'or
Le Cadrat d'or est le plus prestigieux des concours de l’imprimerie française
Depuis de nombreuses années, le trophée du Cadrat d’or récompense la qualité et la technique. Retour sur l’histoire du trophée le plus respecté du monde de l’imprimerie.
L’origine du Cadrat d'or
Le concours du cadrat d’or a été créé en 1956, par Robert Vallet, Président fondateur de la CCFI (Compagnie des Chefs de Fabrication de l’Imprimerie). Depuis 1956, ce concours récompense les meilleures conceptions de l’imprimerie française. La respectabilité de ce concours vient du fait qu’absolument tous les imprimeurs peuvent concourir. Peu importe la taille de l’imprimerie ou les procédés print qu’elles utilisent… Le concours est indépendant.
La CCFI
C’est la CCFI qui organise chaque année, le concours du cadrat d’or. La CCFI est une association, loi 1901. Créée en 1952, la CCFI regroupe tous les professionnels de la filière graphique. La CCFI travaille avec de nombreuses instances professionnelles. A ce titre, elle apporte son expérience et ses idées, sur toutes les questions pratiques relatives au métier d’imprimeur.
Comment participer au concours
Le concours est ouvert à tous les imprimeurs français. Cependant, certaines années, le cadrat d’or est décerné dans le cadre Européen. Le concours est gratuit. Pour participer, il faut présenter un dossier au jury. Ce dossier devra être composé de 2 ou 3 ouvrages ainsi que d'un bulletin d'inscription. Les conceptions présentées au jury doivent impérativement être des travaux qui ont été proposés aux clients. Les ouvrages seront industriels, aucun prototype n’est accepté. Le jury est composé du président de la C.C.F.I, des compagnons de la C.C.F.I, des anciens lauréats du cadrat d’or ainsi que des personnalités des arts graphiques.
Les critères d'appréciation
Le jury du cadrat d’or est tenu de juger la qualité technique des print, et ce, quelque soit le procédé d’impression. Le jury examinera en détail, la qualité de reproduction, le repérage, la mise en couleur, la régularité de l’encrage, l’absence de salissures… Enfin, le jury sera attentif à la qualité de l’ensemble de l’ouvrage.
Les bénéfices du trophée Cadrat d'or
Au vue de la filière graphique, être lauréat signifie que vous êtes l’imprimeur le plus soucieux des critères de qualité et de technique. C’est un gage de respect du client. Etre lauréat c’est aussi une aventure d’équipe, car ce trophée est destiné à tous ceux qui ont travaillé sur le projet… Plus que tout, le cadrat d’or sonnera comme une note d’excellence auprès de vos fournisseurs, sous-traitants et donneurs d’ordre.
Les derniers lauréats
En 2012, le trophée du cadrat d’or a été remis à l’imprimerie Sia Art et Caractère. En 2013, à l’imprimerie Média Graphic et en 2014, il a été remis à l’imprimerie Escourbiac.
Le 59ème cadrat, dernier cadrat, a été décerné en 2015, à Pierre Gradenigo, PDG de l’imprimerie Stipa. Ce dernier avait déjà remporté le cadrat en 2010 et affirme que « c’est de très loin le plus beau prix qu’un imprimeur puisse recevoir ».
Le prochain concours
Le 60ème cadrat d’or sera décerné le 19 Mai prochain. Vous avez jusqu’au 30 Avril 2016 pour proposer vos ouvrages. Envoyez tout votre dossier au Cabinet BL, 55, rue des Vinaigriers- 75010 Paris.
Autre article :
Les impressions graphiques, ou l’enjeu de la qualité
La qualité d’un travail graphique, d’un imprimé ou d’un emballage dépend souvent et en grosse partie du papier utilisé, un papier de qualité permet de sublimer le rendu de son travail et de lui donner une touche professionnelle et unique.
Fedrigioni à travers le temps
Fedrigoni est une entreprise pionnière dans le domaine du papier, elle compte à son actif plus de 125 années d’expérience alliant innovation création et principes éthiques solides qui ont fait d’elle à travers le temps l’une des cinq premières entreprises européennes dans le secteur des papiers spéciaux, à l’origine destinés à l’impression. Aujourd’hui les papiers Fedrigioni de haute qualité sont utilisés entre autre dans l’édition, avec ses différents types de qualités spécifiques qui permettent de couvrir un large spectre de besoins et de demandes du secteur.
Un tour pour fêter 20 ans de beaux jours
Aujourd’hui Fedrigoni souffle sa vingtième bougie, et pour marquer l’évènement elle organise une tournée autour du papier dans 9 villes de France afin d’aller à la rencontre de ses clients et rester toujours aussi proches d’eux, ayant pour thème « le papier dans tous ses états ». Cet évènement qui permettra à l’entreprise de mettre en avant son savoir-faire et ses partenaires du secteur graphique locaux dans chaque ville qui accueillera cet évènement. Une tournée qui sera animée par des concours entre les villes qui consistera à présenter des créations faites avec les papiers Fedrigoni, une façon de mettre en avant sa gamme de produits ainsi que les multitudes de possibilités de création qu’elles permettent.
