01 44 52 02 02
Le bouleversement dans l'édition et l'impression numérique
Interforum - la filiale de diffusion et de distribution du groupe Editis - a présenté, le 28 juin dernier à Malesherbes (Loiret - 45) un projet innovant, voué à bouleverser le secteur de l’édition. Le projet Copernics a été inauguré en grandes pompes auprès des éditeurs, libraires et différents professionnels du livre.
Une première mondiale dans le secteur de l’imprimerie numérique. Le projet Copernics est mené par EPAC SYSTEMS, une société californienne.
Le projet Copernics
Le projet Copernics est un programme avancé, qui allie innovation technologique et une maîtrise complète du circuit de distribution et de diffusion du livre. Le programme prévoit un système d’impression robotisée de livres.
L’exécution est simple. Un ouvrage est commandé, n’importe où sur le territoire. Il est ensuite fabriqué et expédié le jour même de la commande. Le programme répond donc à la problématique actuelle de surproduction et de surstockage des livres.
En effet, Copernics permet de réduire la surproduction, et donc le nombre de livres invendus et les transports de trop grandes quantités d’ouvrages. Les productions étant souvent mal évaluées. La qualité d’impression reste au rendez-vous. Ce projet se présente comme une alternative aux productions industrielles.
Ce système permettrait d’imprimer près de 15 000 ouvrages par jour, soit environ un livre toutes les 4 secondes.
L’objectif du projet est de répondre à une juste demande, et de fabriquer des livres en petites quantités (moins de 3 000 exemplaires) et de répondre avec réactivité aux demandes de rééditions.
Le projet Copernics répond à une démarche éco-responsable, et opère une césure avec le modèle d’impression traditionnel. Il place le lecteur au coeur du système. L’impression est subordonnée à l’acte de vente et non plus l’inverse.
Une innovation qui pourrait bien chambouler le secteur de l’impression et les imprimeurs. Car le projet vise une part de marché entre 8% et 10% en volume sur le secteur.
Des CEO concernés par la filière graphique
Le projet Corpernics trouve écho lors du 200ème anniversaire de Koenig & Bauer, à Wurtzbourg en Allemagne, le 23 septembre dernier. Lors de l’événement, trois directeurs exécutifs d’entreprises graphiques se sont exprimés sur l’avenir de la filière devant près de 650 invités venus du monde entier. 3 thèmes ont ainsi été abordés. Axel Hentrei, CEO de Bertelsmann Printing Group, s’est ainsi exprimé sur le secteur des médias, et évoqué l’impact non négligeable des services en ligne sur l’impression des supports couramment utilisés par les entreprises : brochures, catalogues, magazines et publicité.
Le CEO souligne la nécessité de se tourner vers l’automatisation de la production, ainsi que l’impression numérique.
Le secteur de l’emballage a été évoqué par un professionnel de l’emballage, Hans Schur, propriétaire et CEO du groupe danois Schur International. Cet expert a souligné le rôle essentiel de l’emballage dans l’allongement de la durée de vie de certaines denrées alimentaires. Un élément majeur dans le contexte d’expansion démographique actuel.
Enfin, Ralf Wintergerst, CEO de Giesecke+Devrient à Munich, a abordé le thème de la sécurité. Le CEO de cette entreprise fabricante de billets de banque et de systèmes de paiements électroniques a évoqué les risques de la cybercriminalité, ainsi que les différents moyens d’y pallier.
Des éléments encourageants pour l’avenir de la filière graphique.
Autres articles :
- Le papier doit-il encore être considéré comme la bête noire du développement durable ?
- Du nouveau dans l’impression d’emballage carton
Le papier doit-il encore être considéré comme la bête noire du développement durable ?
Le papier, victime de beaucoup d’affirmations inexactes
Nous avons tous entendu parler des entreprises qui se lançaient dans la tendance du « zéro papier ». Cela dans un souci de préservation de l’environnement et du développement durable. Beaucoup d’entre elles ont proliféré et relayé des affirmations parfois inexactes concernant l’utilisation du papier au quotidien et son impact néfaste sur l'environnement.
Ces campagnes menées contre l’utilisation du papier sont-elles justement dirigées ? Où sont-elles le résultat de mythes venu obstruer la réalité ?
Beaucoup de ces dires erronés partent du principe que le fait de couper les arbres détruit les forêts et nuit à l’environnement. Pour créer du papier, il faut du bois que l'on obtient en coupant des arbres, en les travaillant et en les transformant. Mais pas n'importe comment.
