Communication : Ce qui va changer en 2018 dans le marketing

Communication : Ce qui va changer en 2018 dans le marketing

Les acteurs du numérique, et notamment les dirigeants d'entreprise ayant une présence importante sur le web (vente en ligne...), sont unanimes : Les consommateurs changent, petit à petit, leurs habitudes en terme d'achat.

Depuis 2017, le secteur du marketing optimisé pour smartphone double le marketing plus traditionnel (presse, web sur ordinateur...).

Par ailleurs, si la publicité sur les réseaux sociaux représente toujours un poids considérable en terme de conversion (but recherché par la campagne, comme un achat ou encore une inscription à une newsletter par exemple), elle perd peu à peu du terrain face à un genre nouveau de communication autour d'une marque ou d'un service : les « influenceurs ».

Ces personnes, déjà présentes sur les réseaux sociaux, sont de véritables leviers de communication et de publicité, puisque étant déjà très suivies sur le web par leur propre communauté, elle-même régulièrement influencée dans le choix d'un produit ou d'un service par l'influenceur (d'où son nom).

Quel type de marketing choisir pour cette nouvelle année ? Ce choix est-il immuable ? Apprenez-en plus sur les techniques de communication qui feront 2018, selon plusieurs acteurs majeurs du marketing digital (Vente-privées, Pandora, Mesmatériaux.com ou encore Uriage pour ne citer qu'eux).

L'optimisation pour smartphone, un bouleversement dans la transformation digitale

Désormais, toute marque ou service souhaitant augmenter sa visibilité doit obligatoirement passer par une optimisation de son site pour smartphone. En effet, ce support est considéré comme favori par la plus grande partie des consommateurs. Inversement, un site non optimisé pour mobile aura des répercussions négatives immédiates en terme d'image de marque.

Google, le géant du numérique et du web, a bien compris cet essor en mettant en place une technologie optimisée pour la navigation sur smartphone. Baptisé AMP (pour Accelerated Mobile Pages), cette technologie permet notamment un affichage plus rapide et adapté aux écrans de mobile.

Si vous utilisez Google pour votre navigation sur smartphone, vous pourrez voir apparaître un petit logo avec un éclair à l'intérieur. Ce logo signifie que la page où il est affiché bénéficie de la technologie AMP.

Mais Google n'est pas le seul à s'engouffrer dans l'optimisation de la navigation pour smartphone, les professionnels du numérique, notamment en cas de vente en ligne, ayant déjà modifié leurs développements web pour privilégier le développement sur smartphone.

Vers plus d'accompagnement personnalisé et davantage de fidélisation

Les grands acteurs du marketing digital confirment également que l'une des principales clés d'un bon marketing pour une entreprise, c'est sa personnalisation et son accompagnement ciblé.

Avec plusieurs campagnes dédiées, comme les mailing, les publicités sur réseaux sociaux ou encore le ciblage selon différentes catégories (âge, période de fêtes, situation du foyer...), le consommateur se sent davantage pris en considération, ce qui l'incite à cliquer sur le produit.

Si le référencement est correct, et que le produit ou le service correspond à l'attente du client, il y a de fortes chances que la campagne de communication porte ses fruits, et qu'un prospect devienne rapidement un client.

Pour durer en 2018, les grandes enseignes devront impérativement se démarquer de leurs concurrents par plus d'accompagnement de leurs clients, et plus d'optimisation pour mobile, clés d'un marketing réussi.


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Le Salon C!Print prend ses quartiers à Lyon en février 2018

Lyon Eurexpo accueillera au sein de ses halls 1 et 2 l’édition 2018 du salon C!Print, du 6 au 8 février 2018. Cet événement transversal est une véritable référence pour les métiers de la communication visuelle et les industries graphiques. A l’heure où la communication est un vecteur de performance essentiel, ce salon se positionne comme une véritable valeur ajoutée pour les entreprises.
L’innovation, la créativités et les applications seront au coeur de cette édition 2018.

Les origines du salon C!print

A l’origine du salon C!Print, le salon CTCO. CTCO s’est rapidement positionné comme le salon incontournable pour les professionnels de la personnalisation d'objets publicitaires et de vêtements promotionnels. Fort de son succès, le salon s’est développé, accueillant des exposants de plus en plus nombreux (près de 100 exposants en 2012). Outre l’impression textile, l’impression grand format s’impose également peu à peu au sein du salon. En réponse à une demande toujours plus importante, le salon C!Print est né. C!Print se positionne sur le segment du marché promotionnel, mais aussi sur des marchés parallèles, tels que la signalétique, la décoration, l’industrie graphique, etc...

Le concept C!Print

Le salon C!Print est une occasion unique pour les professionnels de la communication et de l’impression de découvrir les dernières innovations dans ce secteur. Le salon est également une opportunité d’échanges entre les professionnels. En effet, le salon compte de nombreuses interventions et conférences de professionnels et exposants. Des espaces sont aménagés pour favoriser les discussions entre les participants, et ainsi favoriser l’émergence d’idées.

