La publicité papier reste toujours efficace en 2016 - Margy consultants blog

La publicité papier reste toujours efficace en 2016

Contre toute attente, le marché de la publicité papier reste dynamique malgré la percée ces dernières années de la publicité digitale. BALmétrie en collaboration avec Ipsos publie les résultats de l’audience de ce médium traditionnel. En 2015, chaque français lit au moins un document publicitaire papier chaque semaine.

Nous ne sommes pas à un paradoxe près. Alors que nous protestons contre la publicité qui envahit régulièrement nos boites aux lettres, nous continuons, bon gré mal gré, à y jeter un coup d’œil, quand nous ne nous y attardons pas franchement à la recherche d’une bonne affaire.

L’audience de la publicité papier croit de 0,6 point en 2015

La preuve est apportée par les résultats publiés par BALmétrie qui passent au crible nos comportements de lecture. En 2015, 93,4 % des Français ont lu au moins un document papier publicitaire chaque semaine. Si ce n’est pas un mailing adressé sous forme de courrier (58,1 %), il s’agit d’un prospectus tombé entre nos mains à la sortie d’un magasin ou déposé dans la boite aux lettres (69,8 %).

Bien mieux, dans un contexte dominé par l’émergence de la publicité digitale, la bonne vieille réclame augmente son audience de 0,6 point par rapport à 2014. Ce dynamisme laisse pantois ceux qui pensaient qu’elle vivait ses derniers jours.

30 % des Français installent des adlocker

Cette bonne santé traduit le comportement des consommateurs et l’utilisation qu’ils font des différents canaux de publicité. D’un commun accord, nous nous insurgeons contre une publicité trop intrusive et envahissante. Cependant si 30 % des internautes ont installé un bloqueur de publicité (adlocker) en 2015, ils ne sont que 17 % à apposer un autocollant « stop pub » sur leur boite aux lettres.

Même si les courriers publicitaires étaient moins nombreux l’an passé en raison de la baisse des investissements qui a fait chuter l’audience de 3,1 points du mailing, les Français préfèrent consulter ceux-ci. En 2016, le taux de lecture de la publicité papier reste supérieur à ses équivalents digitaux (92 % pour un courrier publicitaire contre 83 % pour un mail).

Le prospectus de la grande surface toujours en vogue en 2016

Le secteur agroalimentaire continue d’être le principal utilisateur du prospectus. 56,4 % des Français consultent un document publié par les grandes surfaces chaque semaine. Les autres grands pourvoyeurs dans ce domaine sont le secteur de l’ameublement et de la décoration (35,3 %) et l’univers du jardinage et du bricolage (31, 9 %). Ils demeurent fidèles à l’édition de publications que nous feuilletons souvent distraitement à la recherche de produits ou d’une bonne affaire.

Ce que traduisent les chiffres de BALmétrie : nous voulons bien être « dérangés » par la publicité, mais lorsque nous le désirons ! On accepte sans doute plus facilement d’être attentif à un flyer car nous décidons du temps et de l’instant où nous lui prêtons attention. Le monde du web 2.0 et la digitalisation ont modifié incontestablement le comportement du consommateur. Toutefois, son libre arbitre reste entier et il reste maître de choisir, en dernier lieu, le canal publicitaire. Une confiance qu’il continue d’accorder au document papier à l’image de la tendance globale initiée dans ce secteur traditionnel de la communication.


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L'Eye tracking - Margy Consultants blog

L'Eye tracking ou comment adapter la politique marketing d’une société grâce à l’inconscient de ses clients !

Des lunettes Eye tracking pour mieux comprendre les pulsions d’achat de sa clientèle

Le webmarketing permet actuellement d’obtenir de nombreuses informations statistiques sur le comportement des internautes face à la publicité, à la pertinence d’une implantation de magasin ou à la nécessité de changer de stratégie commerciale. Cependant, il est difficile d’accéder au comportement inné du consommateur tant l’attitude face à un packaging ou une mise en rayon est subjective. L’Eye tracking permet d’étudier ce comportement inconscient grâce à l’attitude visuelle du client. Une révolution pour les sociétés toujours à la recherche de politiques marketing pertinentes et fiables ?

Qu’est-ce que l’Eye tracking et quels en sont les bénéfices pour les commerces ou les entreprises ?

Il va sans dire que l’information donnée par les habitudes des consommateurs internautes représente une mine d’or exceptionnelle pour tous les professionnels du marketing de petites ou grands structures commerciales ou industrielles.

