L’art graphique au cœur des stratégies de communication en entreprise

Les entreprises modernes du XXIe siècle se réinventent constamment pour rester présentes sur le devant de la scène. La question de visibilité joue alors un rôle majeur dans les stratégies de marketing. Les spécialistes du domaine essaient d’ailleurs par tous les moyens de forger une image attractive des entreprises. La digitalisation contribue alors à rendre cette vitrine très concurrentielle. En effet, pour rivaliser avec les nombreuses sociétés sur le marché industriel, il faut avant tout se forger son image.

L’art du paraître et surtout le sens du « beau » sont donc très vite devenus des éléments-clés pour faire face à la concurrence.

L’art graphique au service de la publicité

Les innombrables outils technologiques et les logiciels de reproduction graphique ne sont pas forcément la solution pour reproduire un schéma en format 3D.

Les croquis publicitaires et les logos des sociétés sont actuellement conçus par de vrais graphistes expérimentés. Il s’agit de personnes maîtrisant l’art des schémas et des croquis trompe-l’œil. En effet, ce genre de reproduction requiert l’expertise de professionnels possédant une connaissance particulière dans l’art graphique. Cette discipline est de plus en plus utilisée par les géants de l’industrie publicitaire pour donner une touche personnelle à leur production.

Les techniques de dessin modernes n’ont donc pas perdu toute leur essence dans l’univers de la communication virtuelle. Au contraire, de nombreux experts en stratégie marketing font appel aux services de ces professionnels des arts graphiques pour personnaliser leur production visuelle (logo, croquis, publicité, etc.).

S’informer sur les sens et les significations de l’art visuel

La raison qui pousse les équipes marketing à approfondir la dimension de l’art visuel est simple. Il s’agit de cerner les sens et les significations de chaque aspect de toute production artistique.
Les couleurs et les formes dont un dessin est muni reposent en effet sur tout un ensemble complexe de sens et d’interprétations. Les choix de couleur ne sont donc pas faits au hasard lorsqu’on utilise l’art graphique pour des modélisations communicationnelles. Tous les tons des couleurs sont minutieusement choisis pour des objectifs précis.

Les grandes entreprises ont alors la chance de bénéficier des services d’experts qui connaissent au mieux cette discipline. Ces derniers possèdent alors toutes les qualifications requises pour jouer sur les sens et les significations des couleurs et des formes schématisées.

Ils sont également aptes à produire un graphisme significatif à la hauteur de leur compétence.

Pour les néophytes, il existe des manuels et des livres qui aident les apprentis dessinateurs à comprendre l’essence des couleurs. Ces ouvrages s’avèrent d’une aide précieuse dans la mesure où ils informent sur l’histoire, la culture et l’usage de chaque couleur. Un livre qui explique les sens attribués aux couleurs en fonction de son contexte d’utilisation. Outre la maîtrise des couleurs, il y a également des ouvrages qui forment de futurs dessinateurs.

C’est le cas de l’ouvrage de Stefan Pabst qui partage ses conseils précieux dans un ouvrage pour aider les amoureux de l’art visuel à produire des schémas d’illusion optique en 3D il est alors possible d’apprendre les essences des dessins qui donnent vie aux croquis sur papier.


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Ouverture des inscriptions à la 27ème édition du concours FESPA Awards

L'édition 2018 des FESPA Awards se tiendra du 15 au 18 mai 2018 à Berlin en Allemagne. Les inscriptions à ce concours qui distingue les meilleurs prints toutes disciplines confondues sont déjà ouvertes. Pour l'édition 2017, le jury composé d'experts de l'imprimerie avait récompensé des lauréats dans pas moins de 14 catégories. Les experts ne récompensent pas que les meilleures impressions mais aussi les personnes responsables de leur créativité et de leur production.

Pour cette édition 2018, les participants ont jusqu'au 26 janvier pour soumettre leur travail. Les délibérations et le choix des lauréats aura lieu en mars et les gagnants seront annoncés pendant l'exposition FESPA 2018 à Berlin lors du dîner de gala le 16 mai 2018.