Des démonstrations en live sont également prévues, afin de bien saisir le fonctionnement des solutions techniques présentées et de découvrir les dernières innovations.

De véritables opportunités de business

Le salon C!Print offre de nombreuses opportunités pour développer son business. Le salon a pour vocation de présenter les nouvelles technologies et applications disponibles dans le secteur de la communication visuelle, la décoration, l’architecture, le design et la photographie.

D’autre part, en parallèle du salon, se tiendra en même lieu et même endroit le salon CTCO, le salon dédié à l’objet et au textile promotionnel. Une occasion sans pareil de découvrir ces deux univers et de compléter son approche de la communication visuelle.

Enfin, le salon facilite et encourage les échanges entre les professionnels présents. Un espace dédié aux échanges a été pensé, situé à proximité des espaces de démonstrations. C’est en effet dans le bar central que les professionnels pourront échanger leurs idées, le tout dans une ambiance chaleureuse, conviviale et néanmoins professionnelle.

Une cible qualifiée

Le salon C!Print séduit une clientèle qualifiée. Au delà de la quantité, plus de 13 000 visiteurs pour 250 exposants en 2017, c’est surtout l’aspect qualitatif qui ressort. Ce sont des professionnels ou acteurs du secteur ayant un véritable intérêt pour la communication visuelle qui visitent le salon. De nouveaux acteurs sont chaque année séduit par le concept.

Une nouvelle édition lyonnaise en préparation donc, à suivre cette année encore...

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La digitalisaiton des entreprise, transformation numérique

Digitalisation des entreprises en France : Le retard des TPE/PME, une opportunité pour les spécialistes en transformation digitale

Depuis l'apparition du numérique dans notre vie professionnelle, l'utilisation des nouveaux outils de gestion mis à notre disposition a augmenté quelque peu. Cependant, en comparaison d'autres pays Européens comme la Finlande ou les Etats-Unis, les différents rapports effectués ces dernières années mettent en évidence le retard des français en matière de digitalisation au sein des entreprises. C'est là un véritable marché qui s'offre aux professionnels spécialisés en solutions de dématérialisation.

L'évolution timide du numérique dans les entreprises françaises

Actuellement, les espaces de stockage sécurisés numériques sont peu utilisés en entreprise. En dehors des grandes entreprises, les TPE et les PME ont encore quelques difficultés à opérer des changements dans leur gestion administrative. Elles emploient toujours des logiciels informatiques internes peu évolués et délaissent ainsi totalement les nouvelles technologies. De ce fait, la gestion des tâches quotidiennes n'est pas optimisée et le temps perdu chaque jour est assez important.

Peu à peu, les professionnels du secteur du numérique ont développé des solutions de gestion électronique pour les entreprises. Aujourd'hui, même si elles prennent de l'ampleur et trouvent leur clientèle, encore trop peu d'entreprises font la démarche de réaliser une transformation digitale complète. Les raisons à ce constat sont nombreuses, mais on peut citer par exemple le manque de possibilités de financements qui touchent la plupart des PME en France. A ce jour, moins de 15 % des TPE/PME utilisent des outils digitaux de gestion contre 30% chez les autres PME européennes.

Ce retard flagrant montre que certains freins empêchent les entreprises de faire évoluer leur politique marketing vers le digital. Pourtant, la digitalisation est actuellement le besoin principal des sociétés françaises. En effet, elles cherchent toutes à augmenter leur productivité et souhaiteraient optimiser au mieux leurs tâches. Les solutions de numérisation et d'archivage électronique, les outils de CRM et autres logiciels de gestion automatique pourraient leur libérer 40% de temps pour se consacrer à leur coeur de métier. Aujourd'hui les solutions de sites e-commerces permettent de booster les ventes en donnant à l'internaute la possibilité d'acheter les mêmes produits qu'en magasin, pourtant seule une PME/TPE sur dix à recours à la vente sur le web.

Marketing digital et dématérialisation : Les professionnels du numérique développent leurs services aux entreprises en France

Les solutions digitales perçues jusqu'ici comme trop complexes, trouvent peu à peu leur place en entreprise. Grâce aux différents spécialistes en gestion électronique qui ont élaboré des solutions clés en mains destinées aux entreprises, le numérique apparaît maintenant comme un procédé organisé ayant un véritable intérêt. Des offres sur mesure existent et permettent de trouver la solution la plus adaptée à chaque secteur d'activité, tout en prenant compte les contraintes métier de chacun.

Face au volume croissant des données qui circulent au sein des entreprises, on peut par exemple choisir de réorganiser la gestion administrative en faisant appel à des solutions de numérisation et d'archivage électronique. Le mieux est de confier ce travail à un expert qui va pouvoir étudier le système déjà en place afin de définir les besoins de l'entreprise en terme de communication, d'indexation, de conservation.