Cependant si le comportement du client peut se prévoir en fonction des nombreuses statistiques disponibles grâce aux informations numériques qu’il laisse sur son chemin virtuel, son comportement « instinctif » dans un magasin ou face à un écran est une donnée variable qui jusqu’ici ne peut être réellement approchée.

Ce comportement de l’ordre inconscient est d’ailleurs bien souvent difficile à exprimer, même pour le client lui-même. « Pourquoi êtes-vous plus attiré par ce produit que par un autre » ou bien encore « Vers quel type de mise en rayon vous dirigez-vous en premier lorsque vous entrez dans un commerce ? » sont des questions posées restées souvent sans réponse précise. Grâce à l’Eye tracking, toutes ces questions ont enfin des réponses pertinentes !

Le comportement visuel du client sera analysé méthodiquement grâce aux lunettes ou aux capteurs posés en lien direct avec son regard. Par une cartographie, l’Eye tracking permet de déterminer dans un commerce les zones dites chaudes, les points ou produits qui ont focalisés le regard, et les zones dites froides, à l’inverse les rayons ou mises en avant auxquels le consommateur ne s’est pas intéressé.

S’équiper d’outils innovants et high-tech en marketing : un coût superflu ou nécessaire pour toutes les entreprises ?

Grâce à l’Eye tracking les données fournies par le comportement visuel du consommateur permettront de repenser une mise en rayon, un packaging qui manque d’intérêt ou même des comportements sur le web. C’est dire le nombre de possibilités immenses que pourrait procurer cette nouvelle source d’informations marketing aux sociétés !

Toutefois la technologie de pointe a un cout qui ne peut être considéré comme négligeable actuellement. La nouvelle version des fameuses lunettes Tobii Pro Glasses dédiées à l’eye tracking, bientôt sur le marché, possédera un capteur grand angle pour créer une vidéo en HD ainsi qu’un gyroscope, un accéléromètre et même la possibilité d’avoir le son. Un bijou de technologie marketing qui a un prix : 22000 € HT ou 800 € HT en moyenne par mois à la location.

L’Eye tracking représente donc actuellement une dépense importante pour la politique marketing d’une société, d’autant plus que cette somme ne comprend pas l’étude nécessaire à faire effectuer une fois toutes les informations client obtenues. Bien qu’il y ait fort à parier que ce coût risque à l’avenir de diminuer, il semblerait plus opportun de considérer l’eye tracking comme un outil marketing complémentaire à nos outils statistiques de webmarketing actuels.


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Les enjeux actuels du marketing digital pour les entreprises - Margy consultants blog

Les enjeux actuels du marketing digital pour les entreprises

Une journée placée sous le thème du digital

Le 10 mai 2016, au Pavillon Wagram de Paris, se tiendra de 8h30 à 17h00 la quatrième édition du cycle de conférences organisé par Viuz autour du marketing digital.

Premier quotidien d’actualité sur le sujet, dont les deux co-fondateurs, Patrick Kervern et Andrès Menajovsky, seront d’ailleurs présents en qualité d’intervenants, Viuz propose cet événement baptisé « Les nouvelles frontières du marketing digital ». Cette journée offrira l’occasion d’aborder de nombreux thèmes touchant aux enjeux actuels de la communication marketing.
De Keynotes en tables rondes, de prestigieux speakers se succèderont afin de livrer leur expérience et leur vision originale des mutations qui s’opèrent de nos jours. Experts en marketing, leaders digitaux, Directeurs Marketing d’entreprises de renom (Axa, Coca-Cola France, Google France, Le Bon Coin, Waze… entre beaucoup d’autres), seront réunis avec le public pour échanger autour de ces grands challenges d’aujourd’hui et de demain.

De nouveaux défis pour les entreprises

L’accélération spectaculaire des évolutions technologiques, et les nouveaux comportements de consommation qui en découlent (modes d’achat, fidélité alternée…), ont mené à une extraordinaire montée en complexité des métiers du marketing et de la communication. L'explosion du multicanal (les consommateurs ne cessent de passer d'un écran à l'autre -smartphone, tablette, ordinateur portable ou de bureau, cherchant les informations produit, comparaisons de prix, "bons plans" via les réseaux sociaux, les sites Internet, les moteurs de recherche...) et la croissance vertigineuse du Big data doit amener à déployer de nouvelles stratégies cross-canal, tout en assurant une cohérence dans les différents messages, et une maîtrise en amont des conséquences engendrées -silos de données...

La position même de l’équipe marketing au sein de l’entreprise ne peut plus se concevoir sur les bases antérieures à cette (r)évolution.