L'impression numérique récompensée sous toutes ses formes

Comme l'année passée, l'inscription portera sur 14 catégories parmi lesquelles le candidat pourra soumettre son œuvre dans 3 sous-catégories que seront : l'impression numérique seulement, la sérigraphie seulement, ainsi que les techniques mixtes (offset + numérique/écran, ou numérique + écran, etc.). Les différentes impressions ne se limiteront pas à du papier ou à l'impression de poster. On peut citer par exemple l'impression directe sur les produits en trois dimensions comme l'emballage, les mugs et autres produits courants, mais également le fonctionnel comme c'est le cas de plaques signalétiques, de circuits imprimés, RFID, CD, etc. Les FESPA Awards récompensent aussi l'affichage non imprimé comme cela peut être le cas pour des néons ou de l'acrylique, qui ne font pas partie de l'impression traditionnelle. L'année passée par exemple, l'entreprise Omus basée en Australie et spécialisée dans l'impression 3D avait été récompensée pour son magasin éphémère Louis Vuitton réalisé en utilisant l'impression tridimensionnelle. À côté des acteurs expérimentés de l'impression, les FESPA Awards récompenseront aussi un jeune talent sous la catégorie Young Star. C'est un prix toutes catégories qui récompense un jeune de 15 à 25 ans, étudiant ou jeune travailleur dans n'importe quelle discipline liée à l'imprimerie.

Les critères d'inscription au concours

Pour faire partie des candidats, il faudra être excellent dans la qualité et les techniques d'impression, faire preuve d'une expertise dans le domaine de candidature. La netteté, la précision, la colorimétrie, sont des notions qui seront prises en compte lors de l'étude des différentes candidatures. Les experts du jury mettent l'accent sur l'utilisation appropriée de techniques, du design, des médias, de la créativité pour la finalité du projet réalisé. Mais ils se basent aussi sur la complexité du travail, la créativité et bien entendu, le rendu final. L'aspect créatif et visuel n'est cependant pas le seul critère. En effet, le jury se penchera aussi sur l'impact économique pour l'utilisateur final de l'article imprimé.

Pourquoi participer au concours FESPA Awards ?

Pour maximiser leurs chances, les candidats se voient offrir la possibilité de soumettre jusqu'à 3 participations par catégorie. Pour les candidats qui postent leur travail, c'est la possibilité de voir celui-ci récompensé par des experts reconnus du milieu de l'impression et la possibilité pour ceux qui seront primés d'attirer de nouveaux clients, mais aussi l'occasion de récompenser le travail accompli par tout un groupe. Il s'agit pour les lauréats de s'offrir une bonne publicité pour leur entreprise et de nouer des contacts avec les professionnels présents sur place.

Avec 20 000 personnes attendues en mai à Berlin, c'est l'occasion de se donner de la visibilité devant un parterre de professionnels de l'impression, dont beaucoup seront des clients potentiels.


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Le marketing digital au coeur de la stratégie marketing des entreprises

2017 fut résolument l’année du marketing digital. Avec au premier plan, les réseaux sociaux, tels que Linkedin, Instagram, les influenceurs (blogs) et le Content Marketing (diffusion par une marque de contenus médias). Une étude récente menée par Bubblegum Search a présenté ces éléments comme la tendance marketing 2017. Une tendance en grande partie portée par la génération Y, comprendre les personnes nées entre 1980 et 2000, encore appelées Les Millenials.

Les Millenials, cible de prédilection du marketing digital

La génération Y est souvent perçue comme une génération très connectée, et orientée vers un marché B to C, c’est à dire Business to Consumer. En 2017, les personnes issues de cette génération approchent de la trentaine. Elles sont maintenant décisionnaires, actives ou encore dirigeantes d’entreprises. Une génération qui se révèle être une véritable force pour les entreprises, puisqu’elle maîtrise parfaitement ces nouvelles technologies connectées. L’enquête révèle que 84% des Millenials interrogées considèrent leur mobile comme un véritable outil de travail.

Outre le fait que cette génération représente une force dans l’entreprise, elle est également une cible très recherchée par les professionnels, car influente. Il convient donc de la cibler, en optimisant ses moyens de communication digitaux. La stratégie s’opère grâce à des e-newsletters lisibles sur mobile, des contenus adaptés au petit écran, la géolocalisation, etc

Concernant les réseaux sociaux, Linkedin se positionne comme le réseau social professionnel privilégié. En effet, 94% des services marketing intègrent ce réseau dans leur stratégie, pour un résultat satisfaisant, pour 66% des entreprises.