Le retard des entreprises françaises dans ce domaine a créé un vrai marché, qui profite aujourd'hui aux professionnels du numérique. Ainsi on constate que plusieurs formules de gestion sont proposées à ce jour, et pour tous les budgets. Ce qui permet d'expliquer que de plus en plus d'entreprises se tournent vers la digitalisation, les offres étant désormais plus accessibles et moins compliquées.

Néanmoins, l'évolution digitale des entreprises en France est lente et n'est pas encore au même niveau que ses voisins Européens.


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Des investissements publicitaires en baisse

Des investissements publicitaires en baisse sur 2017

Les entreprises ont un vaste choix pour communiquer. Les solutions de communication et les formats publicitaires sont variés, et offrent innovation et performance pour sortir son épingle du jeu. Pourtant, si la publicité reste un vecteur de communication extrêmement dynamique dans le monde, L’Europe connaît un léger recul sur les investissements publicitaires. En effet, l’IREP, France Pub et Kantar Media, trois organismes de référence ont dressé un bilan des investissements publicitaires pour cette année écoulée, de janvier à septembre. Le résultat est sans appel, ces investissements publicitaires accusent un net recul, de 3.2% par rapport à l’année dernière.

Une baisse significative des recettes publicitaires, notamment pour la presse gratuite

S’il manque les résultats du dernier trimestre 2017, la tendance est néanmoins très nette. Sur les trois premiers trimestres 2017, les médias ont constaté des recettes à 5,82 milliards d’euros, contre 6,01 milliards d’euros en 2016. A fin 2016, ces recettes accusaient déjà un recul de 0,9%.

Trois médias affichent néanmoins des résultats plus que satisfaisants. Le digital continue de se développer, au travers de l’affichage digital, qui enregistre une hausse de +15,5% sur les trois premiers trimestres. Le cinéma quant à lui est en hausse de +11,7%. La télévision demeure stable, avec 2,19 milliards d’euros, contre 2,20 milliards d’euros en 2016, soit -0,3% en un an.
La presse hebdomadaire régionale, les quotidiens régionaux et la publicité extérieure s’en sortent plutôt bien, avec des baisses raisonnables de respectivement -3,8% et -3,9%. La radio enregistre une baisse de -4,2%.

La baisse la plus sensible se ressent essentiellement pour la presse gratuite (-5% par rapport à 2016), et pour le courrier publicitaire, qui note un important recul de -7,3%.
La situation se complique pour les quotidiens nationaux (-9,4%) et la presse magazine (-11,1%). En effet, les annonceurs retiennent de moins en moins les magazines dans leur plan média. A fin 2017, les magazine devraient accuser une baisse conséquente de -10,2%.

Le digital tire s’affirme une nouvelle fois avec une hausse de +10,8%

Sans surprise, l’étude démontre une augmentation très nette des investissements publicitaires sur internet (display, emailing, etc…), avec une hausse de +10,8% par rapport à 2016.

En effet, la publicité en ligne occupe une place de choix dans les plans média des annonceurs. Internet propose l’avantage non négligeable de pouvoir décliner sa publicité sous toutes ses formes et tous ses formats, de géolocaliser, cibler, etc… De façon à communiquer de la façon la plus efficace qui soit, et surtout de ne pas placer son budget inutilement : une communication sur internet est une communication ciblée, et donc pertinente.

D’ici 2018, la part de marché dans le monde de la publicité en ligne devrait être de 40%, et de 44% en 2020. Les acteurs américains, tel que Facebook par exemple, détiendraient une part non négligeable du gâteau.

En bref, une baisse globale des investissements publicitaires, essentiellement centrée sur la France. Les agences média prévoient une hausse de 4,3% des investissements publicitaires sur 2018, au niveau mondial.


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Livre papier vs E-book, qui gagne

Duel écologique : Livre papier vs E-book, qui gagne ?

Dans le duel livre papier vs E-book, je demande le plus écologique. S'il est vrai qu'à leur lancement les e-readers ont connu une ascension fulgurante, les choses ont commencé à se tasser depuis 1 an. C'est en effet ce qui ressort d'une étude menée par The Publishers Association, syndicat des éditeurs de livres, journaux et contenus électroniques au Royaume-Uni. Cette étude montre que les e-books ont vu leurs ventes chuter de 16 % en 2016 outre-Manche, pendant que les livres papier voyaient leurs ventes augmenter de 7 % sur la même période. Le constat est le même aux États-Unis où l'on note une baisse de 18,7 % des ventes de e-books chez l'Association of American Publishers, tandis que les ventes de livres-papier progressent de 7,5 % là aussi.

Si en plus de l'argument pratique notamment le fait de pouvoir emporter sa bibliothèque partout avec soi, l'argument écologique a été souvent utilisé, on peut se poser des questions sur les raisons de ces chutes de vente sur l'e-book, et surtout est-ce que cet argument écologique était ou est encore valable. Livre papier ou e-book, qui gagne la bataille écologique ?