En effet, la nécessité de concevoir une nouvelle architecture de communication doit mener à des stratégies et des articulations innovantes, dont l’hybridation est le garant : un croisement des talents des différents acteurs de l’entreprise, une optimisation de la collaboration, et une nouvelle vision de la coordination semblent indispensables.

Aujourd’hui, les entreprises sont donc poussées dans les retranchements de leurs capacités d’adaptation, et de l’élaboration de leur réponse à ce nouveau challenge, risque bien de dépendre leur pérennité.

Au programme de cette rencontre

Cette formidable opportunité d’innovation doit mener à pouvoir réinventer les contours du marketing digital, axe selon lequel diverses réflexions seront menées pendant cette journée :

• Comment les nouvelles tendances de consommation affectent le marketing ?
• Comment quadriller le physique par le digital?
• Quelles sont les pratiques avancées en termes de Marketing Mobile ?
• Quelles possibilités émergentes pour les marques sur les Apps de Messagerie ?
• Quelles évolutions pour le social media et les nouvelles logiques du owned paid earned media en 2016 ?
• Quel impact sur les organisations et les contenus de marque ?
• Quel est le rôle du marketing stratégique dans une organisation élargie ?
• Comment préparer dès maintenant l’adaptation de ses stratégies digitales ?

Afin de débattre autour de ces nouvelles frontières à actualiser et de leur devenir, rendez-vous le 10 mai 2016 à 8h30 au 47, avenue de Wagram, 75017 Paris. Les inscriptions en ligne sont ouvertes via le site lesnouvellesfrontieresbyviuz.


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Edition papier - Margy Consultants bloc

L'édition papier renoue avec la croissance en 2016

Après des années de vaches maigres, le marché de l’édition papier reprend des couleurs au grand soulagement des professionnels. Après avoir chuté à l’international, de 165 milliards de dollars à 145 milliards entre 2011 et 2014, l’édition papier renoue avec la croissance. Une évolution outre-Atlantique suivie, également, par le marché français.

Longtemps, on a pensé que le numérique supplanterait l’édition papier et quelques années de déclin donnaient raison aux Cassandres qui prédisaient la fin du livre. Contre toute attente, 2015 a vu cette tendance s’inverser. Un renversement dû aux habitudes des consommateurs.

L’édition en France croit de 2 % en 2015

Le lecteur de livre aime le papier. Il a pour lui un attachement quasi viscéral. Le toucher, le sentir fait partie de ses rituels de lecture. Le numérique devient une alternative complémentaire et non substitutive au support papier. En 2016, l’e-book n’est plus un danger pour le livre ; les deux supports, désormais, cohabitent. On observe chez le lectorat un phénomène de va-et-vient dans leur utilisation respective. Mouvement qui se vérifie également dans l’édition de revues professionnelles et la publicité papier.

Dans les chiffres, cette évolution du marché se traduit dans le secteur du livre traditionnel en France par une augmentation du CA de 2 % en 2015, alors que les ventes de livre numérique marquent le pas. Si 35 % des Américains consomment des livres numériques contre 10 % des Français, les ventes d’e-book ont reculé, pour la première fois, de 12,7 % en 2015 aux États-Unis.

Numérique contre papier : la guerre du livre n’aura pas lieu

Cette coexistence se constate, également, dans le domaine de la presse professionnelle. Le tirage des magazines d’entreprises et revues institutionnelles croit chaque année. Chez Havas, le secteur des journaux d’entreprises augmente de 10 % par an, malgré les coûts de publication.

À l’heure des réseaux sociaux, ces journaux continuent d’attirer un lectorat grâce à la qualité de leur contenu et la fiabilité de leurs informations, tandis que les contenus véhiculés par intranet sont jugés froids et impersonnels.

Une altérité s’est mise en place entre ces deux univers que l’on croyait vouer à s’opposer. Certes, il est impossible de penser l’évolution du secteur de l’édition papier en marge de la sphère internet, mais toutes les campagnes de communication prennent en compte, désormais, la crédibilité allouée aux supports traditionnels.

Le capital confiance du support papier jamais détrôné

Les études montrent que la publicité papier retient davantage l’attention que ces équivalents digitaux (92 % pour un courrier publicitaire contre 83 % pour un mail). Malgré tous les trésors d’innovations déployés par la publicité programmatique, le flyer papier continue de trouver grâce aux yeux d’un lecteur qui s’y réfère avant d’aller surfer sur les sites vantés.