Si l’entreprises vise avant tout l’intéraction, c’est Instagram qui s’impose, avec un taux d’interactions de 22,53%, contre 5,99% pour Facebook par exemple. Avec près de 300 millions d’utilisateurs chaque jour, Instagram est un incontournable du réseau B to B. En effet, l’étude démontre que 84% des entreprises intègrent les réseaux sociaux à leur stratégie marketing.

Le Content marketing ne perd pas de terrain

Le Content marketing demeure un incontournable de la stratégie des entreprises. Cette stratégie vise à mettre à disposition des clients ciblés des contenus utiles. Les nouvelles techniques digitales facilitent ces pratiques. Selon l’étude, 89% des services marketing ont une stratégie de Content Marketing, et 67% la considèrent comme efficace. En revanche, si ces entreprises remarquent l’efficacité du Content marketing, 42% admettent avoir des difficultés à mesurer le retour sur investissement.

Les techniques traditionnelles en appui du marketing digital

Si le marketing digital demeure un incontournable levier stratégique pour les services marketing, les méthodes traditionnelles ne sont pas pour autant en reste. Ces outils, tels que le print ou la publicité offline viennent compléter ces stratégies digitales. Ces techniques traditionnelles ont encore la confiance des consommateurs. Et même si leur rentabilité demeurent inférieures aux stratégies digitales, elles n’en demeurent pas moins indispensables.

En conclusion, le marketing digital demeure un argument incontournable dans la stratégie d’une entreprise. En particulier pour toucher la cible Génération Y ou Millenials une cible connectée, qui sera sensible aux messages digitaux. Les méthodes traditionnelles restent en revanche intemporelles et ne doivent pas être négligées.


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Une impression au-delà d’une simple stratégie marketing une vue d’innovations florissantes

Le secteur de l’imprimerie a bien évolué et prend de plus en plus de place sur le marché économique mondial. Les imprimeurs n’ont pas cédé leur place face aux nombreuses stratégies de digitalisation des supports. L’ère du numérique n’a donc pas eu d’impact pour certains aspects du secteur de l’impression. Il s’agit alors d’un domaine qui a donc passé outre aux fonctionnalités fondamentales destinées à faire partie du rouage des stratégies marketing contemporaines.

Une imprimerie destinée à conquérir les marchés

Les analystes du secteur économique ont établi des graphes qui démontrent l’essor de l’univers de l’imprimerie. Il n’y a donc plus lieu d’une simple impression sur papier qui a cédé la place aux documents numériques. Il s’agit surtout des impressions qui font partie d’un système inhérent à certains marchés. À cet effet, on connait trois grands marchés qui s’appuient sur les expertises des imprimeurs pour s’imposer auprès de leurs concurrents. Il s’agit du marché de la décoration avec des imprimés haute définition sur plusieurs supports, entre autres les décors et les laminés. L’industrie créative puise alors dans le potentiel des imprimés par jet d’encre pour innover. Les meubles, les sols, les murs et d’autres pièces d’intérieurs ont la possibilité d’être couverts d’une reproduction imprimée. La technologie a d’ailleurs fortement contribué à l’amélioration de l’impression sur tous supports de différentes matières (papiers, textile, fer, bois, etc.).

Outre la décoration, le marché du design s’inspire aussi des procédés d’impression pour se faire un nom. On connaît alors dans ce type de marché des articles électroniques qui se basent sur l’impression, à l’exemple des nombreux outils en électronique imprimée (powercoat, circuit imprimé, interrupteur, RFI, etc.). Un système qui fait la distinction des autres produits par leur fonctionnalité spécifique. Un autre marché qui s’inspire des expertises des imprimeurs pour s’améliorer, l’industrie du textile. Cette dernière a connu une vraie révolution avec des tissus imprimés par jet d’encre en 3D. Plusieurs lignes de vêtements de ce genre sont, d’ailleurs, proposées par les stylistes.