Néanmoins, dans le cadre d’une gestion et d’un développement durable des forêts, il est bénéfique de prélever une partie des arbres et d'en replanter de nouveaux. On permet ainsi d'agrandir et de densifier les forêts correctement gérées. Par ailleurs, la communication numérique est loin d’être neutre au niveau de son impact sur l’environnement.
Le 100 % numérique est-il possible et réellement bénéfique ?
Il est difficile pour une entreprise de délaisser complètement le support papier au profit du numérique. Cela demande aux divers collaborateurs de bouleverser leurs habitudes et de mettre en place une organisation tout à fait inédite. De plus, les consommateurs doivent approuver et suivre ce changement, qui ne se veut pas si écologiquement durable qu'il n'y paraît. Les technologies de l'information et de la communication génèrent la sixième demande mondiale la plus importante en terme d'électricité.
Le papier reste le support préféré des consommateurs et son utilisation est toujours bien ancrée dans leurs habitudes. Beaucoup d'entre eux n'ont pas le réflexe ou l'envie d'aller éplucher leurs mails pour prendre connaissance des publicités et informations de l'entreprise. Les publicités les plus consultées restent donc celles que l’on reçoit au format papier dans nos boîtes aux lettres.
Le papier et le numérique ont tous deux une place à jouer pour l'avenir du développement durable. Puis l’objectif « zéro papier » reste pour l’instant très difficile à atteindre pour les entreprises. L’organisation TWO SIDES a prouvé qu’il ne serait pas aussi efficace que ce que l’on pensait jusqu’alors.
Les études pointent du doigt les mauvaises informations des entreprises
Les études menées par TWO SIDES, organisation mondiale visant à démonter ces allégations inexactes, prouvent que les entreprises communiquent de la mauvaise manière sur cet aspect du développement durable. D’après l’initiative, 78% des entreprises interrogées mènent des campagnes qui comportent des informations fausses sur les effets de l’utilisation du papier.
TWO SIDES est parvenu à persuader 61% des entreprises mondiales à mettre un terme à leur diffusion d’affirmations erronées en termes d’environnement. Il est nécessaire d’agir aujourd’hui dans une logique de développement durable et de préservation des ressources. C'est ainsi que le papier est devenu le bouc émissaire d’une problématique beaucoup plus globale et beaucoup plus complexe.
L’ensemble des enquêtes sont disponibles sur le site de l’association.
Autres articles :
- Vers des livres éco-responsables ?
- Une cohabitation du print et du digital pour sauver la presse papier ?
Vers des emballages designs et responsables
La onzième édition des Pentawards avait lieu à Barcelone en Espagne, le 23 septembre dernier. Cette prestigieuse compétition d’ampleur internationale est consacrée au design des emballages. En parallèle de cet événement, le Carton Awards 2017, organisé par ProCarton, récompensait les meilleurs designers du futur dans l'emballage carton. Deux événements qui font écho à une volonté générale de tendre vers des emballages designs certes, mais surtout responsables.
Les Pentawards, une compétition mondiale consacrée au Packaging Design
Les Pentawards ont été créés en janvier 2007. L’événement se consacre de façon exclusive au packaging design, quelles que soient les formes proposées. La compétition est d’envergure internationale, et s’adresse à tous les acteurs de la création et mise sur le marché d’emballages. Les Pentawards favorisent la notoriété et la bonne image du packaging design. Ils valorisent également celles et ceux qui créent ces emballages.
Pour répondre à la dimension internationale de l’événement, les Pentawards se tiennent chaque année dans une ville différents d’Europe, d’Asie ou des Amériques. Pas moins de cinquante-cinq catégories de produits sont ainsi jugées par un jury international, composé de douze designers et de responsables packaging de sociétés de renom. Les projets sont étudiés avec attention, et sont rassemblés dans des catégories comparables. Le jury fait son choix selon la créativité du projet et sa pertinence marketing. Les gagnants se voient remettre le bronze, silver, gold, platinum ou diamond Pentawards. Cet événement est une occasion pour les acteurs de ce secteur de se rencontrer et d’échanger sur les derniers projets et innovations. La cérémonie officielle de clôture remet les awards prestigieux, garantissant une reconnaissance internationale en termes d’innovation et d’expertise.
Pour cette édition 2017, ce sont pas moins de 300 designers et marques qui se sont retrouvés à Barcelone. Cette édition a rencontré un réel succès, puisque la fréquentation est en hausse de 10% par rapport à l’édition 2016. En effet, l’événement a compté plus de 2000 entrées cette année.