Un savoir-faire haut en couleurs
Fedrigioni offre une large palette de papiers de différentes matières et couleurs, permettant à chacun et à chaque spécialité de trouver celui qui lui conviendra le mieux, qu’il s’agisse d’éditeurs ou graphistes du livre ou autres imprimeurs, un large choix est disponible chez Fedrigioni qui permettra de sublimer son travail et mettre en avant ses imprimés qu’il s’agisse d’un livre ou d’une édition publicitaire, d’étiquettes ou reliures, mais aussi les emballages et le cartonnage. L’entreprise propose aussi la création de produits sur mesure afin de fidéliser encore plus ses clients avec des réalisations dans des délais courts et rapides.
Grâce à une grande qualité de papiers techniques spécifiques, une palette de couleurs et de textures valorisantes. Ils peuvent aussi compter sur des matières des plus classiques aux plus élaborées, tout y est assuré afin de permettre au client d’avoir un rendu à la hauteur de ses attentes.
Fedrigioni a su à travers le temps se réinventer et diversifier ses perspectives afin de toucher un plus large public et un nombre plus grand et diversifié de partenaires dans divers domaines, avec une grande palette de couleurs et de matières de papiers, il est aujourd’hui utilisé dans l’impression et l’édition publicitaire ainsi que l'impression d'agendas. Il est possible de choisir parmi un large catalogue de matières et de couleurs Chez Margy, entreprise spécialisée dans l'impression, afin de créer des couvertures d’agendas publicitaires pour différents domaines personnalisés qui sauront vous satisfaire par leur qualité et leur style qui sera à votre image et selon vos envies.
La communication par l’objet, ou comment être plus efficace dans votre stratégie Marketing ?
Avec un t-shirt promotionnel ou un agenda publicitaire personnalisé, la communication par l’objet s’impose comme une des formes les plus efficaces pour atteindre vos objectifs. Découvrez comment s’appuyer sur cette communication par l’objet pour renforcer votre attractivité et bien plus encore !
La communication par l’objet, une forme originale pour soigner votre image de marque
Quelle qu’en soit la forme, votre politique de communication vise un triple objectif :
Renforcer votre e-réputation et votre image de marque
Fidéliser votre clientèle en renforçant les liens vous unissant
Recruter de nouveaux prospects et/ou clients
Bien souvent, votre stratégie s’attachera à l’un ou l’autre de ces aspects, tant il est difficile de satisfaire à ces 3 buts différents mai visant la même finalité : accélérer et renforcer votre développement.
Cependant, la communication par l‘objet répond parfaitement à cette triple attente tout en s’adaptant aux attentes de vos prospects et de vos clients.
La personnalisation, la tendance forte d’une communication réussie
En effet, la communication par l’objet apparait être, aux yeux des consommateurs, bien moins intrusive qu’une publicité traditionnelle voire un emailing. Au message, que vous souhaitez transmettre aux destinataires de ces objets personnalisés à votre nom, s’ajoute une dimension, qui pourra être ludique, fonctionnelle, pratique voire même esthétique.
Par exemple, un agenda publicitaire promotionnel sera toujours apprécié, dans la mesure où il apporte une réponse pratique à un besoin existant. De même, une clé USB, marquée de votre logo et/ou de vos coordonnées, deviendra un accessoire du quotidien à la personne, à qui vous l’offrirez.
Cette communication par l’objet allie la nécessité de communication, qui repose sur votre entreprise, avec la satisfaction d’un désir de la part de vos prospects. Le calendrier publicitaire personnalisé, le t-shirt promotionnel, le briquet marqué à votre nom, …autant d’idées de communication par l’objet, parmi lesquelles il vous faudra choisir la forme la plus adaptée.
La communication par l’objet, un contenant aussi important que le contenu
Si de nombreuses études attestent de l’efficacité d’une communication à travers ces objets publicitaires, encore faut-il que les deux aspects principaux soient pleinement assimilés : le contenant (l’objet publicitaire en lui-même) et le contenu (votre message). Avec un agenda publicitaire personnalisé ou même un calendrier publicitaire personnalisé, vous faites le choix d’un support pratique et plébiscité par tout un chacun. Le contenant, en l’occurrence votre calendrier publicitaire, a une utilité fonctionnelle et pratique pour le destinataire de cette communication.
Le contenu devra, quant à lui, prendre en compte vos objectifs et la nature de votre activité. Bien évidemment, que ce soit sur un agenda publicitaire personnalisé ou sur une clé USB publicitaire, il sera indispensable de mentionner au minimum le nom de votre entreprise mais aussi le moyen le plus rapide et le plus efficace pour la joindre.
Avec un agenda publicitaire personnalisé, vous pourrez même en dévoiler davantage et atteindre d’autres objectifs. Par exemple, pour gagner en efficacité dans vos opérations commerciales, l’agenda ou le calendrier publicitaire personnalisé pourra reprendre les dates de vos grandes animations promotionnelles de l’année à venir. Les coordonnées de vos différents services (Commercial, SAV, facturation, …) pourront personnaliser la liste de contacts de votre agenda publicitaire….Il faut donc que le message soit adapté à votre cible mais aussi à l’objet en lui-même.
En prenant soin de bien choisir votre objet publicitaire et en personnalisant votre communication, vous allez donc soigner votre image (les possesseurs de cet objet se souviennent de vous), renforcer les liens avec vos prospects (comme avec les mentions proposées ci-dessous pour un agenda publicitaire personnalisé) mais aussi recruter de nouveaux prospects (un calendrier publicitaire personnalisé, par exemple, sera plus efficace qu’une carte de visite pour attirer l’œil).
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