La révolution de l’impression d’étiquette

L’impression d’étiquette ne subit guère les difficultés de la simple imprimerie. Une situation que l’on mettra sur le compte de la nécessité d’une représentation visuelle des marques. L’impression d’étiquettes connait alors un franc succès. À l’inverse des simples impressions qui perdent leur importance auprès des consommateurs à cause de la digitalisation. La numérisation des supports physiques ne concerne donc en rien les impressions d’étiquettes.

Puisque ce secteur relève des emballages des produits en tous genres, il est évident qu’il reste en perpétuel mouvement. Les grandes marques ont alors recours à des entreprises d’imprimerie pour créer des modèles spécifiques. De plus, une étiquette peut être faite en papier, en sachet, en tissu, en carton et bien plus encore. Les entreprises chargées d’imprimer des étiquettes possèdent alors la technologie nécessaire pour reproduire des dessins et des graphismes de qualité. En effet, une impression d’étiquette s’appuie également sur un procédé d’impression par jet d’encre. Ce qui diversifie les modèles des étiquettes présentées sur le marché.


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Le papier, une industrie française fragile mais dopée par le commerce en ligne

L'industrie française du papier reste fragile à cause d'un manque criant d'investissements nationaux dans le secteur. Détenue à plus de 60% par des groupes étrangers elle est distancée par la Chine, pays inventeur du support, et par l'Allemagne qui a su maintenir ses efforts de développement. Elle n'en n'est pas moins vaillante car même si les ventes de papier graphique sont en baisse le commerce en ligne lui offre de nouvelles perspectives dans le domaine du papier industriel. Ironiquement on pourrait dire que c'est l'immatériel qui redonne sa chance au papier français.

Une industrie dépendante de facteurs exogènes

L'imprimerie a mangé son pain blanc et désormais l'information n'est plus convoyée par le papier mais par les réseaux numériques. Même la valeur faciale d'une signature apposée au bas d'un écrit est remplacée par un certificat numérique. A chaque temps son support. En plus de la digitalisation des écrits, l'industrie papetière souffre de son modèle de production. En effet, il est notablement gourmand en eau et en énergie. Les 8 millions de tonnes de papier français produites l'an dernier ne le sont pas sous les meilleurs auspices écologiques de rigueur dans notre monde carbonisé et asséché. Toujours est-il que la moitié de cette production est exportée. Mais quand on parle de papier il faut savoir que l'on ne se cantonne pas aux papiers graphiques de presse et d'écriture. Les papiers d'emballage, de conditionnement, d'hygiène et les papiers industriels font travailler la majorité des 12.500 travailleurs œuvrant dans 85 usines et 75 entreprises en France. Ils donnaient encore vie à 130 machines à papier l'an dernier. Cette industrie lourde est tout simplement devenue trop dépendante des aléas énergétiques, en consommation comme en production. Elle doit réinventer son business-model.

Le papier a son avenir dans le web to store

Une invention majeure comme le papier ne peut que perdurer. Aussi paradoxal que cela puisse être le papier sera sauvé par l'électricité. C'est celle des réseaux d'information qui autorisent leurs utilisateurs, à majorité depuis leurs smartphones, à commander des produits emballés d'où bon leur semble. Ce système, gracieusement nommé web to store, permet de se faire livrer n'importe quel type de produit, même encombrant, à domicile ou au bureau. La concurrence est rude sur ce marché largement dominé par Amazon. N'empêche que ces livraisons s'effectuent dans les meilleures conditions d'emballage, une aubaine pour le papier industriel. On pourra d'ailleurs noter que les exigences qualitatives de ces clients multinationaux auront un effet très bénéfique et stimulant pour ceux qui croient toujours en la force de l'entreprise de papier d'emballage. Il ne faut pas non plus oublier que le papier graphique fait son grand retour, notamment en tant que constituant incontournable de la PLV, complémentaire de la vente en ligne. De plus de nombreuses imprimeries en ligne proposent l'impression de livres à la demande, les mails s'envolent les imprimés restent. Décidément on peut mettre le feu au papier il en restera toujours trace.