Ainsi, pour le prix Best of the Show - Diamond Pentaward 2017 c’est le packaging réalisé par le designer Philippe Starck qui l’emporte. Le prix Platinum Boisson 2017 est revenu à Ryuta Ishikawa (Japon) pour sa bouteille Kirinzan. Et le Platinum Nourriture 2017 à Infinito (Pérou) pour son emballage de Candela Chocolate.
Le prix Pro Carton Young Designers Award 2017
L’édition 2017 du Prix Pro Carton Young Designer a mis en lumière les talents de demain. 46 écoles de design, issues de 16 pays différents ont planché sur cette nouvelle édition. Là encore le succès était au rendez-vous, car la participation a été augmentée du double en comparaison à 2016. Pour cette année, le jury a souligné l’excellent niveau des candidats en lice. L’accent a été mis sur la durabilité des emballages. Ainsi, le prix Emballage Créatif en carton a été remporté par Marie Falk, Lisa Dahlström et Henrik Bergqvist de Suède pour leur emballage biologique de shampoing. Une alternative à l’emballage plastique. Semih Arslan, de Turquie, remporte quant à lui le prix Idées créatives en carton pour son emballage Dip & Eat Box. Un récipient en carton, proposant deux compartiments.
Des événements positifs pour l’avenir de l’emballage carton, puisqu’ils témoignent d’une volonté commune de développement durable.
Autres articles :
- Les salons des arts graphiques 2017-2018 à ne pas manquer
- Du nouveau dans l’impression d’emballage carton
Les marketplaces en perte de satisfaction client ?
Le prix Goncourt sur Amazon, la machine à laver à prix réduit chez C-Discount, cet adorable pull en alpaga sur La Redoute, ou encore la dernière casquette mode à prix cassé sur Ebay… Les marketplaces sont aujourd'hui indissociables de notre paysage shopping. Associées à cette nouvelle ère connectée, ces plateformes répondent au besoin omniprésent du “Tout, tout de suite”. Et dans l’idéal; “Pas cher”. Bêtes noires des petits commerces, ces plateformes géantes sont la référence business absolue.
N’ayant pas pignon-sur-rue ces marketplaces misent tout sur leur communauté virtuelle, et donc sur la satisfaction client, élément clef. Mais qu’en est il réellement ?
Une satisfaction générale en baisse ?
La dernière infographie Insightelling (blogzine, spécialisée dans les avis clients) révèle un comparatif de l’expérience et de la satisfaction des clients des soldes d’été 2017 contre les soldes été 2016, sur des marketplaces généralistes.
Ces marketplaces étudiées sont au nombre de 6 : Amazon, Cdiscount, Fnac, La Redoute, PriceMinister, Rue du Commerce. Il s’avère que d’une année à l’autre, la satisfaction client est en baisse. Sur les 39 000 consommateurs issus de diverses sources du web social, la satisfaction générale passe de 70% en 2016, à 41% en 2017. Un constat réalisé sur des critères essentiels tels que le prix, la disponibilité des produits, la livraison, le choix et le SAV.
Si la satisfaction des clients demeure stable sur l’acte d’achat, la livraison et le SAV, en revanche elle diminue de façon significative sur le prix, le choix et la disponibilité des articles proposés par les marketplaces.
Le meilleur score 2017 revient à l’acte d’achat, qui obtient un taux de satisfaction de 60%. En 2016, c’est le prix qui était placé en top position.
Que peut-on en retenir ? Que si l’acte d’achat contente encore une majorité d’acheteurs en ligne, le service proposé par la marketplace est en net retrait.
Réussite et avenir des marketplaces
Le principe d’une marketplace est de mettre en relation des vendeurs et des acheteurs sur un espace virtuel. Cette relation induit un acte d’achat en ligne dans un espace sécurisé : dès lors, une relation de confiance est primordiale. La transparence et la sécurité sont essentielles et une condition sine qua non de l’acte d’achat. Et donc de la satisfaction client.
Une bonne image, la fidélisation client, le réseau et la rigueur sont des facteurs clefs dans la réussite des marketplaces.
Les marketplaces séduisent grand nombre de sites marchands, qui y voient une clef de développement pérenne, garantissant ainsi la visibilité de leurs produits et de leurs sites.