Il en va de la publicité numérique comme des informations diffusées par intranet ou les réseaux sociaux, la lecture d’un e-book comparée à celle d’un livre. Le support papier cautionne le support numérique. L’édition papier n’en finit pas de se réinventer. Quel que soit son champ d’application, elle tient la dragée haute au support numérique, bénéficiant d’un capital affectif et confiance jamais égalée par internet. Le proverbe dit bien : « les paroles s’envolent et les écrits restent ». L’édition papier a pris le support numérique au mot.


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Supports de communication visuelle et packaging - Margy consultants blog

Supports de communication visuelle et packaging : le monde de l’industrie papier en constante recherche d’innovations !

La communication visuelle propose sans cesse de nouveaux produits pour la communication des entreprises

Si la communication web a pris le pouvoir, elle n’est pas l’unique vecteur de communication et de marketing des entreprises. Le monde du papier a toujours, lui aussi, de nouveaux mots à inventer et des supports innovants et créatifs à proposer aux sociétés. La communication visuelle demeure un des meilleurs vecteurs de solutions marketing, qu’on se le dise !

Pourquoi l’industrie du papier et du packaging se doit d’offrir en permanence des nouveaux supports de communication à l’entreprise ?

Il va sans dire que les mondes du marketing et de la communication ont été fortement bouleversés par l’avènement du web et de ses multiples vecteurs publicitaires. Cependant les entreprises ont su conserver les méthodes de communications traditionnelles qui, elles, n’ont plus depuis longtemps à démontrer leur efficacité. Aujourd’hui la communication visuelle est toujours considérée comme une valeur sûre des techniques marketing de toute entreprise, toutefois elle se doit de proposer de multiples innovations afin d’être toujours aussi rapide et efficace que les solutions de webmarketing.

Les industries du papier sont donc en perpétuel renouvellement de leur gamme de produits de communication visuelle afin de proposer à tous leurs clients des nouveautés aussi durables qu’efficientes.

« L’innovation fait partie de notre ADN et en tant que distributeur, nous nous devons de sélectionner des produits qui constituent de véritables révélations créatives », rappelle Alexis Dormoy, directeur délégué aux opérations commerciales et marketing d’Inapa France.

Trois grandes innovations des produits papier et packaging de communication : le monde du marketing visuel en évolution permanente

Afin de présenter les multiples innovations en matière de packaging, de marketing visuel ou de communication, les professionnels de l’industrie papier présentent chaque année leurs nouveaux produits grâce notamment au « Révélations créatives » d’Inapa. Ce salon se tient chaque année et il permet de proposer aux professionnels du marketing les nouveautés en matière de création en communication visuelle.

Lors d’une précédente manifestation, la lumière fut portée sur trois nouveaux produits particulièrement prometteurs tant par leurs nombreuses possibilités que par leurs méthodes de fabrication : le « MultiLoft » ou produit sandwich, la gamme de papiers « Crush » et la gamme de papiers « Remake ».

Le « Multiloft » ou produit sandwich, permet de composer un packaging s’adaptant à tous les besoins et toutes les envies créatives des entreprises en proposant des structures inédites alliant épaisseur du produit et couleur de la tranche. La technique d’assemblage de feuilles et d’inserts pré-adhésivés du « Multiloft » permet ainsi d’atteindre des poids et des épaisseurs record, jusque-là impossible à réaliser de la sorte.

Puis les deux nouvelles techniques de fabrication papiers « Crush » et « Remake », proposées par Favini, s’orientent quant à elles vers de nouveaux process de recyclage et de récupération des déchets. « Crush », nouvelle gamme de papiers issus de déchets agro-industriels, se composent de 15% de déchets, 55% de fibre vierge et 30% de fibres recyclées tout en étant fabriquée à 100 % par de l’électricité verte. Quant à la gamme de papiers « Remake », elle est fabriquée à partir de coproduits issus de l’industrie du cuir italienne et se veut sans chrome. La gamme « Remake » est ainsi composée de 25% de coproduits, 30% de fibres recyclées et 45% de fibres vierges.

Industries et professionnels du marketing et de la communication visuelle, l’industrie du papier et du packaging n’ont pas fini de vous étonner et de vous surprendre !


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Generation Y strategies marketing - MArgyConsultants blog

Entreprises : adoptez les stratégies marketing et publicitaire les plus efficaces pour capter la génération Y

Objet de toutes les attentions, cette cible génération « Y » est prioritaire pour de nombreuses entreprises. Ces consommateurs d’un nouveau genre sont difficiles à sensibiliser et surtout à fidéliser.
Quelles sont les dernières stratégies marketing utilisées pour faire émerger la marque ? Quels sont les vecteurs pour faire adhérer le consommateur à la marque ? Quels ont les outils marketing à privilégier pour les fidéliser ?