L'impact de l'E-book sur le développement durable

L'édition numérique en France, contrairement à celle de ses collègues anglo-saxons, connaît sur l'année 2016 une nette progression. Elle affiche 29,7 % de croissance par rapport à l'année précédente selon le Syndicat National de l'Édition. S'il faut relativiser ces performances car le contenu universitaire, professionnel et scolaire représente à lui tout seul 83 % de l'édition numérique, et l'e-book de façon générale ne représente que 8,65 % de la production selon le syndicat des éditeurs.

L'argument écologique principal de la production d'e-books repose sur le fait que l'offre de livres sur support dématérialisé ne nécessite pas l'abattage d'arbres pour la fabrication de papier. De plus, la production de papier a un coût environnemental considérable si l'on doit en plus considérer les émissions dues au transport du bois vers les usines de transformation, ainsi que le coût énergétique du fonctionnement de ces usines. Si à cela l'on doit ajouter les dépenses énergétiques liées à l'impression, cela engendre énormément de dépenses en ressources. Quand on sait d'après Greenpeace que pour fabriquer une tonne de papier classique il faut 2 à 3 tonnes de bois, très vite, on comprend l'importance d'éditer sur un support ne nécessitant pas toute cette chaîne de production. L'e-book ne demande pas de papier, ne nécessite pas d'être imprimé, et donc ces ressources sont épargnées.
Si à côté de cette énergie épargnée on peut en plus notifier les coûts environnementaux liés à la distribution, comme se rendre dans une librairie, ou se faire livrer à domicile, il y a tout aussi lieu de nuancer cette écoresponsabilité du livre électronique.

En effet, même si le support est dématérialisé, éditer du contenu numérique et le distribuer a un coût énergétique. L'utilisation d'internet, principal canal de distribution du contenu numérique, a un impact environnemental. L'Ademe révèle en effet que rien que les requêtes sur les moteurs de recherche représentent 9,9 kg de CO2 par internaute et par an.
Passer au tout numérique demande une consommation en électricité plus importante. Selon le rapport Clicking Clean publié par Greenpeace le 10 janvier 2017, le secteur informatique représente aujourd'hui 7 % de la consommation mondiale d'électricité.

Les requêtes serveur sont génératrices de pollution, car à chaque requête, cela sollicite le serveur qui dégage comme tout ordinateur de l'énergie et de la chaleur, à laquelle il faut ajouter l'impact lié aux services de froid pour maintenir les serveurs performants. L'alimentation même de ces serveurs censés réduire via la dématérialisation les dépenses écologiques, est parfois assurée par des énergies fossiles.

À cela, il convient d'ajouter l'impact sur le développement durable lié à la fabrication des liseuses électroniques. La fabrication d'une liseuse implique 33 livres soit environ 15 kg de minéraux selon le NYTIMES, et des minéraux parfois toxiques. Le processus de fabrication d'un e-reader consomme environ 100 kilowattheures de combustibles fossiles et produit plus de 65 livres de dioxyde de carbone (l'un des gaz responsable du changement climatique). En plus de l'acheminement de ces liseuses et de leur usage, il convient de dire qu'elles ont un impact certain sur l'environnement.
Ceci traduit bien un impact du digital sur le développement durable, même si cet impact est à nuancer dans le cas de l'e-book tout d'abord car, ce dernier ne représente pas à lui seul l'ensemble des rejets environnementaux du numérique, mais aussi parce qu'à l'échelle globale, il convient d'ajouter que beaucoup d'autres secteurs polluent en dehors de celui du digital.

Le livre papier, de plus en plus éco-responsable

S'il est vrai que la production de papier demande beaucoup sur le plan du développement durable, notamment concernant l'abattage d'arbres, de plus en plus de fabricants de papier optent pour du papier recyclé, obtenant ainsi les certifications de différents labels, comme FSC ou PEFC pour une utilisation du papier durable. On peut voir la mention « papier recyclé » sur de plus en plus d'ouvrages. Cela représente en plus un argument de vente dans la communication des éditeurs qui proposent des versions en papier de leurs livres.

Il faut malheureusement dire que malgré ces efforts, le livre papier représente une partie concrète des émissions. Le BASIC (Bureau d’Analyse Sociétale pour une Information Citoyenne) traduit dans une étude l'impact nocif notamment environnemental qu'a l'édition en France. « Une logique commerciale qui augmente le gaspillage » selon ses termes. Ainsi, la rentabilité à court terme comme modèle de vente favorise la surproduction et engendre des déchets. Toujours selon cette étude, 1 livre sur 4 est détruit sans jamais avoir été lu. Le véritable impact du papier se situe surtout à ce niveau, celui du gaspillage et de la surimpression. Car le papier est victime bien souvent, d'affirmations erronées à son égard.