La visibilité des articles, la facilité d’achat ou encore le suivi des commandes sont des atouts essentiels pour les acheteurs potentiels. De même que les démarches de retour et de remboursements simples. Ces marketplaces répondent à un besoin actuel de satisfaction rapide.
Aujourd’hui les marketplaces révolutionnent le paysage du commerce digital. Elles rentrent parfaitement dans la tendance actuelle de vie en ligne.
Même si un achat en ligne ne remplace pas une visite dans son commerce de proximité, il a l’indéniable avantage d’être rapide et fiable. La tendance du shopping en ligne n’est pas prête de s'essouffler.
Autres articles :
- La fidélisation client : clef de la réussite de l’entreprise
- L’inbound marketing, nouvelle arme de séduction massive des PME
Concours Antalis Interior Design Aword : Le rendez-vous des professionnels du Design
Ce nouveau concours international ouvre ses portes à tous les professionnels du design, pour leur donner la possibilité de présenter leurs réalisations, et de partager par la même occasion leur créativité à travers des projets élaborés à partir de produits de la gamme Coala d'Antalis.
Ce concours innovant regroupe des designers, architectes, décorateurs, annonceurs, imprimeurs, et aussi des graphistes.
Les créations peuvent être soumises en ligne sur le site web d'Antalis Interior Design Award jusqu'au 31 décembre 2017.
Un concours qui met à l'honneur toutes les formes d'arts du Design avec un Jury d'exception
Lors de ce concours unique en son genre, plusieurs domaines d'expertise seront représentés. Ainsi, on profitera de créations originales et exclusives, conçues en rapport avec les secteurs de la restauration, des magasins, l'hôtellerie, les bureaux, le logement, et les lieux publics.
Les réalisations de maquettes 3D sont encouragées et bienvenues pour présenter les réalisations graphiques préparées.
Les meilleurs projets seront récompensés et primés après la délibération du Jury, composé d'experts et présidé par Monsieur Confino François, le directeur de l'atelier Confino, très impliqué dans la vie culturelle et les arts. Il a réalisé de nombreux projets pour plusieurs Musées de grand prestige, et a créer l'exposition Cités-Cinés, ainsi que le Musée de Charlie Chaplin.
Plusieurs pays seront représentés par le comité du Jury, Karin Schmitz pour l'Allemagne, Damien Perrot, Bénédicte Duhalde et Agnès Lafarge pour la France, Aneel Kalsi pour l'Angleterre et Jon Sherman pour les Etats-Unis.
Que vont remporter les gagnants de ce concours du Design ?
Les projets les plus novateurs seront récompensés et médiatisés de différentes manières, et bien entendu sur les réseaux sociaux d'Antalis.
Les gagnant auront le plaisir et le privilège de paraître dans les revues de presses Wallpaper et Intramuros.
Mais ce n'est pas tout, on aura la chance également de retrouver les plus belles créations et leurs auteurs, dans un livre qui sera publié en 10000 exemplaires.
Six projets primés recevront un prix, propre à la catégorie représentée, et deux projets 3D obtiendront une subvention financière.
Enfin, le projet qui sera le plus apprécié des internautes sur le site d'Antalis, recevra un prix lui aussi.
Pourquoi participer à ce concours destiné au Design d'intérieur?
Le concours Antalis Interior Design Aword est une incroyable opportunité où chacun peut venir montrer son talent, tout en augmentant sa visibilité et ses chances de multiplier les bonnes rencontres.
A cette occasion, les architectes, les designers d'intérieur, les imprimeurs, vont pouvoir sublimer des lieux et mettre en valeur des espaces de vie.
Tous les professionnels de la décoration d’intérieur, les graphistes, les architectes, vont présenter leurs plus belles œuvres, dans l'espoir de remporter un grand succès auprès du Jury et des internautes.
Antalis est le premier distributeur européen en solutions d'emballage et en moyens de communication visuelle
Antalis c'est avant tout le premier distributeur européen de supports papiers. Ce distributeur de renommée propose des solutions d’emballage et des solutions en matière de communication digitale.
Autres articles :
- Les salons des arts graphiques 2017-2018 à ne pas manquer
- Graphisme : Eye Magazine se dote de 8 000 couvertures uniques pour son dernier numéro
La fidélisation client : clef de la réussite de l’entreprise
Afin de se développer durablement et établir des profits sur du long terme, une entreprise doit sortir son épingle du jeu. Les clients sont à la base de ces profits. Ce sont eux qui décideront ou non de la pérennité d’une entreprise. Dès lors, il s’agit donc de les conquérir, mais surtout de les garder. Car la concurrence est rude, et il est aujourd’hui facile de trouver des offres similaires chez la concurrence. La fidélisation client est une étape primordiale dans le développement d’une entreprise.