Qu’est ce que la génération Y exactement ?

C’est la population des 15-25 ans. Ce terme a été lancé en 1993 par le magazine Advertising Age. On parle aussi de « Digital Natives » ou « GenY ».
En France, ils sont environ 13 millions soit environ 21% de la population française (sources l’INSEE).

Une cible à fort potentiel

Ils représentent la cible la plus puissante en terme d’investissement marketing et publicitaire soit environ 500% de plus que pour tous les autres consommateurs.

Les nouvelles stratégies marketing et commerciales

La génération « Y » recherche la différenciation, l’affirmation de soi et l’appartenance à un groupe auquel elle peut s’identifier.

Dernière née : la digitale proximity ou la nouvelle relation entreprise – client

L’avènement du digital permet de se rapprocher encore plus de ces consommateurs en s’invitant dans leur quotidien. Certaines marques et entreprises l’ont bien compris et axent leur stratégie autour du lien et la proximité dans le quotidien.

Trois grandes tendances de la digitale proximity :

  • L’entreprise grande famille ou Big Family
    L’entreprise s’adresse à ses consommateurs comme s’ils étaient des amis. Le vocabulaire est émotionnel et empathique.
    Exemple de la chaîne hôtelière et restauration Mama Shelter. C’est un hôtel maison où on retrouve les codes d’un chez soi. Un lieu convivial qui rassemble tous les critères recherchés par la génération « Y » : un esprit festif et décontracté, jeux collectifs (table de pig pong), bar central, bonne musique…
  • La marque qui prend soin de vous « show you care »
    L’entreprise est concernée par ses consommateurs ou ses utilisateurs. Pour meilleur exemple, lors des attentats de Paris, Airbnb a lancé un appel à tous ses utilisateurs situés dans la capitale pour savoir si ils allaient bien. Un message envoyé via les réseaux sociaux et les applications Smartphone.
  • L’entreprise au ton décalé « not so serious »
    Comme la chaine hôtelière Okka Hotel qui via son Tumblr met en scène son équipe illustrée de GIFS animés. Un blog décapant et plein d’humour où le ton est donné dès les premières lignes « un blog très peu sérieux de la très sérieuse équipe OKKA Hôtels »
    Un marketing très humain qui lève les freins liés au prestige des hôtels de luxe.

Les leviers les plus utilisés

  • Le vecteur des réseaux sociaux
    Cette génération « Y » est la plus connectée (75% des 11-24 ans sont présents sur au moins un réseau social) avec deux grands leaders : Facebook et Twitter. Les entreprises multiplient les stratégies marketing d’engagement pour booster leur nombre de fans et fidéliser ses consommateurs.
    Les entreprises peuvent miser sur des stratégies marketing de conversation. Elles créent du dialogue et de l’implication entre le consommateur et la marque. Impliqués, les internautes seront plus enclins à acheter la marque. Exemple avec la marque Haribo qui a lancé un vote auprès de ses abonnés pour décider de la couleur des prochains Dragibus.
  • Sur le web un seul mot d’ordre : l’humour
    Les discours sérieux c’est pour l’école ou à la maison. Sur le web les 15-25 veulent se détendre et s’amuser. Les marques misent sur l’humour et la connivence pour se démarquer.
  • Le co-branding : un incontournable
    Utiliser un partenariat avec une marque emblématique de la génération concernée est un atout gagnant. Exemple avec les marques Swarovski ou Sephora. Leur partenariat respectif avec le personnage Hello Kitty a attiré une cible d’adolescentes et de jeunes femmes.

Le relais d’opinion

C’est une stratégie d’approche par connivence. En étant présent sur les événements qui les rassemblent : festivals, soirée étudiante, salon, l’entreprise démontre sa compréhension de la cible.

Qu’elle que soit la stratégie marketing utilisée et quel que soit le vecteur utilisé, certains critères restent indissociables du succès ou non de votre campagne. La qualité du produit, son innovation et sa dimension écologique sont autant de critères qui font adhérer ou pas à une marque.


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Networking - Margy consultants blog

Entretenir l’image de son entreprise par la communication : le networking

Utiliser le networking pour renforcer les opérations marketing de votre société

Vous avez entendu ou vu ce terme de nombreuses fois ces dernières années : le networking. Très souvent utilisé mais rarement défini, le networking est certainement pourtant un outil que vous utilisez déjà quotidiennement en tant que chef d’entreprise. Comment le définir et surtout comment savoir en tirer le meilleur parti pour votre société ?