Cette même étude du BASIC indique que malheureusement aucune des alternatives que sont le papier recyclé, représentant 85 % de la production aujourd'hui, ou encore les liseuses électroniques, n'ont un impact significatif sur celui de l'édition.


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Impression à jet d'encre impression rotative

L'impression jet d'encre : Une technologie de plus en plus utilisée pour l'entreprise

L'impression numérique à jet d'encre révolutionne le secteur de la presse rotative et du marquage industriel. Cette technologie présente plusieurs avantages notamment dans le marquage et le codage industriels. Elle permet d'imprimer sur tous types de surfaces tout en permettant le zéro contact avec le produit. Dans le cadre de la presse rotative, elle permet un vaste champ d'applications convenant aussi bien pour du marketing comme l'impression de brochures, que pour l'entreprise, comme l'impression de relevés, rapports, livres.

Les enjeux sont donc énormes de la part des fabricants de machines d'impression aussi bien à l'attention de prestataires de services d'impression que pour les fabricants de produits de retail ou même dans le domaine de la logistique.

L'impression jet d'encre de plus en plus utilisée pour le marquage et le codage industriels

Le marquage et le codage industriels sont l'un des enjeux majeurs de l'industrie d'aujourd'hui. La plupart des produits sont marqués afin de laisser une trace infaillible pour une meilleure identification. Ce marquage n'est guère possible sans une technologie appropriée. Le marquage par jet d'encre est aujourd'hui la technologie privilégiée notamment parce qu'il n'y a aucun contact avec le produit, et elle permet d'imprimer sur tous types de surfaces.

C'est dans cette optique que l'entreprise Tiflex a sorti l'imprimante haute définition HRP R4 qui était présentée au salon EUROPACK à Lyon. Cette imprimante à jet d'encre haute résolution est destinée au marquage, au codage et à la traçabilité. Elle permet l'impression directement sur supports destinés à l'usage quotidien, comme sur cartons, papier, bouteilles, bois ou textile. L'écran permet de contrôler l'usage de l'imprimante permettant plusieurs lignes d'impression.

Dans le même registre, Hitachi, associé à Tiflex qui n'est autre que son distributeur exclusif en France, a sorti son Hitachi UX destinée aussi à l'impression directe industrielle. Cette machine miniature permet jusqu'à 6 lignes d'impression, tout en disposant d'un écran tactile LCD reproduisant exactement ce qui sera imprimé, pour éviter toute erreur à l'impression.
L'association TIFLEX - HITACHI permet l'impression directe et haute résolution de logos et graphismes sur des emballages du quotidien. Les imprimeries peuvent se targuer d'utiliser des machines demandant de moins en moins de consommables et de plus en plus écologiques.

Une solution destinée avant tout aux prestataires en imprimerie

Les grands bénéficiaires de l'impression directe à jet d'encre sont bien sûr les imprimeries. Les spécialistes de l'impression numérique optent de plus en plus pour de la presse rotative jet d'encre. Grâce à l'impression numérique, les prestataires peuvent garantir aux entreprises clientes l'impression de données variables en un temps record grâce aux solutions logicielles adéquates fournies avec l'imprimante, rendant le travail beaucoup plus rapide. L'entreprise gagne ainsi en productivité grâce à un travail rapide.

Pour le marketing, l'impression directe à jet d'encre c'est l'assurance de faire appel à un prestataire possédant des outils dédiés à la communication graphique. L'impression de flyers, de logos, est rendue possible sur tout type de papier et pour n'importe quel usage marketing.

Ricoh lance d'ailleurs sur le marché une rotative jet d'encre destinée à tous les usages en entreprise et, surtout, sur tous les supports. Ainsi, avec la Ricoh Pro V20000, les brochures, cartons, publicité bénéficieront d'une qualité d'impression améliorée tout en se servant d'une technologie polyvalente, pour une rotative capable d'imprimer aussi bien en monochrome qu'en couleur.

Ces imprimantes nouvelle génération permettent une impression d'une grande précision allant jusqu'à l'impression de logos et symboles sur des produits circulaires de diamètre très faible comme des câbles.


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Le choix des couleurs et l'identité visuelle

Les couleurs et l'identité visuelle de votre entreprise

Découvrez la signification des couleurs et lesquelles utiliser selon le secteur d’activité afin de réaliser des supports de communication qui ressemblent à votre entreprise.

Le choix des couleurs est primordial pour véhiculer une image adaptée à l'identité de l'entreprise. Ce sont elles qui influencent la perception du public sur une marque, un service. Dans cet article, découvrez la signification de chaque couleur de façon générale puis par secteur d'activité, ainsi que de précieux conseils pour perfectionner votre politique de marketing digital d'entreprise.