La fidélisation client, essentielle à l’entreprise
La priorité lorsqu’une entreprise se développe, est de trouver des nouveaux clients. Nous parlons de prospection et d’acquisition de nouveaux clients. C’est cette acquisition qui va stimuler la croissance de l’entreprise, son dynamisme et son attractivité.
En revanche, il ne s’agit pas uniquement de conquérir un client. L’offre concurrente est vaste, et le plus souvent inventive. La difficulté est bien de savoir garder les clients, avant qu’ils ne se tournent vers d’autres concurrents. On parle alors de churn ou taux d’attrition.
Mesurer le taux de churn est essentiel pour l’entreprise. Ce taux permet à l’entreprise de cibler les besoins exacts des clients, leurs attentes, de façon à pouvoir leur proposer les solutions les plus adaptées. Les clients ainsi satisfaits, l’entreprise diminue significativement son taux d’attrition.
Il s’agit de considérer les clients de façon individuelle. Mieux connaîtres ses clients, c’est s’adapter à chacun.
Il est conseillé pour l’entreprise de faire un point régulier sur son taux de fidélisation. L’entreprise choisira une période précise, puis établira le nombre de clients acquis avant, pendant et à la fin de cette période donnée.
Comment augmenter son taux de fidélisation client ?
Une fois le taux de fidélisation obtenu, l’entreprise doit établir une stratégie, en fonction du résultat obtenu. L’objectif est de développer son taux de fidélisation. Pour ce faire, il est conseillé de connaître au mieux ses clients. Un client satisfait est un client en confiance, et qui revient, souvent même en augmentant son panier d’achat et en parlant autour de lui.
L’entreprise pourra utiliser les réseaux sociaux, les sondages, les remontées terrain, ou tout autre canal pouvant faire remonter les ressentis des clients.
Le service client d’une entreprise est également un élément prépondérant. Un service à l’écoute et réactif aura la préférence des clients.
L’accompagnement des clients (ou processus d’onboarding) est une étape de développement essentiel. Un client qui signe ne doit pas être laissé de côté, mais au contraire accompagné et suivi.
Une offre personnalisée sera aussi un vecteur important de satisfaction et de développement.
Enfin, l’image de l’entreprise est cruciale. L’entreprise doit véhiculer des valeurs fortes, qui contribueront à l’image de marque. Les clients auront envie de rester auprès de valeurs auxquelles ils s’identifient et croient. Ce qui peut d’ailleurs donner lieu à la création d’une communauté. La communauté est un facteur clef. Les clients membres sont les meilleurs ambassadeurs d’une entreprise. Ils sont à même de faire passer des messages, et accomplissent finalement une certaine forme de prospection.
Au delà de la prospection, la fidélisation reste un élément clef de croissance, qui doit être une priorité stratégique pour l’entreprise.
Autres articles :
L'objet publicitaire : un budget marketing allégé pour un retour sur investissement durable
L’importance de l’objet publicitaire dans une démarche commerciale
Les techniques de marketing et de supports commerciaux sont très variés et très ouverts. Cependant, certaines démarches commerciales sont plus efficaces et plus rentables que d’autres. La création d’objets publicitaires reste d’une efficacité redoutable pour fidéliser les clients d’une entreprise ou en créer de nouveaux. Le cadeau personnalisé d’entreprise demeure un moyen efficace et économique face à toutes les autres nouveautés du genre pour obtenir un réel retour sur investissement de sa démarche marketing.
Pourquoi une société doit-elle continuer à miser sur l’objet comme support publicitaire de sa notoriété ?
Le cadeau d’entreprise personnalisé pourrait, pour certains spécialistes de la question, sembler être une méthode « classique » de développement et de fidélisation marketing pour une société. Malgré le terme « classique » qui pourrait donner une image obsolète, le support personnalisé commercial demeure une valeur sûre des bonnes relations clientèles.
L’objet publicitaire personnalisé se glisse partout et s’immisce dans les moindres recoins du bureau de votre client. Qu’il soit stylo, agenda personnalisé, calendrier au logo de votre société, l’objet fait partie de l’environnement professionnel quotidien de votre client. Un agenda se transporte et se consulte, un stylo se prête et le plus simplement du monde, votre image liée à l’objet publicitaire de votre société gagne en visibilité.