Le networking : un nouvel outil de communication pour un des plus vieux outils marketing !

De tout temps, à toutes époques, la vente d’un produit ou d’un bien se passe par la communication. Du crieur dans les rues du vieux Paris au contenu vidéo publicitaire sponsorisé sur les réseaux sociaux, les moyens ont changé mais le principe reste le même : communiquer et échanger.

Le networking se base donc sur un principe déjà reconnu depuis des siècles pour tout dirigeant, simplement celui de l’importance d’entretenir un réseau de connaissances. Cependant le networking, bien plus que de simples conversations entre chefs d’entreprises, propose grâce à l’outil internet des connexions durables et réellement rentables. À partir du moment où l’on sait où et comment les utiliser.

Ainsi, de nombreuses associations d'entrepreneurs comme de nombreuses sociétés spécialisées en évènementiel se sont engouffrées dans la brèche du networking. Il s’agit de répondre à un besoin de communication évident face à la solitude du « pouvoir » du chef d’entreprise, mais aussi de lui trouver des solutions viables et peu chronophages afin d’entretenir un réseau de relations, voire parfois d’amis professionnels.

Savoir entretenir des relations professionnelles à long terme ou comment « rentabiliser » le networking ?

Le networking se présente donc sous des aspects différents mais toujours dans le même but : réunir des dirigeants ou responsables marketing d’horizons et d’orientations professionnels variés pour créer des rencontres aussi enrichissantes d’un point de vue humain que marketing.

Ainsi les déjeuners ou apéritifs de l’entrepreneur, les réunions autour de grands sujets de communication ou de webmarketing comme les séminaires ont le vent en poupe et sont de plus en plus fréquentés par de nombreux dirigeants. Des réunions en général organisées dans un cadre convivial et relativement serein, malgré l'importance des enjeux pour chacun.

Toutefois, limiter à sa présence à des terrains propices à la rencontre interprofessionnelle serait se priver d’une partie absolument indispensable du networking. Il s’agira donc de conserver le lien en utilisant les multiples interfaces professionnelles telles que Linkedin, Viadeo et consorts mais aussi de se contacter régulièrement pour échanger carnets d’adresses et clients potentiels. Sans oublier, si possible, d’inscrire les coordonnées mails de votre nouvelle relation dans vos campagnes de publipostage ou parmi les abonnés de vos pages Facebook par exemple.

Le networking se définie donc par le travail de communication en réseaux autour de différents événements appuyé par un échange web constant et sans faille. Ce qui implique pour l’entrepreneur de pouvoir et de savoir accorder du temps à ces échanges afin de non seulement diffuser une image positive et dynamique de sa société au travers de certaines interventions extérieures mais aussi d’échanger avec d’autres entrepreneurs sur les affres et grandes joies de la vie d’une entreprise. Qui comprend mieux un chef d’entreprise qu’un autre chef d’entreprise ?


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contenu publicitaire - margy consultants blog

Entreprises et marketing : proposer des contenus publicitaires de qualité pour reconquérir les internautes

L’importance d’offrir des publicités personnalisées et optimisées pour diffuser sa marque

Le netmarketing est un des vecteurs essentiels de communication et de marketing pour une société, petite PME ou multinationale. Parmi les techniques de communication les plus utilisées, les contenus vidéo sont des atouts maîtres dans le cadre d’une campagne publicitaire. Cependant les internautes, las d’une profusion de vidéos interrompant leur connexion sans cesse, bloquent de plus en plus souvent les contenus publicitaires par des logiciels. Les entreprises doivent donc réinventer de nouvelles façons de communiquer…

Adapter les contenus publicitaires aux envies des internautes : le nouveau défi en communication des entreprises

Si le contenu publicitaire vidéo demeure un des moyens les efficaces de communiquer et de vendre des services ou un produit sur le web, les internautes ont organisé la riposte en installant de plus en plus souvent des logiciels de blocages publicitaires. Les publicités mises à mal par cette pratique répandue, les spécialistes du webmarketing proposent, tout comme cela fut le cas pour les contenus écrits, de repenser les démarches publicitaires en des termes qualitatifs plutôt que quantitatifs.

Ainsi, il s’agirait de voir ces logiciels de blocages publicitaires comme « une opportunité d’évoluer et de redynamiser l’expérience de navigation Web basée sur la publicité grâce à un meilleur contenu, et donc d’obtenir de meilleurs résultats. »

Différentes nouvelles stratégies de diffusion de contenus publicitaires sont à l’essai actuellement, toutefois d’une manière générale elles tendent toutes vers une meilleure qualité de messages et de contenus mais aussi vers une possibilité de personnalisation des messages publicitaires.