Marketing d'entreprise : choisir les bonnes couleurs en fonction de leur impact pour faire de la publicité

Pour définir le code couleur de la charte graphique de son entreprise, demandez-vous quelle image vous souhaitez véhiculer et quelles sont les valeurs de la société. En fonction de cela, référez-vous à la signification des couleurs pour choisir celles qui répondent le mieux à l'identité visuelle de l'entreprise.

Le bleu :

Il est synonyme de calme, de sérénité, de confiance et de clarté. Il peut également symboliser la fraîcheur.
On le retrouve donc beaucoup dans les domaines de la grande distribution, de l'aéronautique, de l'informatique, des nouvelles technologies, de l'environnement, du tourisme ou du bien-être.

Le rouge :
Il peut avoir plusieurs significations, comme la compassion, évoquer la chaleur, ou la puissance, il peut signifier l'amitié ou la connaissance.
Cette couleur est employée en grande partie dans le secteur de la restauration, mais on le retrouve aussi dans les enseignes de luxe, la mode, le sport, les médias, la gastronomie et le vin, ou les organismes à vocation humanitaire.

Le jaune :
Le jaune exprime surtout la joie, la chaleur, la créativité ou la vitalité.
On le retrouve essentiellement dans les secteurs du tourisme, de l'agro-alimentaire, des assurances, des organismes de crédits, ou l'art.

Le violet :
Le violet fait partie des couleurs secondaires, il véhicule une image de paix, de délicatesse, d'amitié, d'intelligence ou de méditation.
Il est utilisé essentiellement dans les domaines de l'art et de la culture, dans le luxe, la musique, et l'éducation.

La couleur verte :
Le vert est présent sur un grand nombre de secteurs d'activité. Il exprime à la fois le calme, l’espoir, la détente, la nature, la découverte, le voyage, et l'écologie.
Il est donc privilégié par les domaines du tourisme, de la beauté et du bien-être, de l'agriculture bio et de l'environnement.

Le orange :
La couleur orange symbolise le bonheur, la créativité, l'optimisme, la communication, la tonicité et l'ambition.
Il est la star des entreprises spécialisées dans les loisirs, le sport, la communication, les transports ou l'agro-alimentaire.

Le marron :
Le marron est évocateur de nature, de douceur, de tradition, il a aussi l'avantage d'exprimer la neutralité.
Il est présent dans la culture, l'histoire et l'éducation, l'environnement, le domaine de la confiserie, et les produits de luxe.

Le rose :
Le rose est la couleur par excellence de la féminité, du romantisme, et du bonheur. Elle exprime également la douceur, la gourmandise et la jeunesse.

La couleur dorée :
Le doré est synonyme de richesse, d'élégance et de fécondité.
Il est employé par les domaines de la confiserie, du luxe et en parfumerie. Il peut être présent dans le secteur de la finance, dans les banques ou les organismes de crédits.

Le gris :
Le gris représente le calme, la douceur, le respect, et la neutralité.
Il est largement présent dans les secteurs du bâtiment, du design, l'éducation, et l'informatique.

Le noir et le blanc ne sont pas des couleurs, mais qu'en est-il de leur signification ?

Le noir est un symbole d'élégance, de sobriété, il exprime aussi bien la rigueur, que le mystère. Il est utilisé dans le cinéma, l'art, le luxe, la photographie et l'infographie.

Le blanc c'est incontestablement la pureté, l'innocence, la sobriété. Il symbolise le mariage, la propreté, le bien-être et la paix. Il est utilisé dans les secteurs de la mode, du luxe, des énergies renouvelables, dans la presse et les médias, et aussi l'univers du mariage, de la beauté et du bien-être.

A l'ère de la transformation numérique, quel code couleur adopter pour la communication de son entreprise ?

Si vous souhaitez vous renouveler en adoptant une nouvelle méthode de communication marketing, ou si vous avez besoin de conseils dans le cadre du lancement de votre entreprise, vous pouvez consulter des offres de brand marketing en ligne.

Dans tous les cas, retenez que les couleurs chaudes conviennent pour des profils énergiques et créatifs, alors que les couleurs dites froides sont plus adaptées pour souligner le professionnalisme et le calme.

Appliquez quelques règles simples comme le fait d'harmoniser les couleurs et de garder une certaine unité sur vos différents supports de communication.

En conclusion, ne négligez-pas l'aspect visuel des couleurs pour la réalisation de vos publicités. Elles ont un réel impact sur l'attention et la perception du public.


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Affiche publicitaire

Marketing d'entreprise : Comment réaliser une affiche publicitaire à votre image ?

Afin de concevoir des affiches publicitaires de qualité pour son entreprise, il est important de prêter attention à un certain nombre de points essentiels.

Quels sont les points essentiels à respecter pour réussir une affiche publicitaire ?

Définir le public auquel s'adresse l'affiche publicitaire :

Dans un premier temps il faut définir votre cible. Quel est le public visé ? Est-il jeune, actif, retraité ? Quels sont ses besoins et ses attentes ?