Bien plus qu’une campagne publicitaire, l’objet offert par votre société ne fait pas que passer parmi d’autres campagnes dans la tête de votre client mais s’inscrit dans une utilisation pluri quotidienne. Votre société « habite », grâce à l’objet publicitaire, dans l’environnement immédiat de votre clientèle.
Le retour sur investissement généré par la création d’objets publicitaires personnalisés en rapport aux autres techniques de marketing
Bien sûr l’objet publicitaire présente un impact commercial fort par sa présence permanente dans l’univers de votre client, contrairement à des campagnes publicitaires jouant sur un effet immédiat mais non durable. Effectivement en affichant une présence constante dans l’univers de proximité de sa clientèle-cible, l’objet publicitaire répète son message continuellement alors que la publicité simple ne s’entend qu’une fois.
De plus, cet impact positif et durable de l’objet publicitaire est aussi bien plus économique que d’autres techniques marketing. Ainsi, la publicité dans des médias de types magazines ou journaux ou radio tout comme la publicité télévisée affichent des coûts beaucoup plus élevés qu’une campagne marketing basée sur l’objet publicitaire. Pour un message qui ne sera qu’éphémère en rapport à un objet publicitaire de qualité tel qu’un agenda ou un calendrier qui lui aura son utilité, donc sa visibilité, tout au long de l’année écoulée.
À l’évidence, le retour sur investissement d’une démarche telle que la création d’objets publicitaires personnalisés sera d’autant plus intéressant que son coût de départ est beaucoup plus faible qu’un autre vecteur de publicité. Le retour sur investissement de la campagne se calculera non pas sur un « coup » marketing mais sur une période beaucoup plus longue de visibilité et de publicité, donc des résultats commerciaux positifs à court terme mais aussi à moyen et long terme.
Lancer une campagne marketing en se basant sur la création d’objets personnalisés serait donc un moyen efficace et économique d’influencer sur l’image donnée par votre entreprise à vos clients ou à vos prospects. En misant sur la qualité des produits publicitaires offerts, votre société influe sur l’impact positif qu’elle créé pour sa clientèle mais aussi sur un retour sur investissement fiable et misant sur la durée plutôt qu’uniquement sur le court terme.
Margy Consultants, leader dans le marché de l’objet personnalisé publicitaire, saura vous proposer des supports commerciaux de qualité et adaptés au message commercial que vous souhaitez transmettre.
Pour plus de détails, consulter l'article "Qui est Margy Imprimeur?"
L’impression visible : la priorité pour le marketing digital
Les impressions non visibles, la bête noire du marketing digital
La visibilité est la pierre angulaire depuis fort longtemps en matière de marketing pour les entreprises.
Or, actuellement, ce que l’on surnomme les « impressions non visibles » constitue le phénomène le plus redouté des publicitaires, compagnies d’impression et agences d’édition. Ce dilemme s’est accru et alarme les annonceurs.
Ces impressions sont réalisées par des actions frauduleuses de quelques acteurs présents dans la chaîne de valeur.
Elles ont acquis une telle ampleur qu’elles occupent entre 40 et 60% de l’ensemble des impressions publicitaires.
Ces pratiques occasionnent un énorme gaspillage d’argent. Pour pallier à ce gâchis, l’écosystème du marketing digital a lancé un « indicateur de visibilité », qui sera appliqué à tous les médias. Actuellement, la publicité digitale représente un canal important pour booster une image de marque. Aussi, ces campagnes appelées de « branding » ont pour objectif de provoquer l’intérêt voire de sensibiliser l’internaute. Aussi, la pratique basée sur des procédés à réponses immédiates doit évoluer et s’adapter à la clientèle actuelle pour se centrer sur l’audience, l’engagement, la sympathie et la sensibilisation, …
Les éditeurs et annonceurs réagissent à ces évolutions. Les éditeurs monétisent leurs contenus (amélioration temps de chargement des publicités), et le montant des dépenses de publicités des annonceurs associé à des formats plus onéreux, a induit la montée des prix moyens au CPM, favorisant la fraude.
Pour les industriels, l’enjeu est d’atteindre le seuil de 100 % de visibilité. Toutefois, cette visibilité n’est pas suffisante, car la visibilité est considérée comme un pré requis, et il ne s’agit pas d’un objectif marketing car les annonceurs dépensent pour être vus. Le but ultime est de déclencher des ventes et non de mettre en place un nombre conséquent de publicités. Une enseigne doit savoir prendre des risques et influer sur le comportement du consommateur, aussi, la publicité doit contenir un message pertinent et convaincant, avant tout.