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Les objets connectés, vers un nouveau ciblage publicitaire

Nos vies entières sont connectées. Accros aux smartphones, toujours à portée de main, tablettes, montres ou autres objets connectés, difficile de passer à côté d’une certaine réalité connectée. D’ici 2020, les experts annoncent entre 20 et 50 milliards d’objets connectés. Des smartphones, toujours plus performants, aux brosses à dent (effrayant !), vêtements, appareils electro-ménagers, etc… Une multitude d’objets connectés envahiront notre quotidien. Grâce à "l’Internet of Things", la publicité a de beaux jours devant elle. Son ciblage gagne en précision.

Chaque objet de notre quotidien devient, à notre insu, un vecteur d’information pour les annonceurs. A la maison, en déplacement ou même lors de notre footing, nous transportons ces objets intelligents partout avec nous. L’Internet des Objets (ou IdO) est une occasion sans pareille pour les annonceurs de connaître nos habitudes de consommation et notre comportement d’achat. Voici quelques exemples.

La bouteille de whisky connectée de Diageo

Diageo, entreprise leader de boissons alcoolisées a dévoilé lors du Mobile World Congress à Barcelone en mars 2015 la bouteille de whisky intelligente. Cette bouteille dispose d’une puce ultra fine ; OpenSense. Cette puce est placée sur l’envers de l’étiquette de la bouteille. Le consommateur, en scannant l’étiquette, envoie ainsi un signal à Diageo. L’entreprise peut ainsi suivre la bouteille à la trace, lors de son achat, de son transport, et ainsi d’envoyer sur le smartphone du consommateur un certain nombre d’informations ciblées. L’idée étant de l’inciter à acheter des produits connexes. C’est l’occasion pour l’entreprise de collecter des données sur le consommateur et de personnaliser son discours publicitaire.

Les cosmétiques intelligents

Le secteur des cosmétiques semble lui aussi adopter le virage des objets connectés. Ainsi, l’acte anodin de se brosser les dents avec notre brosse à dent connectée Oral B, Philips ou Kolibree devient source d’informations pour les marques. La brosse à dent va transmettre la fréquence et techniques des brossages. Les marques, une fois ces données collectées, pourront envoyer un certain nombre d’offres ou conseils au consommateur. L’Oréal semble également suivre la tendance avec un éventuel mascara connecté.

Des habitudes de consommation pistées

Des évolutions publicitaires intéressantes, soulignées par Jeffrey F.Rayport, professeur à Harvard Business Review. L’atout indiscutable de cette publicité connectée est justement de se fondre dans le quotidien, et de devenir ainsi indétectable. Cette publicité va suivre le consommateur dans ses moindres mouvements, et s'immiscer dans sa vie de façon permanente.
Ces données ne sont a priori utilisées que pour ajuster au mieux le message des entreprises aux consommateurs. Mais elles profitent aussi à d’éventuels nouveaux actes d’achats. Et c’est toute la limite du système. La frontière entre vie publique et vie privée est fine. Et l’introduction de ces publicités dans nos objets du quotidien pourrait bien poser problème.

Un débat sur le sujet des objets connectés serait le bienvenu sur les prochains mois. Une occasion de baliser le terrain des publicités dans notre quotidien, afin d’éviter toute dérive sur notre vie privée. Ces techniques marketings évoluent vite, et il est indispensable de préserver l’intimité de chacun devant ces innovations continuelles.


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Des solutions innovantes pour les entreprises spécialisées en impression et en création de signalétiques

De nombreuses solutions s’offrent aux entreprises spécialisées en impression. L’une comme l’autre convient parfaitement aux attentes de leurs clients. Le but de chaque solution est de sublimer les cibles. Elle doit les inciter à apprendre un peu plus sur l’entreprise présentée sur le support d’impression. Voilà une des raisons pour lesquelles le salon « Print In Progress » a vu le jour.  Les organisateurs ont voulu réunir en un seul endroit toutes ces solutions d’impressions innovantes et créatives.

Les exigences des clients des imprimeurs sont de plus en plus imposantes. Ils veulent des produits adaptés aux attentes de leurs cibles. Ces derniers qui se lassent facilement des offres monotones.