Pour démarrer votre action de communication, il est primordial de savoir quel est le public visé par votre affiche, afin de pouvoir sélectionner un visuel adapté à celui-ci et et de retenir son attention plus facilement.

Organiser le contenu de votre affiche :

Le contenu de votre support de communication doit être hiérarchisé afin de correspondre parfaitement à votre identité visuelle, mais aussi pour être comprise par le public.

Vous devez vous demander quel est l'objectif de l'affiche, quel en est le sujet, dans quels lieux vous souhaitez la diffuser, et définir la charte graphique à respecter. L'importance est de réussir à conserver les informations pertinentes pour orienter votre message dans la bonne direction. Il faut penser à organiser le contenu de manière lisible et ne pas surcharger votre publicité.

Choisir un format en fonction du lieu d'affichage visé :

Les dimensions de votre affiche doivent elles aussi être réfléchies.
En fonction du lieu visé pour l'affichage et des supports visuels choisis, vous devez adapter la taille de l'affiche publicitaire avant que celle-ci parte pour l'impression.

Faites attention au sens de lecture de votre publicité :

Votre affiche doit être lisible et comprise en un coup d’œil par le lecteur.
Le cheminement du regard se fait naturellement de gauche à droite et de haut en bas. Disposez donc vos messages de la sorte afin de préserver le bon sens du contenu et de respecter ainsi le sens de la lecture.

Création d'affiches publicitaires pour l'entreprise : Soignez le visuel en respectant quelques règles simples

Prendre en compte les perspectives pour mettre en valeur l'identité visuelle de l'entreprise :

Utilisez les lignes de perspectives à votre avantage pour insérer un arrière-plan tel qu'une photo ou une image afin d'attirer le regard sur un détail précis. De façon générale, un visuel au premier plan quel qu'il soit sera toujours vu en priorité. Il doit donc donner envie à votre cible de s’attarder sur votre publicité.

Adoptez les bonnes couleurs pour votre affiche :

Une affiche publicitaire réussie doit reprendre les coloris et les codes graphiques de l'entreprise. Il est important de ne pas mélanger trop de couleurs sur une même affiche et de veiller à les assembler de façon harmonieuse.

Comment bien choisir une typographie ?

Il est préférable de se tenir au choix d'une ou de deux polices d'écriture pour réaliser le contenu d'un support publicitaire. De même, il faut penser à sélectionner une typographie assez simple et lisible pour le lecteur.

En suivant ces règles de base, la création de votre affiche sera réussie. N'oubliez pas que le visuel est l'élément clé d'une affiche publicitaire, il doit occuper la moitié de l'espace et transmettre votre message de manière efficace. Pensez à soigner votre logo et à le placer de façon judicieuse.


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impression 3D additive

L'impression 3D additive est désormais l'outil de choix de l'entreprise innovante

L'impression 3D, que l'on dit aussi additive, est une de ces révolutions technologiques qui ont bien vite envahi notre quotidien. Elle est loin d'être réservée aux hobbyistes, elle est plutôt désormais largement utilisée par des industries de pointe et les startups. Elle permet de créer rapidement des prototypes, de fabriquer à l'unité ou en série des pièces et des objets complexes. On peut même y avoir recours pour édifier des bâtiments en un temps record pour des coûts très inférieurs à ceux des constructions traditionnelles. C'est pour faire découvrir cette nouvelle technologie et pour mettre en valeur ses promoteurs et les produits qu'ils conçoivent en l'employant que se tient les mercredi 11 et jeudi 12 Avril 2018 à Paris Expo Porte de Versailles le Salon Add Fab. C'est l'unique et véritable vitrine française de cette réalité industrielle qu'est devenue la fabrication additive.

Un rendez-vous tout public de l'impression 3D à ne pas manquer

Cette deuxième édition d’Add Fab a pour vocation d’être la vitrine professionnelle des évolutions de ce marché d'avenir. C'est un véritable forum d'échanges, de découvertes et de business. Son espace d’exposition regroupe les sociétés les plus représentatives et novatrices de l'impression 3D. Il s'y côtoient, entre autres, des start-ups comme des entreprises internationales, leurs services publicité/marketing, des entreprises de santé, du transport et de la maintenance. Les 3500 visiteurs professionnels attendus, ils furent 1789 en 2017 ce fut de bon augure pour une révolution, se retrouveront lors de captivantes conférences, où l'on attend pas moins de mille auditeurs, de tables rondes et d'ateliers. De nombreuses animations sont prévues ainsi que des pitchs start-ups et des espaces de démonstration sont réservés à la mise en valeur des méthodes et des outils propres à l'impression additive.