Le marketing digital : le fer de lance de la stratégie marketing
Pour 2017, la priorité des responsables marketing est le marketing digital, et également l’extension sémantique du marketing digital. La panoplie d’outils à disposition et des possibilités illimitées existent, la chaîne de valeur est très proche du marketing digital, une véritable fusion des deux univers.
Cette évolution s’avère nécessaire en raison du changement des comportements d’achat et aussi selon les attentes des décideurs en B2B. Des approches comme le social selling permettent de s’adapter à ces nouveaux usages et tendances. Les entreprises et marketeurs se calquent sur les enjeux de la révolution numérique. Social selling : nouvel outil de promotion et générateur d’opportunités selon les professionnels. Répondre aux attentes importantes au niveau de la personnalisation, réactivité, proximité et authenticité, représente le but pour offrir la « meilleure expérience client »
La culture digitale : pilier du marketing
Ce concept apparaît comme essentiel au métier du marketing. Le marketing digital est intégré à hauteur de 100% à la stratégie globale d’une entreprise. Les compétences requises actuellement, comprennent la maîtrise d’outils d’analyse et des réseaux sociaux, la gestion de données, marketing automation, SEO, aisance rédactionnelle, solutions big data, … Cette évolution induit l’apparition de nouvelles compétences, par exemple, les pratiques du marketing actuelles doivent inclure l’activité des "community managers".
Les nouveaux outils marketing comme ABM permettent l’alignement et la cohésion des ventes et la reconnaissance.
Le digital donne l’opportunité de suivre les interactions avec l’audience, citations, likes, partages sur réseaux sociaux, visiteurs uniques. L’audience peut être qualifiée par l’IP tracking. Le Directeur Marketing doit utiliser des KPIs objectifs mesurables et atteignables tout en respectant les budgets.
Autres articles :
- Powercoat, le papier de l’avenir ?
- La contextualisation : la solution adéquate pour le devenir de la publicité digitale
52Typo: Le meilleur de la typographie en 52 histoires, autour des caractères et de la conception graphique
Une typographie c'est un peu comme un dessin. Elle fait partie intégrante d’une volonté de concevoir un visuel harmonieux sur un support manuscrit.
52Typo est un ouvrage relatant 52 histoires de typographies et de designs graphiques, en parcourant le monde
Le livre 52typo disponible aux éditions Pyramyd, fait découvrir au lecteur 52 nouvelles chroniques sur le sujet des différentes polices de caractères, de formes en relief et le graphisme en général.
Il a été publié en partenariat avec l'Association typographique internationale pour présenter les actualités en termes d’écritures graphiques. Certaines chroniques se posent la question de l’intérêt de rechercher encore la création de nouvelles polices, tandis que d’autres s’attardent sur des sélections de polices récentes.
Il s’agit d’un livre riche en informations qui fera sans aucun doute plaisir aux graphistes, aux typographes, et à toute personne curieuse s’intéressant aux arts graphiques. C’est un bon manuel pour les designers professionnels, les étudiants, qui cherchent à explorer des tendances et des idées.
C’est une invitation au voyage à travers des textes tous plus originaux les uns que les autres, où l’on apprend quantité de choses utiles et passionnantes.
Ces histoires sont en fait des déclinaisons de l’ouvrage 365Typo et offre à la fois des reportages sur la profession, des bilans concernant des évènements importants, des analyses de l’évolution de l’industrie dans le futur.
Cet ouvrage d’exception aux multiples auteurs, est né avec le concours de Robert Castel, Christophe Aguiton Pierre Dardot, Christian Laval, Bastien François, Arnaud Lechevalier, Lilian Mathieu, Frédéric Lordon, Camille Peugny, Emmanuel Renault, Yves Sintomer, Alain Supiot et Gérard Mordillat.
Lumière sur quelques histoires du livre 52Typo
52Typo traite de nombreux thèmes et aborde le sujet du calendrier des manifestations culturelles mondiales en relation avec la typographie, les caractères nouveaux créés récemment, et aussi certains ouvrages qui ont marqué le secteur de la typographie.
Que direz-vous de « lire en images » l’incroyable projet des lettres flottantes baptisé « Floating Letters » ?
Cette chronique aux teintes chatoyantes, met en valeur des lettres de couleurs peintes sur des bateaux de la région Amazonienne.