L’internaute pourrait donc choisir ses contenus publicitaires, voire interagir avec la publicité. Ce qui d’une part intéresse bien évidemment beaucoup plus le destinataires de la publicité mais crée aussi beaucoup plus de données informatives sur l’internaute pour la société qui les diffuse de façon personnalisée. Deux nouveaux atouts de poids pour l’internaute comme pour le spécialiste du webmarketing.

Adapter les formats des publicités pour fluidifier leurs lectures sur leur web

Parmi les nombreux arguments des internautes utilisant des logiciels de blocage de publicités, le temps de chargement de la vidéo est un argument quasi systématiquement utilisé au refus de la voir. Il s’agit donc de la rendre plus attractive et personnalisée, comme nous l’avons déjà évoqué, mais aussi moins lourde en termes de chargement et de mise en mémoire tampon.

Selon Sophie Rayers, Directrice Maketing EMEA et LATAM chez Brightcove : « Les marques doivent donc leur offrir une expérience publicitaire plus fluide, de qualité télévisuelle et affichant des temps de chargement plus rapides, que la vidéo fasse trois ou trente secondes. ». Elle conseille par exemple d’inclure le flux vidéo grâce à un Cloud, ce qui diminuera son temps de chargement pour l’utilisateur.

Si les logiciels de blocage publicitaire inquiètent les entreprises adeptes du webmarketing, de nombreuses solutions existent pour contourner cet obstacle. Tout comme les contenus écrits, les contenus vidéo se doivent d’être toujours meilleurs pour continuer à intéresser le public, ce qui finalement peut être aussi un moyen exemplaire de mettre en valeur les contenus à forte valeur ajoutée face à des concurrents qui n’auraient pas eu le même souci de qualité…


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Supports média - Margy consultants blog

Bataille des supports media : la publicité papier résiste à la digitale

En 2016, les recettes publicitaires numériques vont croître trois fois plus vite que sur les autres supports. Pourtant, si internet continue de réinventer la publicité, la redistribution des plans media ne sonne pas le glas de la publicité sur support papier.

La publicité digitale poursuit sa percée et ne devrait plus tarder à détrôner de la première place la publicité télévisée. Avec une croissance de 4,7 % pour l’année à venir, elle est boostée par les annonces sur les réseaux sociaux, la vidéo en ligne et la recherche payante. Avec un CA de 463 millions d’euros l’an passé, la publicité programmatique a augmenté de 61 %, un chiffre qui reste moindre que ceux enregistrés dans les pays voisins pour la même période.

Les nouvelles orientations de la publicité numérique

Cette forte croissance prouve que la publicité digitale continue sa mutation au gré des nouveaux supports et des comportements des usagers. L’orientation vers le mobile et la vidéo se confirme et les innovations dans ce domaine seront de trois ordres.

L’usage omnipotent du mobile privilégie le format vertical au format horizontal imposé par la télévision et le cinéma. Le temps passé par la génération-écran à regarder des vidéos sur un portable égalera bientôt celui passé sur un ordinateur et les vidéos passeront en publicité programmatique. Enfin, la consultation et la recommandation des réseaux sociaux toujours plus importantes obligent les annonceurs à être présents au vu des retombées générées par leur intermédiaire.

Une publicité adaptée aux réseaux sociaux

Les réseaux sociaux s’imposent comme des plateformes d’échanges et d’informations incontournables. Proposant toujours plus de fonctionnalités, ils sont devenus des outils marketing indispensables pour les entreprises et les annonceurs.

Aujourd’hui, il n’est pas une société qui n’ait pas son compte Tweeter ou Facebook. Ces canaux devenus indispensables sont choisis en priorité par les consommateurs quand ils souhaitent communiquer avec les entreprises. Force est de constater que les réseaux sociaux se sont emparés de la relation client et crédibilisent l’image de marque des entreprises auprès des internautes par leur puissance. Lors d’un sondage, les Français interrogés ont reconnu faire confiance aux produits et services proposés par les réseaux sociaux. 46 % d’entre eux sont prêts à acheter un produit de divertissement, après les commentaires laissés sur leur réseau favori.
Ce taux ne laisse pas indifférents les annonceurs, qui sont prêts à concevoir des messages publicitaires personnalisés afin d’obtenir de nouveaux clients.