Il est donc primordial pour les imprimeurs, les spécialistes en communication, en marketing et en publicité de bien choisir les supports d’impression.

Deux des solutions intéressantes et innovatrices sont la solution HP Latex et la gamme UJCV. Ces imprimantes étaient présentées au salon « Print In Progress ».

La solution HP LATEX, idéale pour avoir des impressions numériques de qualité

Grâce à cette solution, l’entreprise NeoDKO a su conserver l’impression sur papier personnalisé. La qualité d’impression fournie par HP Latex est incomparable et excellente. En équipant son atelier de cette imprimante révolutionnaire et efficace, de plus en plus d’entreprises de renom ne cessent de solliciter ses services.

Avec des imprimantes HP Latex, Jean-Damien Riccobono a eu l’occasion d’accroître la clientèle de son entreprise experte en impression et en création de signalétique. Il a pu également réaliser des projets de grande ampleur en un rien de temps.

Cette solution permet donc aux imprimeurs de conquérir de nouveaux clients. Ils peuvent promettre à leurs acheteurs de vivre une expérience unique à travers des offres personnalisées.

D’après ces quelques exemples, la solution HP Latex permet également d’assurer de grands projets tout en conservant la qualité des services offerts. Elle aide également les imprimeurs à épanouir leur activité.

Le Print&Cut et la gamme UCJV, parfaits pour créer des signalétiques et des impressions numériques

Cette solution pour l’impression numérique est proposée par Mimaki. Cette entreprise l’a présenté lors du salon aux visiteurs.

Mimaki précise que la gamme UCJV est parfaite pour créer des signalétiques et pour avoir des impressions numériques de qualité.

La gamme UCJV existe en deux modèles :

  • L’UCJV 150 - 160 quatre couleurs
  • L’UCJV 300 - 160 jusqu’à sept couleurs

Il ne faut plus attendre toute une éternité pour avoir le produit fini. C’est l’un des points forts de ces solutions. En effet, le séchage immédiat de l’impression UV est parfait pour faire des impressions-découpes. Ils s’adaptent complètement aux impressions numériques, commerciales, signalétiques, packaging…

Il est aussi possible d’avoir deux rendus visuels sur un seul support grâce aux impressions multicouches. Des transformations impressionnantes peuvent s’opérer pour les applications rétroéclairées. Une image peut changer de couleur selon la source lumineuse.

En somme, il y a plusieurs solutions innovantes et efficaces qui s’offrent aux imprimeurs. Il suffit de bien identifier ses besoins pour arriver à sélectionner l’offre à adopter.


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Record de fréquentation pour le salon LabelExpo Europe 2017

L’édition 2017 du salon LabelExpo s’est déroulée du 25 au 28 septembre derniers, à Bruxelles, en Belgique. Il s’agit d’un rendez-vous international incontournable des acteurs spécialisés dans le secteur de l’impression des étiquettes, et des emballages. Une édition placée sous le signe du succès, puisqu’elle a enregistré une hausse des fréquentations de 12% par rapport à l’édition de 2015.

LabelExpo, le salon incontournable de l’étiquette et de l’emballage

LabelExpo est une manifestation majeure dans le domaine de l’étiquetage, de la décoration des produits et impression. Il se destine avant tout aux professionnels de ces secteurs.

Le salon présente les dernières innovations du secteur. Cette année par exemple, le jet d’encre était au coeur des innovations. Des nouveautés ont également été présentées, en particulier en flexographie avec des fonctionnalités plus performantes.

L’industrie 4.0 s’est placée comme la tendance incontournable de cette édition 2017. Les visiteurs ont pu découvrir l’Automation Arena, un espace dédié aux technologies automatisées d'impression d'étiquettes et d'emballages.
Les nouvelles technologies pour l’impression des emballages souples ne sont pas non plus de reste. Le constructeur suisse Bobst en a notamment profité pour dévoiler sa nouvelle presse pour emballages souples.

Cette manifestation se présente également comme un lieu d’échanges pour les professionnels. Ils peuvent ainsi découvrir les dernières innovations, et regarder en direct les démonstrations de matériel.