On peut également s’aventurer au cœur d’une histoire parlant des fonderies et de l’émergence de nouvelles typos en République Tchèque, ou lire un article sur la création d’une police qui trouve l’inspiration dans les plaques de numéros en émail au sein des rues de Buenos Aires.
La chronique numéro 6 nous présente un livre de modèles de lettrages provenant des Pays-Bas, destiné aux professionnels afin qu’ils puissent reproduire ces caractères.
La chronique 24 a vu le jour afin de réunir les femmes typographes autour de ce texte, suite à de nombreuses remarques d’internautes sur le manque de représentation de celles-ci lors de conférences animées sur la typographie.
52Typo nous emmène à la rencontre de nouvelles passionnantes dans le monde entier, allant de l'Iran aux Etats-Unis et en passant par d’autres Pays encore, cet ouvrage nous parlent de typographes, de caractères, d’illustrations, de festivals et d’expositions.
Autres articles :
- Graphisme, une revue gratuite sur le thème des logos
- La bibliothèque de chartes graphiques en ligne : une aide ultime pour les graphistes !
Powercoat, le papier de l’avenir ?
A l’heure actuelle, tout le monde est connecté. Il devient difficile, voire quasi impossible de se passer de smartphone, tablette et autre accessoire qui nous connecte à la réalité. L’ensemble des activités suit la tendance, s’orientant de plus en plus vers le digital.
Et pourtant, reste un support, immuable, qui a su traverser tous les siècles et toutes les décennies sans pour autant se perdre et se démoder : le papier.
Il était temps que ce support suive la tendance, sans toutefois être dénaturé. Arjowiggins Creative Papers lui permet aujourd’hui de prendre un nouvel envol, en développant le Powercoat, le papier connecté. Une nouvelle étape vers la dématérialisation.
Powercoat, la référence du papier connecté
Distribuée par Antalis - leader européen de la distribution de papiers, de solutions d'emballages et de produits de communication visuelle pour les professionnels-, Powercoat est la marque de référence d’Arjowiggins.
Cette gamme a été pensée et conçue pour s’accorder à la nouvelle tendance du digital. En effet, les enjeux du digital, de la technologie et de la sécurité évoluent, il était donc judicieux de s’adapter. Ce papier s’intègre dans le mouvement actuel, tout en conservant ses spécificités qui en font une gamme de papier unique. Son domaine d’application est extrêmement vaste, et ouvre de nombreuses opportunités.
Précisions sur le Powercoat
Le Powercoat est un objet connecté. C’est à dire qu’il est doté de technologies le reliant à Internet. Grâce à ces accès à la Toile, il peut concentrer et transmettre des données ; les datas. Ces fameuses datas sont précieuses au marketing, qui va ainsi concentrer des informations propres à chaque internaute (localisation, goûts, intérêts...).
Le Powercoat va ainsi permettre d’afficher des données lorsque le consommateur passera son smartphone devant le papier. Une puce NFC est intégrée à ce papier connecté, qui va établir le lien entre le papier et le smartphone. Le consommateur va accéder à une application qui met à disposition différents types de contenus.
Une large gamme de produits
Afin de répondre à toutes les attentres, la gamme Powercoat se décline en 6 catégories. Powercoat® Alive 2-up, Powercoat® Alive 4-up, Powercoat® Alive 25-up, Powercoat® Alive Labels, Powercoat® Bespoke products et Powercoat® Smartcore. Chaque catégorie répondant à des exigences et des besoins bien précis.
Un papier connecté, dans quel but ?
Le papier connecté Powercoat s’adresse avant tout aux professionnels de la presse et du marketing. Cette nouvelle technologie mise sur l’interactivité avec les lecteurs et les consommateurs, au travers d’un contenu.
Les marques, grâce aux datas, peuvent donc faire remonter des informations sur leurs lecteurs, et ainsi cibler au mieux leurs stratégies marketing.
L’émergence de ce papier connecté va permettre de démultiplier les opportunités pour les entreprises.
Cette évolution du papier marque une étape significative dans la digitalisation et la connexion de notre quotidien. Le papier prend vie, et devient un véritable outil de communication. Un nouvel élan pour ce support intemporel. Ne reste plus qu’à faire son choix parmi la large gamme de produits Powercoat proposée par le distributeur Antalis.
Autres articles :
- Le digital révolutionne la publicité par l’échantillon
- Développer sa stratégie de communication digitale et éditoriale sur le web