Indétronable support papier

Face à une telle offensive de la publicité digitale, prête à se conformer aux données imposées par les nouveaux supports, on est en droit de douter de l’avenir de la publicité sur support papier. S’il est impossible dorénavant de soustraire la publicité numérique à un plan media, l’erreur serait de ne pas prendre en compte le papier dans une stratégie de communication multi-supports.

Là aussi, les chiffres parlent d’eux-mêmes. Le papier obtient un taux de lecture supérieur à ses équivalents digitaux (92 % pour un courrier publicitaire contre 83 % pour un mail). Un résultat avéré dans les secteurs de l’agroalimentaire, de la grande distribution et de l’ameublement.

Le tract publicitaire n’est pas prêt de disparaître de nos boites aux lettres bien réelles. Mieux, elle introduit et cautionne la publicité numérique. Qu’on le veuille ou non, le papier conditionne notre confiance. Sans doute, parce que l’on croit plus facilement ce que l’on touche. En 2016, le support papier continue d’écrire son avenir.


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Salon E-Marketing Paris - Margy Blog

Le monde de l’entreprise et du marketing digital se retrouvent au salon e-Marketing Paris

La communication d’entreprise et l’avènement du marketing digital

Le salon e-Marketing de Paris se tiendra du 12 au 14 avril 2016. Ce rendez-vous est devenu incontournable pour les dirigeants d’entreprises ou de services de communication comme pour les prestataires du marketing digital. Nous reviendrons sur les raisons de ce succès mais aussi bien sûr quant à la nécessité absolue pour toute entreprise d’être au fait de toutes les actualités du marketing web.

Le salon e-Marketing Paris : le rendez-vous incontournable de tous les professionnels de la communication et du marketing

L’année dernière le salon e-Marketing a affiché une affluence record de 15 200 visiteurs dont 2100 VIP. Un succès probablement dû à la qualité des prestataires invités, aux nombreuses conférences et tables-rondes abordant des sujets techniques comme les problématiques quotidiennes du marketing digital d’une entreprise, quelle qu’elle soit.

Cette année le salon e-Marketing propose de développer son programme de conférences et de débats autour de trois grands thèmes majeurs : l’optimisation de l’achat programmatique, l’amélioration accrue de la conversion du parcours client ou bien encore l’adaptation des diverses techniques de marketing digitale à l’utilisation massive des clients de leurs smartphones.

De plus, un nouvel espace dédié aux start-up, la session "starting blocks 2016", permettra à dix jeunes entreprises innovantes de partager, avec les visiteurs comme avec les exposants, leurs expériences et leur savoir-faire en matière de web marketing, de création de contenus, d’acquisitions clients...
Bien sûr les trophées Venus, récompensant les innovations dans le domaine du marketing et de la relation client, seront décernées une nouvelle fois par un public de professionnels avertis.

Le marketing digital au cœur de la communication entre l’entreprise et son client

Cette année encore, le salon e-Marketing Paris saura donc s’adresser à une variété toujours plus importante de catégories professionnelles en recherche de réponses mais aussi de renseignements.

Effectivement l’année dernière, l’organisation du salon avait pu recueillir de précieuses données en ce qui concerne la profession de leurs visiteurs :
• 37% Directeurs / Responsables Marketing,
• 20% PDG / DG / Gérants / DGA,
• 13% Directeurs / Responsables Communication,
• 11% Directeurs / Responsables Commerciaux,
• 9% Directeurs / Responsables Informatique,
• 8% Consultants,
• 2% Autres.

De plus, les données chiffrées du salon de 2015, mettent en exergue l’importance capitale pour toute entreprise, quelle que ce soit sa taille, d’apprendre à être totalement maître et autonome en termes de marketing digital. Ainsi la majorité des visiteurs de 2015, 67%, travaillent dans des entreprises de moins de 100 salariés, une majorité très symbolique de l’importance du phénomène web marketing.

En effet, aujourd’hui, le marketing digital, réservé encore hier à un public relativement restreint, a acquis ses lettres de noblesse. Tous les chefs d’entreprises semblent avoir pris conscience que sans une présence construite et pragmatique sur le web, la relation client mais aussi sa conversion en vente devenait problématique.

La communication et le marketing web sont plus que jamais au centre de nombreuses préoccupations des dirigeants d’entreprises. Or, les techniques, les nouveaux outils demandent une information accrue et continue. Le salon e-Marketing est donc le moment idéal pour tous de s’informer, d’échanger et d’évaluer les pratiques de marketing digital de son entreprise comme de rencontrer les plus grands acteurs du secteur, tels que Google présent exceptionnellement cette année sur le salon.


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