Un record de fréquentation pour l’édition 2017

Label Expo Europe 2017 a enregistré un record de fréquentation, avec près de 38 000 visiteurs venus de 158 pays différents, et 679 exposants, dont 198 nouvelles entreprises. Lisa Milburn, directrice générale de Label Expo Global s’est exprimée sur cette édition, et sur son ambition de monter en puissance sur les prochaines éditions à venir.

Le succès de cette édition 2017 témoigne du fait que Label Expo est un salon majeur et incontournable de l’industrie de l’étiquette et de l’emballage.

Le premier stand d’exposition recyclé

L’édition 2017 du salon Label Expo a accueilli, entres autres exposants de renom, l’entreprise Avery Dennison. Une entreprise qui oeuvre dans le domaine des technologies adhésives, du packaging et des solutions d’étiquetage. Cette année, l’entreprise a profité de l’ampleur de l’événement pour créer le premier stand d’exposition recyclé. Ce stand était composé en partie avec des résidus d’étiquettes recyclées. Des résidus d’étiquettes et adhésifs des clients de l’entreprise ont en effet été assemblés en un produit : ECOR. Ce produit recyclable est fabriqué par Noble Environmental Technologies.

Ce stand conçu à partir de composants recyclés est une véritable innovation. L’entreprise Avery Dennison a ainsi souligné l’importance de savoir réutiliser les déchets et autres résidus liés à la production d’étiquettes. Une excellente technique commerciale. En effet, ce stand est une vitrine simple mais efficace, qui contribue à la notoriété de l’entreprise.

Une manifestation d’exception dans le domaine de l’étiquetage et de l’emballage, qui n’a de cesse de monter en puissance. Un rendez-vous professionnel majeur, à ne manquer sous aucun prétexte. Rendez-vous en septembre 2019 à Bruxelles, pour la prochaine édition de Label Expo Europe.


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Print In Progress : tout sur l’impression et la communication digitale

Print In Progress était un salon dédié au monde du marketing, de la communication digitale et surtout de l’impression. Il s’est déroulé à Paris le 11 et le 12 Octobre. Les sujets de conversation tournaient autour de l’impression numérique, de la communication, du marketing, du digital…

Le salon Print In Progress, qu’est-ce que c’est ?

C’est un événement organisé par les équipes de 656 Editions. Le but était non seulement de présenter les produits des participants, mais également de favoriser la transformation des entreprises dans le secteur impression et communication.

Les participants étaient nombreux. Près de 70 entreprises spécialistes en impressions numériques, en arts graphiques et bien d’autres encore ont partagé leurs expériences.

L’événement était accessible sur invitation. Les organisateurs tenaient à sélectionner les visiteurs pour rendre le salon plus attrayant et intéressant.

Pourquoi fallait-il ne pas rater le Print In Progress ?

Les organisateurs ont su proposer des programmes diversifiés et gratifiants.

Le plus de Print In Progress était la présence des hubs. C’étaient des lieux truffés d’échanges, de communications digitales, d’inspirations, d’innovations… La directrice du salon et toute son équipe ont installé quatre hubs : DECO MAKER, PERSONAL PRINTER, INDUSTRIAL PRINTER, TEXTILE TRANSFORMER.

Les talks étaient très enrichissants. On traitait par exemple les sujets suivants : « Quand le marketing entre dans les industries ? », « Le papier est redevenu un objet de désir. » Que des thèmes intéressants !

Les keynotes et l’intervention des experts issus de grandes entreprises étaient passionnants. « Aligner son entreprise avec un monde numérique. », « Décoration imprimée : B to B, B to C, quels modèles ». C’étaient quelques-uns des thèmes développés.

Que disent les organisateurs et les participants de Print In Progress ?

Les organisateurs de Print In Progress étaient satisfaits de cet événement. Cette première édition était riche en échange, en rencontre…

On peut dire qu’ils ont atteint leur but. Ils ont trouvé que les visiteurs étaient enthousiastes. Les intervenants ont su assurer leurs rôles impeccablement. La collaboration avec les partenaires était convenable et gratifiante.

Même s’il y a quelques améliorations à envisager, cet événement dédié à la communication et à l’impression numérique était à la hauteur de l’espérance des organisateurs.

Quels sont les avis sur le salon ?