L'impression 3D additive s'impose comme un outil industriel incontournable

Une fois sortie des laboratoires de ceux qui l'ont inventée, et des garages des passionnés, l'impression 3D additive est devenue un outil industriel de premier ordre. On l'appelle additive car son principe de fonctionnement repose sur l'empilement, fin et précis, de matériaux d'impression les uns sur les autres. Si votre imprimante jette son encre en 2D celle en 3D donne du relief. Grâce à une table qui fait fonctionner la buse selon trois axes, et commandée par un logiciel de modélisation 3D, on peut créer n'importe quel objet. La taille importe peu, il suffit de concevoir le produit fini comme un puzzle fait de plusieurs autres petites pièces. Pour l'industrie les bénéfices sont immenses par rapport à d'autres techniques comme l'extrusion, le moulage ou l'usinage 3D. L'exécution est plus rapide et bien moins coûteuse.

L'impression additive a donné naissance à une nouvelle façon de concevoir

Les facilités de passage d'un modèle 3D numérique vers son impression ont permis de développer de nouveaux produits totalement révolutionnaires et que même de petites structures sont capables de mettre en oeuvre. Les imprimantes 3D peuvent même être transportables. On peut tout créer en employant la technologie de l'impression additive.

Dépasser les outils pour laisser libre cours à la créativité

Lors de cette deuxième édition d’Add Fab les visiteurs découvriront tous les aspects de la fabrication additive. Tous les produits du secteur sont présentés: imprimantes 3D, consommables, procédures liées à la numérisation, et modèles 3D y compris. Ce sera une opportunité exceptionnelle pour tous les professionnels à la recherche de solutions. Aujourd’hui rien ne semble résister à la fabrication additive et des surprises nous attendent. Le Trophée « Pitch Startups 3D » démontrera, si besoin est, que l'impression 3D/additive est arrivée à maturité. Il s'agit maintenant de s'affranchir de la complexité des outils et des concepts pour venir s'inspirer à l'Add Fab 2018.


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Coala Magnetics, la communication visuelle, innovante et grand format d’Antalis

A l'heure où la communication devient un vecteur essentiel de performances et de résultats, certaines entreprises innovent en matière de communication visuelle, notamment sur la communication grand format. En effet, il devient difficile de sortir son épingle du jeu et de s'affirmer dans un environnement concurrentiel toujours plus performant. Les techniques et moyens de communication sont de plus en plus nombreux et variés. C’est ainsi qu’Antalis, entreprise leader en Europe dans le domaine de la distribution de papiers, de solutions d'emballages et de solutions de communication visuelle pour les entreprises, a développé un concept innovant.

En réponse à un environnement concurrentiel toujours plus invasif, Antalis a lancé sa gamme Coala Magnetics.

Antalis, leader dans la production de papiers créatif

Antalis se positionne comme leader dans la production de papiers créatif. L’entreprise vise une clientèle professionnelle. Son but étant d’instaurer une relation de confiance avec ses clients, et de proposer son expertise et sa stratégie d’innovation au travers de services à la qualité irréprochable. Ainsi, Coala Magnetic vient compléter une gamme déjà large de solutions d’impression grand format Coala.

Coala Magnetics, une gamme large et innovante

Coala Magnetics part d'un dispositif et d’une mise en oeuvre simples. Il s’agit d’une communication visuelle apposée sur un support magnétique. Ce concept propose différentes sortes d’applications. Avant de profiter de ses multiples avantages, deux options sont possibles. L'impression directe sur un tableau en PVC magnétique blanc, ou le contre collage d'un vinyle imprimé sur une base magnétique. Une fois ce choix fait, les solutions sont infinies : application sur des voitures, frigo, signalétique, rayons de supermarché, etc... La gamme est vaste. D'autant que la force magnétique s'adapte à la solution choisie. Par exemple, un produit fin sera associé à une puissance magnétique plus faible qu'un produit apposé sur une voiture par exemple.
Le dispositif de communication est disponible depuis mi juillet 2017 sur le catalogue Antalis.

Une technique de communication simple et adaptable

La gamme Coala Magnetics s’adapte à tous les supports. La base magnétique adhésive est simplement fixée sur la surface à recouvrir. Il suffit ensuite de choisir le support le plus adapté à sa campagne de communication. Grâce à son aspect adaptable et son potentiel grand format, la solution est particulièrement adaptée aux magasins, grandes enseignes, hôtels et restaurants.
Elle dispose également de l’avantage non négligeable d’être peu coûteuse, et ne nécessite pas l’intervention d’un professionnel.
Coala Magnetics est donc facile d’utilisation et évolutive. En effet, une campagne en cours peut être modifiée sur une période donnée, en fonction des opérations promotionnelles du moment.

Coala Magnetics au salon C!Print

Antalis présentera sa gamme innovante Coala Magnetics au salon C!Print, à Lyon, du 6 au 8 février 2018. Une occasion d’aller à la rencontre des professionnels, et de faire découvrir cette gamme complète de produits d’impression grand format. Le salon C!Print permet aux professionnels d’échanger sur les techniques d’impression et de communication, et de découvrir en avant première les dernières solutions d’impressions innovantes.


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