« Merci pour ce salon Print In Progress… », déclarait un des participants. Cette entreprise spécialisée en impression en ligne précise qu’elle a eu un vrai échange avec les visiteurs. Elle a pu présenter ses divers produits innovants. Mais elle a pu également donner leurs points de vue sur le monde de l’imprimerie. Des relations conviviales entre les visiteurs s’étaient formées.

« C’était l’occasion de rencontrer de nouveaux clients… », disait une entreprise spécialiste en totems gonflables, en moquettes personnalisées et autre produits de ce genre. Le salon Print In Progress les a beaucoup aidé à valoriser leurs savoir-faire.

« Le salon était sympa. C’était vraiment instructif. J’ai pu approfondir mes connaissances du monde de l’impression et du digital. Je suis bien satisfait… », racontait un des visiteurs.

En résumé, tout le monde espère que ce n’est que le début et que la deuxième édition sera meilleure que le premier.


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L’utilisation d'intelligences artificielles dans le marketing

À quelles fins utiliser des intelligences artificielles dans le marketing ?

Améliorer les performances de l’entreprise

L’entreprise peut améliorer son efficience et donc ses performances en termes de marketing en optimisant la répartition du travail. Elle confie alors les tâches nécessitant un grand nombre de calculs et de recherches à des intelligences artificielles. Elles sont capables de réaliser ces missions avec une rapidité et une précision inégalables par la main humaine.

L’adaptabilité de la machine et cette vitesse de traitement permet de gagner un temps considérable là où les hommes ne sont pas indispensables. L’entreprise, en automatisant ces actions, permet d’alléger ses charges liées et donc ses coûts. L’humain n’a plus qu’à définir les axes de travail de la machine. Il basera ensuite son propre travail à partir des données traitées et collectées.

L’optimisation des 4P du marketing grâce à l’intelligence artificielle

Les traditionnels 4P du marketing sont remis au goût du jour par l’intelligence artificielle.
La machine réalise un profilage complet du consommateur. Pour cela, elle étudie son historique de navigation, ses précédentes connexions et les loisirs et centres d’intérêt. Ces données permettent une personnalisation complète de l’offre produit. Ainsi, tout est fait « sur-mesure » et est adapté à leurs habitudes de consommation. Le prix recherche incessamment le seuil psychologique propice à l’acte d’achat. Divers outils d’analyse traitent les données existantes et développent continuellement des services annexes.

Le placement est déterminé en fonction de l’analyse des horaires de disponibilité et des recherches et besoins des consommateurs. La communication est ainsi adaptée aux préférences des prospects. De plus, la promotion met en corrélation les éléments précédemment analysés pour déterminer les moments les plus opportuns pour se manifester.

Quelle place pour l’homme dans le marketing auprès de la machine ?

Mettre en valeur les compétences humaines

L’intelligence artificielle n’a pas pour objectif de remplacer les hommes dans leur travail. Au contraire, elle permet de rendre leur expertise encore plus appréciable, voire indispensable. L’interprétation des données traitées par la machine notamment ainsi que leur correction nécessitent constamment l’ingérence humaine.

De même, la mise au point de l’intelligence artificielle, la correction de ses algorithmes et le choix des données à exploiter sont des tâches indissociables à une expertise humaine. L’homme optimise son temps et ses résultats en déléguant les tâches chronophages et routinières et en se consacrant au développement marketing.

La machine libère l’humain des tâches répétitives

Bon nombre de tâches composant le marketing sont répétitives et prennent du temps. L’utilisation d’intelligences artificielles pour leur réalisation permet de libérer les collaborateurs d’une certaine charge de travail. Le reporting, les interactions avec les consommateurs sur des questions simples telles qu’une erreur de facturation ou de commande sont des tâches lourdes en matière de temps et trop peu rentables.

L’humain peut alors se concentrer sur les actions qui ne peuvent se passer de sa réflexion. L’ensemble des tâches liées à la collecte de données sur le consommateur sont ainsi confiées à l’intelligence artificielle. Elles pourront ainsi mieux répondre aux défis de la personnalisation de l’offre. L'homme s'en sert de base pour développer de nouvelles idées et se concentrer sur la partie création du marketing.


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